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mercredi 6 décembre 2023

L'histoire littéraire selon George

Peu de gens le savent, tant la chose semble incongrue, mais la grue du Tonkin — Marguerite Duras — se fit l’intime d'Antonin Artaud (« Un gron cul », comme elle aimait à le qualifier de façon assez immonde, forcément immonde). À son retour du Mexique, lorsque gavé de peyotl il avait flippé à mort dans d’horribles visions, elle lui susurrait doucement : « Modère, Artaud, quand t’as bilé » (Ce qui incidemment lui inspira le titre d’un récit, dix ans après le décès de l’art tôt).

samedi 25 novembre 2023

mardi 6 septembre 2022

Comme ça, en passant

Ainsi, privé du privilège de la mémoire étendue, me voici, tout Tenancier que je reste, renvoyé au rang de vulgaire pékin, terme qui donne envie de se laver la bouche. Pouah. Rassurons-nous toutefois : l’écrit n’est pas réservé qu’aux chiens et l’art de la liste ne s’éteindra pas comme cela dans ces colonnes. Un autre engouement a quitté votre serviteur depuis bien longtemps, celui de la nouveauté, depuis qu’il avait quitté la librairie de neuf. Mais, un sentiment connexe a bien voulu se manifester de nouveau lors d’une conversation de vive voix en compagnie de ce très cher George Weaver au sujet de certains livres que le succès rend suspects et donc indignes de notre attention. Entendons-nous sur la notion de succès. Nous n’évoquons pas les débilités usuelles d’un Werber ou les petites stupidités bourgeoises distillé par les pharmacies littéraires, mais de ces ouvrages tombés de nulle part et qui par leur singularité plaisent au plus grand nombre sans pour autant déchoir. On ne peut s'empêcher d’y déceler un loup, malgré les indices favorables, peut-être à cause d’une frilosité due aux vantardises réitérées autour de merdes érigées en chef d’œuvre. Alors, on temporise, à un point que l’on peut laisser un livre s’épuiser. Cela se produit dans les vies sentimentales, aussi. Enfin, à moi ça m’est arrivé, plus souvent en matière de livres, mais...
Je vous raconte ça en passant. Je me mets en jambes, histoire de me familiariser de nouveau avec l’exercice régulier du blogue, une sorte d’exercice, si vous voyez ce que je veux dire, histoire de prétendre un jour que le Tenancier aura atteint son satori, ou alors qu'il vous aura désennuyé.

mardi 13 juillet 2021

Vrain-Lucas à la radio

À l'instar de notre camarade George Weaver sur son blog, orientons le lecteur intelligent vers une émission de radio. Les habitués connaissent la grande entreprise de recyclage des émissions passées de France Culture en nocturne. Il y a peu, l'occasion s'est présentée de réaliser une nuit entière consacrée au thème du manuscrit à l'aide de diverses rediffusions sur le sujet. Cette Nuit des manuscrits à comporté quatorze émissions :

 — Nathalie Mauriac : "Le manuscrit est en soi un objet qui attire tous les fantasmes parce que c'est un peu une partie du corps de l'écrivain"
 — Inestimables manuscrits de Qumrân
 — Denis Vrain-Lucas: faussaire en toutes lettres
 — L'histoire du manuscrit des "Cent Vingt Journées de Sodome" du Marquis de Sade
 — Hervé Bazin : "Je savais que je ne conserverai pas mes premiers manuscrits"
 — Madeleine Portemer : "On assiste comme à une renaissance des manuscrits enluminés au XVIIème siècle grâce aux productions du calligraphe Nicolas Jarry"
 — "Brassens en tant que poète se soumet à la double obligation du mètre et de la rime"
 — Révérend Scott : "Le caractère de Jeanne d'Arc est, à mon avis, le plus noble qui a jamais existé dans le monde entier, elle est unique"
 — Les manuscrits ne brûlent pas : Le KGB et la littérature
 — Histoire du manuscrit des mémoires de Casanova
 — En janvier 1810, Germaine de Staël écrivait à Juliette Récamier : "Chère Juliette, faites qu’il m’aime et qu’il ne vous aime pas"
 — Roger Caillois : "Le roman "Manuscrit trouvé à Saragosse" ou "La Duchesse d'Avila" de Jan Potocki est une oeuvre exceptionnelle"
 — Un collectionneur de manuscrits et bienfaiteur de l'histoire de la littérature française : Charles Spoelberch de Lovenjoul
 — Nathalie Mauriac : "Ces feuillets de Marcel Proust font entrer dans l'évocation d'une vie de famille sans faire peser tout le poids du chef-d'oeuvre"

