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jeudi 2 janvier 2025

Une imprudence

Le Tenancier cède à des aspirations étranges qui le poussent à souhaiter, comme il l’indiquait dans un précédent billet, que l’on rassemblât en un unique volume tous ses récits du Fleuve : romans, nouvelles et textes à la longueur intermédiaire, mi-chèvre mi-chou que l’on désigne de temps en temps comme « novella ». Que l’on se rassure, cette volonté procède bien du vice et non de l’idée absurde de sa propre pérennité qui, on s’accordera au moins sur ce point avec lui, n’a pas grand intérêt quand elle s’affirme de façon posthume. En réalité, la lubie provient de ces petites manies bibliophiles dont on a du mal à s’abstraire et qui s’insinuent également dans des fantasmes qui font avouer que tout rassembler dans un volume qui aurait la dégaine d’un Penguin Clothbound, eh bien, bon sang, ça aurait de la gueule! Attention, nous ne tenons pas à enfermer nos écrits dans un objet qui ressemblerait à une bonbonnière comme on a tendance à le pratiquer à l’heure actuelle, mais l’on se dit que cette collection préserve l’esprit de ce que l’on rencontrait jadis en France lorsque le bon goût existait encore et qu’il s’exprimait dans quelques clubs de livres. Hélas, trois fois hélas, rien n’indique que les récits du Fleuve figurent un jour quelconque au rang de classiques. Tant pis. Tant mieux. Là ne réside pas l’intérêt, seul persiste le plaisir de l’imaginer, quitte à faire preuve d’imprudence en l’exprimant.

dimanche 29 décembre 2024

Un p'tit coup sur le pare-brise puis dans le rétro

Ceux qui fréquentent les blogs ressentent cette désertion qui s’opère depuis des années, laissant une arrière-garde qui s’ingénie encore à fournir de la substance… Le Tenancier à cet égard, plaide coupable, mais il existe des circonstances atténuantes à ses productions sporadiques et à ses absences : il écrit beaucoup et l’énergie dépensée à ses entreprises archaïques (puisqu’elles se réalisent sur papier, pensez donc!) contraint votre serviteur à se consacrer à l’essentiel, occurence imprévue lorsque des années plus tôt, on décida de créer un blog puis celui-ci pour lui faire suite. En effet, on avait commencé cette activité comme une volonté de converser sur ce qui nous passionnait, comme le livre et tout ce qui tournait autour. La vie a voulu que de libraire médiocre je passais au statut d’écrivain très moyen. Ce changement s’est réalisé lentement et le blog a tenté de raccrocher à cette nouvelle activité, non sans atermoiements et non plus sans regrets au sujet de l’ancien exercice de la librairie. Affirmons tout de même que se mêler d’écrire des fictions comporte bien des satisfactions, car on ne s’envisage pas assez masochiste pour continuer dans un domaine où la déception régnerait. À cet égard, votre Tenancier considère qu’il a du bol, si vous lui autorisez l’expression : quelques éditeurs depuis 2010 ont consenti à l’imprimer, notamment dans un domaine pas si populaire qu’on veut bien le croire, c’est-à-dire la nouvelle…
Un site existe, qui récapitule la bibliographie de votre Tenancier. Le nombre de publications explique en partie les fréquentes lacunes de ce blog. On ne peut être au four et au moulin et la fiction devient parfois une activité exclusive qui empêche de se mobiliser ailleurs. On regrette cette contrainte qui éloigne d’un dialogue qui avait cours dans les commentaires et surtout la verve qui s’y exprimait. De ce point de vue, l’écriture de fiction dans ces bonnes vieilles revues ou recueil, etc., procure peu de satisfactions. Tant pis, on tente de se résoudre à cette distance que l’on ne parvient plus à combler, même si l’on «s’y remet» de temps à autre, sachant qu’au détour d’un manuscrit, on se résigne à délaisser le reste. Alors quoi, on abandonne le blog et on passe à autre chose? Votre Tenancier n’en a pas envie, pas plus qu’il ne peut livrer d’effort supplémentaire pour densifier la production de billets. On se contentera donc à l’avenir d’un écoulement prostatique de quelques considérations ici même.
Par le passé, nombre de billets n’étaient pas tous signés du Tenancier. Quelques intervenants en ont fourni, réjouissants et stimulants. Ce temps-là semble également révolu, même si là aussi, cela est dû au désintérêt général. Puis que l’on s’est montré largement indécis sur la ligne éditoriale du blog depuis que l’on a changé de métier, on pourrait désormais réorienter sa teneur à l’aide de critiques ou de considérations similaires. Pour quoi faire? D’autres personnes le font de façon brillante… on continuera à avoir le cul entre deux chaises, à quêter la chimère d’un dialogue avec un lecteur de passage.
 
