Dans les ateliers, la machine à cintrer les guillemets était l’équivalent de la désopilante clé du champ de tir des militaires. Plus d’un apprenti fut envoyé la quérir ; parfois avec une brouette. Selon Chautard 1937, quelques benêts désireux de ne pas rentrer bredouilles se rendaient chez un forgeron. |
in : Orthotypographie — Article Guillemets — par Jean-Pierre Lacroux, disponible en ligne ici.
Tiens, tiens... J'imagine que Lacroux cite le typographe Émile Chautard des Goualantes de la Vilette . Et comment s'appelle ce bouquin de 1937 ?
RépondreSupprimerMon cher Jules, suffi que vous cliquiez sur « Chautard » et hop, vous saurez tout !
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