On ne résiste pas ici à l'envie de vous convier à l'écoute de l'émission de Vincent Charpentier consacrée à l'archéologie, Le Salon noir, au sujet de Vrain-Lucas, l'un des faussaires les plus célèbres de l'histoire des lettres.

lundi 19 février 2018

Devinette cinématographique

Vous connaissez George, vous qui fréquentez ce présent blogue et surtout celui dont il s'occupe de temps à autre, c'est-à-dire pas trop souvent en ce moment, ce que nous regrettons... donc, je disais : vous connaissez George, dès qu'il s'agit de jouer, il frétille de partout. Enthousiasmé par la proposition de Grégory dans notre précédent jeu, voici qu'il nous propose à son tour de deviner de quel film sont tirées ces images, volontairement altérées pour vous compliquer un peu l'existence.





Votre Tenancier a trouvé et George n'a rien trouvé de mieux que s'exclamer  : 
Je me disais bien que c'était trop facile...
Vous savez quoi ? Eh bien le George, le Tenancier l'aime quand même.

Comme d'habitude, fournissez la réponse dans les commentaires...

vendredi 10 novembre 2017

Fable-express un peu type (où c'est ?)

Jadis il terrifiait tous les vide-greniers,
Croqueur de brocanteurs, bazardant leurs paniers.
Aujourd'hui, dans son pieu, ne veut plus jeter rien.
Oh bon sang, grands dieux ! l'ogre est végétarien ?

Mords alité !
L'ogre préfère les brocs au lit.

(par George WF Weaver)

vendredi 8 septembre 2017

Encore une fable-express de George

Avant que n'apparaisse le moderne négoce
On cueillait, on chassait, jamais on n'achetait.
Ceux qui jouaient à la marchande étaient des gosses
Rieurs, à la bouille d'éphélides tachetée.

Moralité (de l'époque) :
On n'est pas sérieux quand on dit : « C'est tant ! »

(G. précise au passage que les tridécasyllabes sont considérées comme des alexandrins !
Non mais...)

samedi 22 juillet 2017

Fable-express anti-collabo
(Par George, toujours...)

Tandis que Brasillach hissait les sept couleurs,
Drieu de la Rochelle avait un p'tit peu peur :
Dirigeant la NRF vers Joseph de Maistre,
Il pria Gabrielle qu'elle le défenestre.

Moralité
Ni Drieu, ni Maistre !

Nous trouvons, de ce côté-ci de l'écran, que George baisse un peu, non ?
(Note du Tenancier)

lundi 17 juillet 2017

Fable-express en fa-si-la-do (encore une de George...)

Nous les ados, on se met tout le monde à dos.
On grandit, pas sérieux, on atteint le bel âge.
On s'éprend, on s'enchaîne, on se met en ménage,
Et très vite on dérive, comme sur un radeau…

Moralité
L'adulte erre

mercredi 12 juillet 2017

Fable-express pour l'E.T.
(Toujours de George, bien sûr...)

Les situs susnommés, tout à leurs ablutions,
Se prirent pour des super-héros de fiction :
Pour survivre dans cet univers, faut choisir !
Et Bruce Banner n'est pas forcément le pire.

Moralité
… Comme un viatique, je tente Hulk ?

lundi 10 juillet 2017

Fable-express pour l'été (comme la petite culotte)
(By George, bien sûr !)

