Dans les ateliers, la machine à cintrer les guillemets était l’équivalent de la désopilante clé du champ de tir des militaires. Plus d’un apprenti fut envoyé la quérir ; parfois avec une brouette. Selon Chautard 1937, quelques benêts désireux de ne pas rentrer bredouilles se rendaient chez un forgeron. |
in : Orthotypographie — Article Guillemets — par Jean-Pierre Lacroux, disponible en ligne ici.