(Décembre
1944) Les poètes qui adressaient aux feuilles clandestines leur copie dactylographiée, et signée d’un pseudonyme, couraient tout de même un peu moins de danger que les typos qui la composaient. On ne glorifie pas assez le typo. |
Jean Galtier-Boissière : Mon journal depuis la Libération (1945) — p.91 |