Puis nous évoquions
au précédent billet, en compagnie de Jimi H., les éditions Penguin et
leur production en matière de SF, on est tombé sur cette collection aux
couvertures qui dépaysent de l’habituelle exhibition d'effets à
l'aérographe et de maquettes peu inspirées. Accessoirement, l’on aimera
se constituer un petit florilège d’artistes modernes dont
l’iconographie
nous semble familière même si nous ne pouvons tout identifier de façon
formelle. Seule la signature, par deux fois, de Steinberg nous indique
que ces
couvertures ne sont pas des imitations. On s’amusera à retrouver la
touche de
Picasso et peut-être de Lichtenstein. Nos amis Britanniques peuvent
donc lire
de la SF dans le métro avec un surplus de classe. De plus, les titres sont excellents.
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jeudi 25 février 2021
mercredi 24 février 2021
Blues in blue
L’amateur averti sait que Jimi Hendrix aimait également la SF. Des clichés en noir et blanc, provenant vraisemblablement de la même séance, indiquent que l’ouvrage sur son giron serait l’anthologie de Brian Aldiss : Penguin Science-Fiction Omnibus, un des trois volumes publiés entre 1961 et 1964 et réédités en un seul en 1973
Pour les ceusses qui comprennent l'anglais, allez voir là.
samedi 20 février 2021
Le canal marsien (*)
Une nouvelle sonde vient d’atterrir sur la planète Mars. Le
Tenancier salue l’exploit. Pour l’occasion, il se demande quel premier livre y
débarquera un jour futur. Doit-on songer à une bête Odyssée martienne à la Weinbaum, à quelque connerie libertarienne
telle qu’on la voit sévir fréquemment dans la SF ? Pour notre part, nous aimerions
bien qu’Erik John Stark y fasse son nid, en réminiscence et en prescience de la
sauvagerie latente des canaux marsiens. Et pis y’a des rousses avec des haches.
On lance un sondage ?
Après tout vous trouverez sans doute des choses plus intelligentes à lire aux premiers colons, en attendant qu’ils crèvent d'irradiation et d’anoxie.
(*) Marsien plutôt que Martien, en hommage à l’orthographe adoptée par Henry D. Davray pour sa traduction de La Guerre des Mondes.
On lance un sondage ?
Après tout vous trouverez sans doute des choses plus intelligentes à lire aux premiers colons, en attendant qu’ils crèvent d'irradiation et d’anoxie.
(*) Marsien plutôt que Martien, en hommage à l’orthographe adoptée par Henry D. Davray pour sa traduction de La Guerre des Mondes.
mercredi 3 juillet 2019
Univers
Il reste beaucoup à dire sur cette revue de poche et de
librairie qui parut entre 1975 et 1979 (Une série annuelle suivit, mais tenait
plus de l’anthologie). Son arrivée dans les rayons consacrait l’accession d’un
genre arrivé à maturité, émergence éphémère qui fut tuée rapidement par
l’inanité scénaristique de Star Wars et un anti-intellectualisme dont se
plaignait déjà Philip K. Dick lors de sa venue à Metz en 1977. Précisons au
béjaune et au béotien que la littérature spéculative proposée dans ces pages explorait
des limites qui se situaient aussi bien dans l’imaginaire que dans la
littérature… Mais l’heure n’est point à la déploration, et tout à la nostalgie.
Quarante ans plus tard, apprécions le jeu de couvertures, chaque fois dues à
des artistes différents, excepté Tibor Csernus qui intervint deux fois. On ne
s’en plaindra pas (il était également un « illustrateur maison » chez
J’ai Lu).
Reposons-nous les yeux un instant…
Reposons-nous les yeux un instant…
Tibor Csernus |
Sergio Macedo |
Wojetk Siudmak |
Philippe Caza |
Jean-Claude Forest |
Christopher Foss |
Gyula Konkoly |
Jean Solé |
Jean Mascii |
Jean-Michel Nicollet |
Philippe Druillet |
Enki Bilal |
Moebius |
Marcel Laverdet |
Gaillard |
Liz Bijl |
Jean-Claude Mézière |
Dominique Fagès |
Tibor Csernus |
Le curieux se reportera avec bonheur à la bibliographie de cette revue ici |
vendredi 27 octobre 2017
Proto-S.F.
