jeudi 22 décembre 2016

Énigme

Le Tenancier (c'est moi !) aime les devinettes, énigmes et charades de l'Ancien Régime. Ne demandez pas pourquoi, c'est comme ça.
Voici encore une énigme issue des mêmes ouvrages dans lesquels il a l'habitude de piocher, à savoir un collection du Mercure de France de 1789, donc intéressante au-delà des quelques amusements que contiennent les numéros. Sa série n'est pas complète d'ailleurs, ce qui nous fait envisager un tarissement de la source plus rapidement encore...
Mais qu'est-ce que votre Tenancier est bavard, ce soir... Allez, je vous laisse avec l'énigme :
Je blanchis,
Je noircis,
J'embellis,
J'enlaidis,
Je salis,
J'éclaircis,
Je détruis,
Je guéris.

(Par M. T...é de Rochefort, en Bretagne)

Merci de donner la réponse dans les commentaires.

12 commentaires:

  1. Jules01:23

    Au débotté et sans trop réfléchir, le Temps ?

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  2. Anonyme08:52

    Serait-ce l'eau ?

    (non pas en écho à la proposition de cette chère Valérie ni même par appétence personnelle, mais parce que cela me semble pouvoir être cela)

    A moins que cela soit la lumière ?

    Otto Naumme

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  3. Rien de tout cela. Pensez à l'époque où cette énigme a été rédigée...

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  4. L'imprimerie ? La presse ?

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  5. Ma chère Judith, tous mes compliments, c'est bien la poudre !

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  6. Mais dans quel sens la poudre peut-elle enlaidir, salir ou éclaircir ?

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  7. Rappelez-vous qu'au XVIIIe, on poudrait sa perruque et que des pamphlets avaient été édités sur la manie du maquillage outrancier par ailleurs. La poudre à canon, mais pas qu'elle, est assez salissante, sinon.

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  8. D'accord : je croyais que le mot était pris dans une acception différente à chaque vers, voilà tout.
    Et désolé, j'ignorais l'existence de tels pamphlets !

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