La sollicitude de
quelques voisins pousse votre Tenancier à renoncer à
sa ligne de conduite. En effet, on a reçu quelques ouvrages ces
derniers temps
qu’il serait dommage de ne pas mentionner. D’ordinaire, votre Tenancier
ne
tient pas plus que cela à jouer le rôle de critique. Alors, au plus, on
mentionnera
notre plaisir et une brève notule…
J’avais déjà parlé de Jacques Barbaut à l’occasion de sa réminiscence
pérecquienne d’une année, 1960, parue
aux éditions nous.
Voici qu’Alice à Zanzibar vient se déposer sous pli
discret dans ma boîte au lettre. L’art du limerick s’avère une
affaire
délicate en ceci qu’elle tient à un humour sur le fil qui, mine de
rien,
nécessite un talent particulier pour la partie culière, entre autre.
Barbaut,
évoquant Muriel et sa barre de zan appartient à un ravissement intime
et
suscite un sourire que, pour ma part j’ai décidé quotidien. Un limerick
et hop,
au lit ! Merci, Jacques (j’ai bien relevé la correction
typographique, en
sus de l’envoi autographe…)
Des garçons plus doués que moi on pondu des limericks pour
vanter l’ouvrage. J’en suis bien incapable. En revanche, la maison ne
recule
devant aucun sacrifice puisqu’elle vous dépêche l’auteur lui-même…
Sinon, vous pouvez également le retrouver ici.
La maison ne fait d'ordinaire pas
plus de pub qu'elle ne se livre à la critique, les ouvrages mentionnés
ici sont arrivés par les soins de la complicité ou de l'amitié, ce qui
ne doit pas vous empêcher de les apprécier si vous tombez dessus...