Quelques situationnistes nageaient, blafards,
Dans ce fleuve indien qui passe à Calcutta.
Nus, se mirant mutuellement le pétard,
Ils reprirent couleur en gueulant : « Quel cul t'as ! »

Moralité
Situs hâves en ce Gange : heureux culs…

mardi 4 juillet 2017

Fable-express uderzoophile (par George)

Amoureuse d'un beau polytechnicien
Qui, d'elle autant épris la besognait fort bien,
L'étoile de mer grimpa au septième ciel
Mais, prise de vertige, craignit la gamelle.

Moralité :

Astérie : "Que c'est haut, bel X !"

mercredi 21 juin 2017

Fable express spécial copinage (par George)

Quand on ne sait si
La trotteuse danse
Et qu'elle nécessi-
Te un peu d'avance
Otto sans souci
Lit très mal et pense :
« Pas d'problème car
On s'fout du retard ! »
Sauf que près du Var
La correctric' court aussi !

Moralité :

Illettré Otto où trotte Ard

jeudi 3 novembre 2016

Avis

Fait curieux : aujourd'hui, George ne m'a envoyé aucune vanne ni jeu de mot.

mardi 1 novembre 2016

George et le Comité

C’est un fait dont nous devons vous convaincre : notre culture arrive toute cuite à notre esprit. Elle est prédigérée, préparée depuis des forteresses invisibles qui président à nos destinées maladroites. Dans des cénacles clos à double tour sur nos illusions, on décide de ce que nous devrons penser et de quoi vous devrons rire. Des comités s’en occupent. Notre libre-arbitre nous laisse accroire qu’il n’en est rien, que ce sont des fariboles complotistes en chasubles blanches et bonnets de pénitents blancs ou de fanatiques du Klan, pour une version d’opérette des Cigares du Pharaon. Nous le croyons, l’image se forme devant nous, telle qu’on la souhaite pour nous, telle que l’on veut que nous la percevions. Suprême habileté, ce que l’on veut nous faire croire pour vrai, nous le percevons comme exagéré, le rejetant dans le camp du faux : écran de fumé qui dissimule des faux-semblant. Le costume de comploteur nous paraît excessif, il est pourtant vrai. Les réunions nocturnes semblent relever de la sottise, elles ne sont rien moins que prosaïques. Ainsi en va-t-il de tous les comités, à commencer par le Comité Anonyme des Blagues Carambar. Nous pensions que notre rire libérait, qu’il délimitait les contours de notre personnalité, que la vie, l’amour, l’espoir, cette brumeuse envie d’exaltation trouvait sa source dans cet ineffable esprit qui nous habite. Détrompons-nous en. Notre cerveau malléable a été dirigé très tôt vers la blague Carambar par un comité de douze membres dont nous ne saurons rien puisque, de toute façon, nous en ignorions l’existence il y a quelques minutes. Les Douze se réunissent, débattent, savent que la stabilité de la civilisation est entre leurs mains. Pourtant, elles ne tremblent pas, celles qui puisent dans l’urne qui contient les vannes du prochain tirage des emballages du Carambar. Les décisions se forment à l’unanimité. Il n’existe pas de repentir.
Il y eut une tentative d’investir le comité. Une main anonyme avait glissé un papillon supplémentaire dans l’urne, en tout point similaire aux autres. Il contenait une vanne d’un membre égaré de la Brigade des Vermotiseurs :
— Le comique est-il las ?
— Non, c’est un coma éthylique.
Comme il fut le seul à en rire, on le démasqua.
Depuis, on recherche George. Nous sommes inquiets. Rendez-le nous. Nous renonçons à nos prétentions. Vous dirigez le monde, nous vous le laissons, considérant désormais que ce ne sont que frivolités. Nous continuerons notre ascèse et cesserons d’interférer avec la conduite du monde qu’incarne Votre Noble Comité.
Mais, par pitié, rendez-nous George.