« À partir du xve siècle finissant, l’essor
de l’imprimerie permit l’impression et diffusion d’un grand nombre de
textes de la littérature populaire, en général vendus à bas prix et utilisant
une « imagerie » qui devint pendant le xvie siècle un répertoire de symboles et de
signes. Parmi ces matériaux il existe une série de textes d’un grand intérêt
qui concerne les prodiges et les visions surnaturelles dans le ciel. Le chiffre
de ces publications va en augmentant surtout à partir des premières années des
Guerres de Religion, ou les événements politiques suscitaient l’intérêt
angoissé du grand public. »
Donald Warren : Les prodiges dans le ciel en France dans la deuxième moitié du xvie siècle, in : Monstres et prodiges au temps de la Renaissance — Paris-Sorbonne (1980)
jeudi 26 octobre 2017
dimanche 24 septembre 2017
10/18 — Boris Vian : Cinéma / Science-fiction
Boris Vian
Cinéma / Science-fiction
Préface et notes par Noël Arnaud
n° 1404
Paris, Union Générale d'Édition
Coll. 10/18
Volume triple
219 pages (224 pages)
Dépôt légal : 4e trimestre 1980
Achevé d'imprimer : 12 novembre 1980
ISBN : 2-264-00326-X
(Contribution du Tenancier)
Index
Cinéma / Science-fiction
Préface et notes par Noël Arnaud
n° 1404
Paris, Union Générale d'Édition
Coll. 10/18
Volume triple
219 pages (224 pages)
Dépôt légal : 4e trimestre 1980
Achevé d'imprimer : 12 novembre 1980
ISBN : 2-264-00326-X
(Contribution du Tenancier)
Index
10/18 — Jean-Pierre Bouyxou : La science-fiction au cinéma
Jean-Pierre Bouyxou
La science-fiction au cinéma
Avec la collaboration de Roland Lethem
n° 564 à 566
Paris, Union Générale d'Édition
Coll. 10/18
Volume quadruple
513 pages (514 pages)
Cahiers photographique 16 pages
Dépôt légal : 2e trimestre 1971
(Contribution du Tenancier)
Index
La science-fiction au cinéma
Avec la collaboration de Roland Lethem
n° 564 à 566
Paris, Union Générale d'Édition
Coll. 10/18
Volume quadruple
513 pages (514 pages)
Cahiers photographique 16 pages
Dépôt légal : 2e trimestre 1971
(Contribution du Tenancier)
Index
mercredi 19 août 2015
mardi 2 juin 2015
Un travail en cours...
En 1999 paraissait une nouvelle du Tenancier dans l’anthologie
Futurs antérieurs, dirigée par Daniel
Riche au Fleuve Noir. Cette histoire intitulée Une curiosité bibliophilique avait la particularité d’avoir été illustrée
selon les indications de l’auteur, et non de façon séparée, de la même manière
que procédaient Hetzel et Verne avec les illustrateurs des Voyages
extraordinaires*. Cela tombait bien : Verne était un des personnage de l’histoire.
Rendons grâce à l’infinie patience de l’illustrateur, Fabrice Le Minier, dont l’abnégation
n’avait d’égale que les exigences mégalomaniaques du Tenancier. En attendant de
republier un jour cette histoire et sa suite d’illustrations, voici quelques
essais et brouillons retrouvés dans les archives et qui ne furent pas retenus
ou qui furent considérablement remaniés.
On retrouvera la suite de ces illustrations de loin en loin sur le blog.
____________________
* L'autonomie de Fabrice était tout de même un peu plus grande, tant pour le sujet que pour la composition...
mercredi 8 avril 2015
Un travail en cours...
En 1999 paraissait une nouvelle du Tenancier dans l’anthologie
Futurs antérieurs, dirigée par Daniel
Riche au Fleuve Noir. Cette histoire intitulée Une curiosité bibliophilique avait la particularité d’avoir été illustrée
selon les indications de l’auteur, et non de façon séparée, de la même manière
que procédaient Hetzel et Verne avec les illustrateurs des Voyages
extraordinaires*. Cela tombait bien : Verne était un des personnage de l’histoire.
