Affichage des articles dont le libellé est Parutions du Tenancier. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Parutions du Tenancier. Afficher tous les articles

mardi 29 octobre 2024

Le tricot de corps

Votre Tenancier se met au discours hygiéniste avec cette courte nouvelle publiée dans le dernier numéro de Lard-Frit. Cliquez donc sur l'image, cela vous renverra au site de votre serviteur qui enregistre toutes ses publications. Diable, nous en somme au cent vingt-deuxième titre !
Nous allons bientôt revenir aux affaires ici même, mais vous savez ce que c'est, le temps manque parfois...

lundi 16 septembre 2024

Charles & moi

Voici donc le troisième volume publié cette année, un nouveau recueil de nouvelles qui observe ici un arc narratif racontant le voyage de Charles en compagnie du narrateur. Deux critiques, à l’heure où l’on rédige ce billet, on rendu compte du contenu : Le nocher des livres & Weirdaholic ; ils se montrent plus diserts que votre serviteur. Allez donc y faire un tour… Il n’est pas non plus interdit de se rendre sur le site de l’éditeur (petites turbulences qui seront vites réparées,on l'espère) et de commander l’ouvrage. D’ailleurs, vu la modicité du prix, on aura avantage à en prendre d’autres, dont celui qui paraît en même temps, par un auteur que votre Tenancier apprécie beaucoup : Didier Pemerle, avec son livre Débandades

mercredi 3 juillet 2024

Note de service

Votre Tenancier, loin d'être frappé de stupeur par la situation présente, a choisi de ne pas trop se mêler des conneries électoralistes, sachant depuis environ l'âge de 16 ans que le véritable combat antifasciste ne consiste pas à faire sa petite cochonceté dans l'urne de temps en temps. Alors, en attendant de savoir quoi faire avec les bonnes personnes — qu'on se rassure, le Tenancier abhorre la violence — il bricole des trucs dans son coin, comme refaire son site d'auteur de fond en comble.
Cliquez donc sur l'image...


Pour le reste, on recausera de la longueur de la laisse, peut-être ici, peut-être ailleurs, mais un peu plus tard...

jeudi 27 juin 2024

L'invention du professeur Lambeke

Votre Tenancier propose à travers ce récit une nouvelle acception pour l'expression française « Manger la grenouille » dans les colonnes du huitième numéro de Lard-Frit, revue éclectique, donc ouverte également aux sciences...

Abonnez-vous, réabonnez-vous, qu'ils disaient vous verrez du pays et aussi des articles que l'on peut, à l'instar d'un journal célèbre, feuilleter en croquant du chocolat.
Pour se faire, c'est ici, m'sieurs-dames !
Vous allez goûter un moment de répit après cette frénésie de parutions pour le soussigné, jusqu'au moins à la rentrée ou jusqu'à l'automne. L'on vous tiendra au courant, vous pensez bien...

lundi 17 juin 2024

Troupeaux mélancoliques bondissant dans les prés


Le Tenancier s’excuserait presque de continuer à vous avertir de la parution d’une nouvelle histoire, cette fois-ci dans la revue l’Ampoule, où il se montre assidu, à l’instar de quelques autres revues. Le Tenancier est un homme heureux, dans une période fertile... Ajoutons quelques heures plus tard que, lorsque votre Tenancier fait état d'une période fertile, elle concerne ses écrits et non le merdier dans lequel nous nous apprêtons à patauger. La précision valait la peine d'être mentionnée.
Pour le sommaire complet, allez donc ici.

mercredi 5 juin 2024

Vues des rives


Neuf ans après avoir rassemblé les nouvelles du Fleuve dans un recueil homonyme (Le Visage Vert, 2015), cinq années écoulées depuis le roman se rattachant à ce cycle (Le Fort, L’Arbre vengeur, 2019), l’on éprouve une certaine joie à vous présenter le petit dernier de chez Letort, Vues des rives, recueil de vingt-deux nouvelles qui complète cet univers. Certains textes consistent en des reprises de publications en revues — L’ampoule, Le Novelliste et Le Visage Vert —, d’autres sont inédits. On y trouve également, outre la superbe illustration de couverture de Marc Brunier-Mestas, huit dessins de Céline Brun-Picard et un d’Élisabeth Haakman.
Mais, au-delà de l’énumération des nombreuses (on s’en doute) qualités de l’ouvrage, il devient nécessaire d’insister sur la préface de Mikaël Lugan dont on souhaite à tout auteur d’hériter d’un travail similaire ! La première lecture de Mikaël s’est révélée très émouvante, en découvrant sa perspicacité et sa compréhension intime de tout le cycle du Fleuve. Au fond, on se demande si l’on a mérité une telle attention. Quoi qu’il en soit, le livre est publié et il marque un jalon important pour la continuité du cycle, non parce qu’il y recèlerait un texte exceptionnel ou « explicatif », mais parce que l’ensemble étoffe un univers encore à la veille de s’enrichir. Du moins, en souhaitant qu’une espérance de vie clémente le permette.

