Le Tenancier à de ces nostalgies,
parfois…
Comme ça, au hasard d’un
déballage, il feuillette un de ses vieux Métal Hurlant (n°69, novembre 81,
comme ça vous m’embêterez plus) et tombe sur la notule suivante p. 19 :
… et se dit, tout de même que si
le rédacteur se cache sous un pseudonyme (si c'en est un) assez quelconque (quoique), le style,
lui est on ne peut plus reconnaissable. C’est là que le Tenancier devrait
demander l’avis de George WF Weaver. Et puis, fi des cénacles, il ouvre la
question : l’auteur est-il bien celui qu’il pense ?