Rendons grâce à l’infinie patience de l’illustrateur, Fabrice Le Minier, dont l’abnégation
n’avait d’égale que les exigences mégalomaniaques du Tenancier. En attendant de
republier un jour cette histoire et sa suite d’illustrations, voici quelques
essais et brouillons retrouvés dans les archives et qui ne furent pas retenus
ou qui furent considérablement remaniés.
On retrouvera la suite de ces illustrations de loin en loin sur le blog.
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* L'autonomie de Fabrice était tout de même un peu plus grande, tant pour le sujet que pour la composition...
dimanche 8 mars 2015
Un travail en cours...
En 1999 paraissait une nouvelle du Tenancier dans l’anthologie
Futurs antérieurs, dirigée par Daniel
Riche au Fleuve Noir. Cette histoire intitulée Une curiosité bibliophilique avait la particularité d’avoir été illustrée
selon les indications de l’auteur, et non de façon séparée, de la même manière
que procédaient Hetzel et Verne avec les illustrateurs des Voyages
extraordinaires*. Cela tombait bien : Verne était un des personnage de l’histoire.
Rendons grâce à l’infinie patience de l’illustrateur, Fabrice Le Minier, dont l’abnégation
n’avait d’égale que les exigences mégalomaniaques du Tenancier. En attendant de
republier un jour cette histoire et sa suite d’illustrations, voici quelques
essais et brouillons retrouvés dans les archives et qui ne furent pas retenus
ou qui furent considérablement remaniés.
On retrouvera la suite de ces illustrations de loin en loin sur le blog.
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* L'autonomie de Fabrice était tout de même un peu plus grande, tant pour le sujet que pour la composition...
mardi 24 février 2015
Un travail en cours...
En 1999 paraissait une nouvelle du Tenancier dans l’anthologie
Futurs antérieurs, dirigée par Daniel
Riche au Fleuve Noir. Cette histoire intitulée Une curiosité bibliophilique avait la particularité d’avoir été illustrée
selon les indications de l’auteur, et non de façon séparée, de la même manière
que procédaient Hetzel et Verne avec les illustrateurs des Voyages
extraordinaires*. Cela tombait bien : Verne était un des personnage de l’histoire.
Rendons grâce à l’infinie patience de l’illustrateur, Fabrice Le Minier, dont l’abnégation
n’avait d’égale que les exigences mégalomaniaques du Tenancier. En attendant de
republier un jour cette histoire et sa suite d’illustrations, voici quelques
essais et brouillons retrouvés dans les archives et qui ne furent pas retenus
ou qui furent considérablement remaniés.
On retrouvera la suite de ces illustrations de loin en loin sur le blog.
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* L'autonomie de Fabrice était tout de même un peu plus grande, tant pour le sujet que pour la composition...
vendredi 13 février 2015
Un travail en cours...
En 1999 paraissait une nouvelle du Tenancier dans l’anthologie
Futurs antérieurs, dirigée par Daniel
Riche au Fleuve Noir. Cette histoire intitulée Une curiosité bibliophilique avait la particularité d’avoir été illustrée
selon les indications de l’auteur, et non de façon séparée, de la même manière
que procédaient Hetzel et Verne avec les illustrateurs des Voyages
extraordinaires*. Cela tombait bien : Verne était un des personnage de l’histoire.
Rendons grâce à l’infinie patience de l’illustrateur, Fabrice Le Minier, dont l’abnégation
n’avait d’égale que les exigences mégalomaniaques du Tenancier. En attendant de
republier un jour cette histoire et sa suite d’illustrations, voici quelques
essais et brouillons retrouvés dans les archives et qui ne furent pas retenus
ou qui furent considérablement remaniés.
On retrouvera la suite de ces illustrations de loin en loin sur le blog.
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* L'autonomie de Fabrice était tout de même un peu plus grande, tant pour le sujet que pour la composition...
On retrouvera la suite de ces illustrations de loin en loin sur le blog.
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