lundi 3 octobre 2016

Une visite au Tenancier

Le type m’attendait dans un des fauteuils du salon.
— « C’est vous, le Tenancier ? Sa voix émanait de derrière une main aux doigts marron de jus de clopier et une paresseuse volute bleutée.
— Qui le demande ?
Le type jette une carte plastifiée en travers de la table basse. Il a mal évalué son jet et la carte atterrit par terre. Après m’être baissé, je lis :

Service des Vermotiseurs

Direction des calembours

Bureau des dissonances

Service des recouvrements



On est prié de prêter assistance à tout porteur de la présente carte

Pas de nom. Le type semble avoir deviné :
— Vous n’avez pas besoin de savoir.
— Et le fait que vous picoliez dans mes verres ?
— Un des agréments du métier. Vous savez pourquoi je suis là ?
— Ouais.
— Ah…
— Vous venez cloper dans le salon alors que j’ai pas de cendrier, vous bourrer la gueule alors que j’ai pas un rond pour refaire le plein et, visiblement vous l’êtes assez — bourré — pour même pas savoir balancer une carte sur la table sans vous planter. Juste une question, comme ça : c’est pour m’impressionner ou vous me prenez pour un impresario ? C’est fou ce que je suis curieux, du coup, parce que je ne sais pas pour quel spectacle je pourrais vous proposer, si j’étais ce genre de gars. Clodo, lecteur de Céline ? Remarquez, ça revient au même, non ?
— Vous posez beaucoup de questions…
— Sans blague ? Entre nous, je suis plutôt timide d’ordinaire, mais quand un déchet vient camper sur mon canapé, je ne sais pas… ça doit me désinhiber.
— Vous avez tort de me parler comme ça.
— Alors, on va se dire que les torts sont partagés, voilà ! Et comme on est dans une spirale d’amabilités, le monsieur il va se lever, me dire au revoir et puis…
— Je viens parler de George WF Weaver.
— Qu’est-ce qu’il a, George ?
— Vous avouez que vous êtes en relation avec lui ?
— Et alors ?
— Vous savez que c’est un pseudonyme ?
— Rrrhhôô sans blague ? Bon, c’est pas le tout, mais comme je le disais à l’instant, le monsieur, il va se barrer…
Le type se lève calmement, jette son mégot par terre et l’écrase.
— Ce n’est pas bien, ce que vous faites, de résister comme ça. Nous à la Brigade, nous sommes plutôt à la coule, vous savez. On vient, on constate, on verbalise éventuellement et on s’en va. Bien sûr, si vous êtes de mauvaise composition ça peut aller plus loin.
— En admettant — je dis bien “ en admettant ”, hein — que vous n’êtes pas une version pouilleuse d’une escroquerie quelconque, j’aimerais biens avoir de quoi vous parlez.
— De ses calembours.
— Oui, il en fait. Et alors ?
— Eh bien on verbalise !
— Bien. Je crois qu’on va y passer la nuit si je ne mets pas les forceps. Vous respirez un bon coup et vous m’expliquez.
— Ahem… Le dénommé George WF Weaver, pseudonyme d’un pervers notoire sévissant sur votre blog et quelques autres s’est rendu coupable d’une trentaine d’à peu près et pas moins d’une dizaine de calembours de Stade Quatre, les pires. Notre service de recension a beaucoup travaillé à cette occasion. Vous savez je disais tout à l’heure “ on constate, on verbalise, on s’en va ”, là je suis bien obligé de dire que nous allons passer directement à une étape...
— “ On s’en va ” ?
— Non : “on verbalise”.
— En quoi ça me concerne.
— Oh, vous savez, ça c’est un peu de votre faute. Vous déclarez tout net sur votre blog que vous êtes solidaire des propos que vous laissez passer. C’est tout à votre honneur, mais comme nous ne pouvons atteindre l’auteur de l’infraction, nous sommes bien obligés d’adresser nos procès-verbaux à un responsable, c'est-à-dire vous.
— Vu votre dégaine, ça ne doit pas porter loin. Je veux bien faire l’aumône, cela dit. Ce qui m’emmerde le plus, ce sont toutes les simagrées qu’on est obligé de supporter pour en arriver là. Et puis, quand même, vous êtes entré par effraction chez moi.
— La Brigade a tout pouvoir en cas de constat d’infraction. C’est dans le Code.  
— Combien ?
Le type sort un papier miraculeusement immaculé de sa poche, une vision qui touche à l’épiphanie, tellement elle est improbable. Je lis. Je défaille.
— Vous vous foutez de moi ?
— Oh vous savez, je suis fonctionnaire.
— Lequel de mes potes vous a commandité pour ce canular ?
— Personne, je vous l’assure.
— Allez vous rasseoir, je reviens ».
Le type se retourne pour regagner mon fauteuil déjà dégueulassé. Il s’arrête distraitement, toujours en me tournant le dos, et prend un paquet de tiges dans sa poche. Je ne lui laisse pas le temps d’en allumer une parce que je le fais à coup de bouteille sur son crâne. Le type s’écroule. J’ai juste le temps de l’attacher et de le bâillonner qu’il reprend connaissance. Ces petits yeux en boutons de bottine tournent dans tous les sens.
J’empoigne le téléphone :
— « Les gars, j’en ai eu un. Faut que vous radiniez pour me donner un coup de main. Vu qu’on a un jardin, ici, ça va être plus facile… Ouais… Ouais… non, ça va j’ai une bêche ».
Je raccroche. La Brigade des Vermotiseurs ne vas pas tarder à prendre le relais : Otto et George vont venir achever le type à coups de calembours. Après, ce n’est plus qu’une formalité, la chair attendrie se décomposera mieux au fond du potager.

