Voici que le blogue s’adonne aux
délices du
courrier
des lecteurs ! Dans le dernier billet qui concernait les
Minilivres des
éditions Deleatur, Paul se fendait d’un commentaire :
Nous avons transmis à l’intéressé…
Cher Tenancier,
Merci de m'avoir transmis le message de "Paul"...
Je préfère être confondu avec Pierre Vandrepote qu'avec pierre de taille (bof).
Je ne suis ni l'un ni l'autre... J'ai souvenir d'avoir passé une soirée chez Vandrepote lorsqu'il habitait en Vendée (de mémoire, c'était en 1974). Nous avions discuté de poésie, bien sûr, de surréalisme évidemment... Il m'avait fait découvrir les plaquettes du Dé bleu, qui démarrait tout juste: imprimées au Stencil, une technique qu'ont bien connue les agitateurs post-soixante-huitards, et qui (souvent par les mêmes) servait également à publier de petites plaquettes - nouvelles et poésie. J'ai entretenu ensuite une longue amitié avec Louis Dubost, le big boss du Dé bleu, reconverti en jardinier depuis sa retraite.
J'ai revu ensuite Pierre et son épouse à Paris, je dirais en 1981 ou 1982 - j'ai souvenir leur avoir donné un exemplaire de Cime et Châtiment, mon premier Brigandine.
Autre souvenir: une biographie de Stirner aux éditions du Rocher, qu'il m'avait adressée, je crois - et dont je garde un bon souvenir.
On me confond également avec deux Pierre Laurendeau québécois: l'un chanteur genre Charles Trénet; l'autre spécialisé dans les ouvrages d'éducation - l'un et l'autre plus connus que moi. Une anecdote: en tant qu'adhérent à la Sofia (ouh ouh! vont faire les libraires qui ne vendent jamais mes livres), je perçois de généreuses royalties chaque année. Il y a trois ans, j'ai ainsi reçu 12,85 €, dont 8,43 € dus à mon homonyme pédagogue québécois. D'une honnêteté sans faille, je signalai l'amalgame à la Sofia, qui me remercia et me prévint que le trop-perçu serait régularisé sur les années à venir. Depuis, je n'ai rien touché: j'en déduis que le trop-perçu court toujours. J'avais signalé à mon homonyme québécois cette erreur de destination et lui avait suggéré, comme il arrive fréquemment que nos bibliographies s'emmêlent (il y a même une photo de lui qui illustre ma notice Wikipedia - et je ne sais pas comment l'enlever) que nous écrivions un texte en commun - je n'ai jamais reçu de réponse, ni en remerciement de mon honnêteté (comme quoi, ça ne paie pas!), ni pour ma proposition.
Signalons que Pierre Laurendeau (le seul, le vrai) sévit également sous de nombreux pseudonymes, dont le plus actif semble être Pierre Charmoz, le montagnard.
Voilà
Eh eh
« Suis-je le seul parmi les familiers de ce blog à confondre Pierre Laurendeau et Pierre Vandrepote ? Connaissant mal l’œuvre de l’un et de l’autre bien que possédant depuis longtemps des livres de l’autre et de l’un, je suis systématiquement amené à les confondre quand leur nom apparaît dans mes lectures ou est cité dans une conversation. Suis-je le seul ? Si non, quelles pourraient en être les raisons, à part (trop facile) le prénom en commun ?
Paul »
Nous avons transmis à l’intéressé…
Cher Tenancier,
Merci de m'avoir transmis le message de "Paul"...
Je préfère être confondu avec Pierre Vandrepote qu'avec pierre de taille (bof).
Je ne suis ni l'un ni l'autre... J'ai souvenir d'avoir passé une soirée chez Vandrepote lorsqu'il habitait en Vendée (de mémoire, c'était en 1974). Nous avions discuté de poésie, bien sûr, de surréalisme évidemment... Il m'avait fait découvrir les plaquettes du Dé bleu, qui démarrait tout juste: imprimées au Stencil, une technique qu'ont bien connue les agitateurs post-soixante-huitards, et qui (souvent par les mêmes) servait également à publier de petites plaquettes - nouvelles et poésie. J'ai entretenu ensuite une longue amitié avec Louis Dubost, le big boss du Dé bleu, reconverti en jardinier depuis sa retraite.
J'ai revu ensuite Pierre et son épouse à Paris, je dirais en 1981 ou 1982 - j'ai souvenir leur avoir donné un exemplaire de Cime et Châtiment, mon premier Brigandine.
Autre souvenir: une biographie de Stirner aux éditions du Rocher, qu'il m'avait adressée, je crois - et dont je garde un bon souvenir.
On me confond également avec deux Pierre Laurendeau québécois: l'un chanteur genre Charles Trénet; l'autre spécialisé dans les ouvrages d'éducation - l'un et l'autre plus connus que moi. Une anecdote: en tant qu'adhérent à la Sofia (ouh ouh! vont faire les libraires qui ne vendent jamais mes livres), je perçois de généreuses royalties chaque année. Il y a trois ans, j'ai ainsi reçu 12,85 €, dont 8,43 € dus à mon homonyme pédagogue québécois. D'une honnêteté sans faille, je signalai l'amalgame à la Sofia, qui me remercia et me prévint que le trop-perçu serait régularisé sur les années à venir. Depuis, je n'ai rien touché: j'en déduis que le trop-perçu court toujours. J'avais signalé à mon homonyme québécois cette erreur de destination et lui avait suggéré, comme il arrive fréquemment que nos bibliographies s'emmêlent (il y a même une photo de lui qui illustre ma notice Wikipedia - et je ne sais pas comment l'enlever) que nous écrivions un texte en commun - je n'ai jamais reçu de réponse, ni en remerciement de mon honnêteté (comme quoi, ça ne paie pas!), ni pour ma proposition.
Signalons que Pierre Laurendeau (le seul, le vrai) sévit également sous de nombreux pseudonymes, dont le plus actif semble être Pierre Charmoz, le montagnard.
Voilà
Eh eh
Au vu du lieu de votre rencontre avec ce sieur Vendrepote, cher Paul, il me paraît étonnant de ne pas l'avoir appelé Vendéepote.
RépondreSupprimerHors blagues nulles, j'ai eu, sous mon véritable patronyme évidemment, le même quiproquo que vous avec un homonyme maraîcher de son état du côté de Lyon - alors que je suis journaliste du côté de Toulouse. J'avoue avoir été surpris en recevant ma première commande de carottes et navets puis avoir dû enquêter pour trouver les coordonnées de cet autre "moi". Avec lequel nous avons bien rigolé de la chose, qui s'est reproduite à plusieurs moments - il faut dire que nous avons la même adresse mail, à l'exception du 69 qui, pour ce fournisseur de légumes, indique le département où il sévit (et rien d'autre !).
Et j'attends avec impatience d'aller à Lyon pour "me" rencontrer.
Otto Naumme
Oh, j'oubliais : cela n'étonnera pas ceux qui me connaissent, je profiterai bien sûr de ce passage à Lyon pour faire la tournée des bouchons, pas tant pour les quilles que pour cette passionnante et excellente cuisine locale. J'en salive d'avance !
SupprimerOtto Naumme