Yves Letort : Vues des rives – Le Visage Vert, 2024

mercredi 1 mai 2024

Fins de siècle


(Cliquez sur l'image pour en savoir plus)

Avec cette parution, le Tenancier se paye un peu de nostalgie, non en raison du sujet traité à quatre reprises dans ce recueil, mais parce que la moitié des nouvelles fut rédigée vingt-cinq ans plus tôt, à l’époque ou la SF le passionnait plus que désormais. En effet, il s’agit de récits que l’anglomanie ayant cours dans ces cénacles qualifierait de « steampunks » et que notre côté emmerdeur dénommerait plutôt des rétrocipations. En tout cas, l’on s’est bien amusé et l’on espère que le lecteur aussi, ce qui compte, n’est-ce pas ?

Yves Letort : Fins de siècle, illustration de Fabrice Le Minier, Flatland éditeur, 2024.

mercredi 3 avril 2024

L'escalier


Pour la quatrième fois depuis 2013, votre Tenancier figure au sommaire du Visage Vert. Les autres nouvelles concernaient le Fleuve, son univers de prédilection. Celle-ci fait exception et aborde un autre registre. Pour ne pas perdre les bonnes habitudes, Céline Brun-Picard a illustré cette histoire de concierge un peu spéciale...

vendredi 1 mars 2024

Télépathie


Nouvel opus de votre Tenancier, Télépathie reste très anecdotique dans ce numéro 7 de Lard-Frit qui s’étoffe et prend des allures de « Livrezine » (terme que je préfère à Mook). La tendance à concentrer les publications en une seule livraison se comprend eu égard à l’augmentation du prix du papier et des frais d’expédition. L’on vous encourage à souscrire et ainsi encourager ce travail, afin de cultiver la diversité dans les publications, parce que la « bollorisation » touche également ces secteurs.
Reste que Télépathie est une nouvelle humoristique avec un chat dedans. M’enfin, il n’y pas que le Fleuve dans les écrits de votre Tenancier chéri…

vendredi 16 février 2024

Traduttore Traditore



Allez zou, les publications de 2024 démarrent par une collaboration à une entreprise amusante cornaquée par Pierre Laurendeau dans sa collection L’Ange du Bizarre aux éditions Ginkgo. Plutôt que de se perdre dans une explication, présentons le deuxième plat de couverture qui vous dévoilera le nécessaire et même plus.



On trouvera au sommaire : Jacques Adit, Alphonse Allais, Jean-Marie Audignon, Sandrine Blais-Deschênes, Patrick Boman, Marine Bourafa, Sylvain Erdepoinzé, Roger Lahu, Pierre Laurendeau, Jean-Louis Lejonc, Yves Letort, Jean-Paul Plaintive, Pauline Rey, Catherine Vasseur, Gilles Verdet et Alain Zalmanski.

jeudi 21 décembre 2023

Mademoiselle Cocodèque

L'esprit de Noël règne sur cette dernière nouvelle de l'année, puisque l'on y prêche l'amour des bestioles ! Cliquez sur la chouette couverture afin d'obtenir plus de renseignements.

vendredi 8 décembre 2023

L'œil et Quatre historiettes

Pour en savoir plus, cliquez ici et
Avec cette revue, votre Tenancier dépasse la centaine de nouvelles publiées. La première, L’œil , nouvelle du Fleuve, est illustrée par Céline Brun-Picard.

samedi 25 novembre 2023

Mademoiselle Cocodèque

Votre serviteur s'est glissé dans le sommaire du prochain numéro de l'Ampoule avec une fable sur la solitude et l'amour des bestioles. Cliquez sur l'image pour mieux voir et commandez donc la revue dont la parution est prévue le 20 décembre.
Merci.

lundi 13 novembre 2023

Un p'tit peu de lecture...


Le numéro ne va pas tarder à paraître et votre Tenancier chéri y figure en bonne compagnie. Rendez-vous à la fin du mois... mais il n'est pas interdit de souscrire ici.