L’année 2024 s’achève, moment idéal pour vous assommer avec un récapitulatif. Bien fait pour vous :
(cliquez sur les couvertures, vous aurez un descriptif complet)
 

On a commencé en douceur avec vingt-trois contributions au recueil Taduttore Tradittore dirigé par ce cher Pierre Laurendeau aux éditions Ginkgo, où les participants reprenaient des citations plus ou moins classiques de façon littérale, comme Ex Nihilo = «Ancien amant nihiliste», suivi d’une explication pour le moins malhonnête.


On vous l’a signalé, votre serviteur est un auteur de nouvelles et publie volontiers dans certaines revues. Il l’est par Lard-Frit (nouvelle version) depuis son début, c’est-à-dire le n° 1 en 2022. Avec Télépathie, paru dans le n° 7, on a trouvé que ça manquait de chat. On a réparé cette lacune…
 

Beaucoup moins facétieuse, voici une nouvelle à laquelle on tient particulièrement, parue le n° 34 de la revue Le Visage Vert, L’escalier est orné d’une superbe illustration de Céline Brun-Picard — et je réalise à chaque fois la chance d’être si bien accompagné. La revue et la maison d’édition avaient publié jusque là des histoires du Fleuve. Ce récit bref n’en fait pas partie et il recèle pour son auteur de curieuses résonnances. On regrette qu’il soit passé inaperçu…


Premier recueil de nouvelles de l’année 2024, Fins de siècle comporte deux inédits et deux textes plus anciens, rédigés lorsque l’on doutait d’une vocation pour l’écriture. Ces quatre «rétrocipations» constituent une sorte de jalon pour ce qui concerne l’évolution du style, mais plus encore sur la conception d’une histoire, votre serviteur constate qu’il est redescendu à la hauteur de l’humain et c’est tant mieux. Quelques critiques ont bien accueilli l’ouvrage sorti aux éditions Flatland avec des dessins de Fabrice Le Minier repris en couverture sous la maquette habile de l’éditeur.


L’on n’a pas traîné : un deuxième recueil paraissait dans la foulée : Vues des rives continuait le cycle du Fleuve, après un premier volume de nouvelles (Le Fleuve) et un roman (Le fort). La plupart de ces histoires n’étaient pas inédites, puisque parues dans diverses revues, comme le Novelliste, L’Ampoule et le Visage Vert. Seuls deux textes sont inédits sur vingt et un. La plupart sont illustrés par Céline Brun-Picard. La fidélité à un artiste est essentielle et son travail fait aussi partie de ce projet qui regroupe à ce jour une cinquantaine de récits (quelques un son attente de publications). Également cruciale à ce travail au long-cours, Armelle Domenach exerce sa vigilance sur la cohérence des écrits. Que dire d’autre sur le Fleuve? Eh bien, il vous suffira de lire la très élogieuse préface de Mikaël Lugan qui a saisi l’essence de cette entreprise littéraire avec beaucoup de finesse. Signalons que Mikaël fut l’un des premiers à avoir publié des histoires de ce cycle. Le Fleuve est un univers difficile et dont le style peut paraître ardu pour les lecteurs de petits martiens ou d’elfes aux pattes poilues. Le soussigné reconnaît sa répugnance à la facilité dès qu’il s’agit de ce domaine-là). On lui pardonnera, enfin, on l’espère… Que l’on sache que son fantasme le plus fou (et un peu mégalo) serait qu’une édition posthume regroupe toutes les nouvelles et le(s) roman(s) en un seul volume — intitulé de nouveau Le Fleuve — à moins que cela se fasse de son vivant, car trop gâteux pour remettre ça sur le métier. Ne comptez pas sur votre Tenancier chéri pour passer la main trop vite, tout de même.
 