samedi 1 octobre 2016

C'est bien triste


L'assemblée écoutant le discours de Georges WF Weaver

Dix ans après avoir émis sa devinette imbitable dans les colonnes du Retour du Tenancier, George WF Weaver tente de convaincre les habitués du blog qu’il ne se souvient plus trop de la solution ni même de la façon d’y parvenir. La nouvelle jette le trouble dans l’assistance qui va manifester son mécontentement et provoquer un certain désordre dans les rues, prenant même à partie un groupe de diplomates du Moustachistan qui passaient par là. L’affaire n’en reste pas là et l’incident diplomatique, les crispations qui en résultent, amènent à un conflit larvé qui va durer trente et un ans, avec quelques escarmouches violentes. La responsabilité de George établie dans l’origine du différend, le Moustachistan réclame son extradition, ce que notre gouvernement refuse. Par précaution, George change d’identité et est même tenté de changer de genre… L’affaire trouve sa résolution lorsque le blog Le Retour du Tenancier lance un appel international et solennel aux Nations Unies qui, dans une ultime et lucide résolution, confère au Tenancier le titre de Maître du Monde. ArD, Béatrice et Otto Naumme rigolent doucement dans leur coin et complotent immédiatement pour renvoyer le Tenancier à la cuisine faire d’excellents riz au lait, au demeurant. Quant à George, errant à la surface d’une terre aride et sans pitié, il se convertit à la contemplation et se fait appeler Shri George. Sa biographie tardive exprime des regrets sur son impulsion à confier des devinettes imbitables au blog du Tenancier, abusant ainsi de la naïveté naturelle d’icelui. Le mal est fait. George expie, le Tenancier est exilé aux fourneaux, ArD, Béatrice et Otto se partagent les restes comme de vulgaires Mérovingiens.
C’est bien triste. 

lundi 26 septembre 2016

Une devinette imbitable de George

— « Jamais l'on ne pourra la trouver, celle-là... »
George se vante, mais il a peut être des raisons, après tout, car voici sa devinette :

Que donc quiconque soucieux de son rang pipoleux pourrait préférer à la cour d'assise ?

Ne demandez pas au Tenancier, il est maintenu dans une répugnante ignorance par le dit George...