samedi 21 octobre 2023

Un épisode galvanique


Inaugurons ce retour aux parutions de votre serviteur avec Un épisode galvanique, nouvelle qui doit beaucoup à Mary Shelley, mais en nettement moins subtil, bien qu’écrit avec soin et en tentant de rattraper une atmosphère « d’époque »… Bref, votre Tenancier s'essaye à l'humour. Enfin, vous verrez bien, n’est-ce pas, puisque vous allez tous vous précipiter pour vous abonner à Lard-frit, ou est insérée cette nouvelle histoire !
 Le cycle des parutions reprend et ce n’est pas dommage de ce côté-ci de l’écran. Cela donne du cœur à l’ouvrage pour le travail en cours…

lundi 17 juillet 2023

Plaisir d'offrir, joie de recevoir

On aimerait que la conjoncture, les préceptes de l’économie de marché et le goût affirmé du lectorat eussent favorisé la conservation d’un fonds de longue durée chez nos éditeurs, constamment contraints de travailler en flux tendu. Il devient nécessaire de temps à autre de réaliser une partie du stock afin d’assurer la pérennité de la maison d’édition. C’est ce qui arrive cet été avec Le Fort puisque l’ouvrage est proposé à 4,50 € sur le site de l’éditeur. Voici une aubaine pour découvrir cette longue nouvelle ou ce court roman, c’est selon, pondu par mes soins. Que cela soit au moins le prétexte à faire entrer ce livre dans quelques foyers accueillants.
Pour plus d’infos, cliquez ici.
 

vendredi 9 juin 2023

Vous prendrez bien un peu de postface ?





Yves Letort : La main d'Émeline
Collection l'Ange du Bizarre
Couverture de Fabrice Le Minier
Ginkgo éditeur, 2023, 9€

mardi 21 février 2023

La providence du littérateur

(Cliquez sur l'image pour en savoir plus...)

Où votre Tenancier démontre que le recours à la domesticité reste essentiel pour l'accomplissement d'un travail littéraire...

mardi 7 février 2023

Une histoire de constellation


Si vous ne le savez pas vraiment, vous avez dû la subodorer : votre Tenancier s’absente maintenant souvent du blogue parce qu’il écrit par ailleurs et que quatre heures de tensions dans la journée aboutissent à l’épuisement. Guère facile ensuite de vous causer sans se forcer et risquer ainsi de générer du déplaisir. Ai-je envie de m’adresser à vous de mauvaise grâce ? Non.
Les semaines passées ont été consacrées à la dernière main (on verra que le terme est choisi, à la parution de l’ouvrage) à un roman qui était fort mal parti. On reparlera sans doute un jour de la suffisance et des avertissements divers qui ont accompagné la conception et les révisions avant la survenue de sauveteurs. L’une des incidentes de ce récit use du firmament et des constellations comme moteur de l’action ; étrange coïncidence, alors, que de recevoir en cadeau (truffé chaque fois de surprises merveilleuses) d’une amie, ignorante du roman qui se trame, l’essai de William Marx : Des étoiles nouvelles, quand la littérature découvre le monde. Ces hasards fascinent toujours et procurent une illusion magique qui abonde dans notre sens : nous avons raison, puisque les événements nous le confirment, sans que nous les sollicitions de trop. On a commencé à feuilleter le livre et l’on tombe sur le dernier paragraphe :
« À défaut, il n’est possible que de tracer des constellations toujours plus diverses et d’imaginer comment leur dessin se poursuivrait au-delà de l’horizon visible, au-delà du passé historique, au-delà des contraintes trop aisément contestables des faits et du récit de vainqueurs. Alors peut-être se découvriront d’autres étoiles nouvelles, accessibles seulement à l’esprit »

Propos finaux presque anodins s’ils ne venaient en contrepoint exact de la situation développée dans le roman à paraître. Parvenue à ce paragraphe conclusif il nous reste à remonter le cours de l’exposé, ainsi qu’agissent les personnages du récit, intrigués par une constellation. On s’y apprête avec gourmandise en temporisant un peu, toutefois, non par peur de la déception, mais pour prolonger la jouissance.
 

lundi 7 novembre 2022

V.

Votre Tenancier, certes, accorde peu de soins à ce blog. Il faut en trouver la raison à quelques occupations annexes qui le retiennent ailleurs comme, par exemple, la confection d’une anthologie vampirique. On espère revenir à un peu plus de constance dans les temps à venir…
V.
Une anthologie vampirique préparée et présentée par Yves Letort
 

Yves Letort Avant-propos
Benjamin Desmares Bloodkovski
Florent Liau Heureux les affamés de justice
Jean-Hughes Oppel Aux vampires anonymes
Céline Maltère Atalef
Patrick Denieul Au Club des Chirurgiens
Sandrine Scardigli La Marche vers la longue nuit : une demi-étoile
Didier Pemerle Anesthésie, ou Boire à la source
Taddeusz Hiddinko Considérations sur l'épieu
Chantal Rabutin Une correspondance ferroviaire
Sylvain-René de La Verdière Casus Belli
Dolmancé Gode Dracula !
Léo Kennel VampireS de craie
Pierre Laurendeau Végan, le vampire qui n'aimait pas le sang
Nicolas Liau Gris des épines
Fabienne Leloup Hologramme
Patrick Boman L'innommable

Le site de l'éditeur ici