Avec Troupeaux mélancoliques bondissant dans les prés, l’auteur témoignait de changements physiologiques chez quelques humains, tout ceci, paru dans la revue L’Ampoule, n° 15. Texte court, desservi par une illustration médiocre qui suscite encore des regrets. Pouvait-on y remédier? Hélas, l’on n’a pas demandé son avis à l’auteur qui se serait fait une joie de proposer une alternative, comme cela peut lui arriver. Bref…


On vous l’a dit, votre serviteur a pratiquement son rond de serviette chez Lard-Frit! Pourvu que ça dure! Dans le n° 8, on a commis L’invention du professeur Lambeke, qui étudie les propriétés mélomanes de la grenouille. Ne vous plaignez plus de l’étang du voisin, mais éduquez ses pensionnaires!


Diable, un troisième recueil? Eh oui, on s’est montré intarissable en 2024… Mais Charles & moi (on tient à l’esperluette) ne serait-il pas plutôt un court roman aux huit chapitres très marqués, puisque l’on y retrouve les mêmes protagonistes dans un monde assez noir? On s’est d’ailleurs complu à le dépeindre avec une certaine jubilation. À vrai dire, on s’est surtout amusé tant il est vrai que l’apocalypse lente est assez stimulante à décrire. Après avoir été uchronique avec Fins de siècle, et «balzacien» au petit pied avec Vues des rives, nous voici dystopique avec ce volume. La parution a été remarquée ici et là. L’un des plaisirs annexes de ce genre de publication tient également à ce qui paraît en même temps que soi dans la collection et je ne pouvais que me féliciter de voir le live de Didier Pemerle, Débandades, sortir en même temps que le mien. On ne peut que vous conseiller d’acquérir les deux, chez Flatland.


L’on a fini l’année en novembre avec Le tricot de corps, histoire qui vous cause d’hygiène et de botanique dans le n° 9 de Lard-Frit. On professe tout de même un sacré regret pour ce qui concerne cette revue, celui de ne pas avoir figuré dans sa première version, comme on aurait voulu aussi être publié chez Deleatur ou dans d’autres revues ou maisons d’édition. Votre Tenancier fait tout en retard, pfff. Il ne peut s’en prendre qu’à lui-même.
 
Nous en avons terminé avec ce récapitulatif, qui vous explique assez bien le manque d’assiduité à la rédaction de billets dans ce blog. Prenons date l’année pour prochaine dans le même exercice, si rien ne nous pète à la figure d’ici là… On fera tout de même paraître des choses ici bien avant, tout de même.

mardi 29 octobre 2024

Le tricot de corps

Votre Tenancier se met au discours hygiéniste avec cette courte nouvelle publiée dans le dernier numéro de Lard-Frit. Cliquez donc sur l'image, cela vous renverra au site de votre serviteur qui enregistre toutes ses publications. Diable, nous en somme au cent vingt-deuxième titre !
Nous allons bientôt revenir aux affaires ici même, mais vous savez ce que c'est, le temps manque parfois...

lundi 16 septembre 2024

Charles & moi

Voici donc le troisième volume publié cette année, un nouveau recueil de nouvelles qui observe ici un arc narratif racontant le voyage de Charles en compagnie du narrateur. Deux critiques, à l’heure où l’on rédige ce billet, on rendu compte du contenu : Le nocher des livres & Weirdaholic ; ils se montrent plus diserts que votre serviteur. Allez donc y faire un tour… Il n’est pas non plus interdit de se rendre sur le site de l’éditeur (petites turbulences qui seront vites réparées,on l'espère) et de commander l’ouvrage. D’ailleurs, vu la modicité du prix, on aura avantage à en prendre d’autres, dont celui qui paraît en même temps, par un auteur que votre Tenancier apprécie beaucoup : Didier Pemerle, avec son livre Débandades

mercredi 3 juillet 2024

Note de service

Votre Tenancier, loin d'être frappé de stupeur par la situation présente, a choisi de ne pas trop se mêler des conneries électoralistes, sachant depuis environ l'âge de 16 ans que le véritable combat antifasciste ne consiste pas à faire sa petite cochonceté dans l'urne de temps en temps. Alors, en attendant de savoir quoi faire avec les bonnes personnes — qu'on se rassure, le Tenancier abhorre la violence — il bricole des trucs dans son coin, comme refaire son site d'auteur de fond en comble.
Cliquez donc sur l'image...


Pour le reste, on recausera de la longueur de la laisse, peut-être ici, peut-être ailleurs, mais un peu plus tard...

jeudi 27 juin 2024

L'invention du professeur Lambeke

Votre Tenancier propose à travers ce récit une nouvelle acception pour l'expression française « Manger la grenouille » dans les colonnes du huitième numéro de Lard-Frit, revue éclectique, donc ouverte également aux sciences...

Abonnez-vous, réabonnez-vous, qu'ils disaient vous verrez du pays et aussi des articles que l'on peut, à l'instar d'un journal célèbre, feuilleter en croquant du chocolat.
Pour se faire, c'est ici, m'sieurs-dames !
Vous allez goûter un moment de répit après cette frénésie de parutions pour le soussigné, jusqu'au moins à la rentrée ou jusqu'à l'automne. L'on vous tiendra au courant, vous pensez bien...

lundi 17 juin 2024

Troupeaux mélancoliques bondissant dans les prés


Le Tenancier s’excuserait presque de continuer à vous avertir de la parution d’une nouvelle histoire, cette fois-ci dans la revue l’Ampoule, où il se montre assidu, à l’instar de quelques autres revues. Le Tenancier est un homme heureux, dans une période fertile... Ajoutons quelques heures plus tard que, lorsque votre Tenancier fait état d'une période fertile, elle concerne ses écrits et non le merdier dans lequel nous nous apprêtons à patauger. La précision valait la peine d'être mentionnée.
Pour le sommaire complet, allez donc ici.

mercredi 5 juin 2024

Vues des rives


Neuf ans après avoir rassemblé les nouvelles du Fleuve dans un recueil homonyme (Le Visage Vert, 2015), cinq années écoulées depuis le roman se rattachant à ce cycle (Le Fort, L’Arbre vengeur, 2019), l’on éprouve une certaine joie à vous présenter le petit dernier de chez Letort, Vues des rives, recueil de vingt-deux nouvelles qui complète cet univers. Certains textes consistent en des reprises de publications en revues — L’ampoule, Le Novelliste et Le Visage Vert —, d’autres sont inédits. On y trouve également, outre la superbe illustration de couverture de Marc Brunier-Mestas, huit dessins de Céline Brun-Picard et un d’Élisabeth Haakman.
Mais, au-delà de l’énumération des nombreuses (on s’en doute) qualités de l’ouvrage, il devient nécessaire d’insister sur la préface de Mikaël Lugan dont on souhaite à tout auteur d’hériter d’un travail similaire ! La première lecture de Mikaël s’est révélée très émouvante, en découvrant sa perspicacité et sa compréhension intime de tout le cycle du Fleuve. Au fond, on se demande si l’on a mérité une telle attention. Quoi qu’il en soit, le livre est publié et il marque un jalon important pour la continuité du cycle, non parce qu’il y recèlerait un texte exceptionnel ou « explicatif », mais parce que l’ensemble étoffe un univers encore à la veille de s’enrichir. Du moins, en souhaitant qu’une espérance de vie clémente le permette.

Yves Letort : Vues des rives – Le Visage Vert, 2024

mercredi 1 mai 2024

Fins de siècle


(Cliquez sur l'image pour en savoir plus)

Avec cette parution, le Tenancier se paye un peu de nostalgie, non en raison du sujet traité à quatre reprises dans ce recueil, mais parce que la moitié des nouvelles fut rédigée vingt-cinq ans plus tôt, à l’époque ou la SF le passionnait plus que désormais. En effet, il s’agit de récits que l’anglomanie ayant cours dans ces cénacles qualifierait de « steampunks » et que notre côté emmerdeur dénommerait plutôt des rétrocipations. En tout cas, l’on s’est bien amusé et l’on espère que le lecteur aussi, ce qui compte, n’est-ce pas ?

Yves Letort : Fins de siècle, illustration de Fabrice Le Minier, Flatland éditeur, 2024.

mercredi 3 avril 2024

L'escalier


Pour la quatrième fois depuis 2013, votre Tenancier figure au sommaire du Visage Vert. Les autres nouvelles concernaient le Fleuve, son univers de prédilection. Celle-ci fait exception et aborde un autre registre. Pour ne pas perdre les bonnes habitudes, Céline Brun-Picard a illustré cette histoire de concierge un peu spéciale...

vendredi 1 mars 2024

Télépathie


Nouvel opus de votre Tenancier, Télépathie reste très anecdotique dans ce numéro 7 de Lard-Frit qui s’étoffe et prend des allures de « Livrezine » (terme que je préfère à Mook). La tendance à concentrer les publications en une seule livraison se comprend eu égard à l’augmentation du prix du papier et des frais d’expédition. L’on vous encourage à souscrire et ainsi encourager ce travail, afin de cultiver la diversité dans les publications, parce que la « bollorisation » touche également ces secteurs.
Reste que Télépathie est une nouvelle humoristique avec un chat dedans. M’enfin, il n’y pas que le Fleuve dans les écrits de votre Tenancier chéri…

vendredi 16 février 2024

Traduttore Traditore



Allez zou, les publications de 2024 démarrent par une collaboration à une entreprise amusante cornaquée par Pierre Laurendeau dans sa collection L’Ange du Bizarre aux éditions Ginkgo. Plutôt que de se perdre dans une explication, présentons le deuxième plat de couverture qui vous dévoilera le nécessaire et même plus.



On trouvera au sommaire : Jacques Adit, Alphonse Allais, Jean-Marie Audignon, Sandrine Blais-Deschênes, Patrick Boman, Marine Bourafa, Sylvain Erdepoinzé, Roger Lahu, Pierre Laurendeau, Jean-Louis Lejonc, Yves Letort, Jean-Paul Plaintive, Pauline Rey, Catherine Vasseur, Gilles Verdet et Alain Zalmanski.

jeudi 21 décembre 2023

Mademoiselle Cocodèque

L'esprit de Noël règne sur cette dernière nouvelle de l'année, puisque l'on y prêche l'amour des bestioles ! Cliquez sur la chouette couverture afin d'obtenir plus de renseignements.

vendredi 8 décembre 2023

L'œil et Quatre historiettes

Pour en savoir plus, cliquez ici et
Avec cette revue, votre Tenancier dépasse la centaine de nouvelles publiées. La première, L’œil , nouvelle du Fleuve, est illustrée par Céline Brun-Picard.

samedi 25 novembre 2023

Mademoiselle Cocodèque

Votre serviteur s'est glissé dans le sommaire du prochain numéro de l'Ampoule avec une fable sur la solitude et l'amour des bestioles. Cliquez sur l'image pour mieux voir et commandez donc la revue dont la parution est prévue le 20 décembre.
Merci.

lundi 13 novembre 2023

Un p'tit peu de lecture...


Le numéro ne va pas tarder à paraître et votre Tenancier chéri y figure en bonne compagnie. Rendez-vous à la fin du mois... mais il n'est pas interdit de souscrire ici.

samedi 21 octobre 2023

Un épisode galvanique


Inaugurons ce retour aux parutions de votre serviteur avec Un épisode galvanique, nouvelle qui doit beaucoup à Mary Shelley, mais en nettement moins subtil, bien qu’écrit avec soin et en tentant de rattraper une atmosphère « d’époque »… Bref, votre Tenancier s'essaye à l'humour. Enfin, vous verrez bien, n’est-ce pas, puisque vous allez tous vous précipiter pour vous abonner à Lard-frit, ou est insérée cette nouvelle histoire !
 Le cycle des parutions reprend et ce n’est pas dommage de ce côté-ci de l’écran. Cela donne du cœur à l’ouvrage pour le travail en cours…

lundi 17 juillet 2023

Plaisir d'offrir, joie de recevoir

On aimerait que la conjoncture, les préceptes de l’économie de marché et le goût affirmé du lectorat eussent favorisé la conservation d’un fonds de longue durée chez nos éditeurs, constamment contraints de travailler en flux tendu. Il devient nécessaire de temps à autre de réaliser une partie du stock afin d’assurer la pérennité de la maison d’édition. C’est ce qui arrive cet été avec Le Fort puisque l’ouvrage est proposé à 4,50 € sur le site de l’éditeur. Voici une aubaine pour découvrir cette longue nouvelle ou ce court roman, c’est selon, pondu par mes soins. Que cela soit au moins le prétexte à faire entrer ce livre dans quelques foyers accueillants.
Pour plus d’infos, cliquez ici.
 

vendredi 9 juin 2023

Vous prendrez bien un peu de postface ?





Yves Letort : La main d'Émeline
Collection l'Ange du Bizarre
Couverture de Fabrice Le Minier
Ginkgo éditeur, 2023, 9€

mardi 21 février 2023

La providence du littérateur

(Cliquez sur l'image pour en savoir plus...)

Où votre Tenancier démontre que le recours à la domesticité reste essentiel pour l'accomplissement d'un travail littéraire...