C’est entendu, la fréquentation
abondante des dictionnaires
est une manie de vieux, ce qui fait croire à votre Tenancier que sa
sénescence
a commencé tôt. À sa décharge, il s’agit plus souvent de dictionnaires
biographiques
tels que le Vapereau (on en possède trois éditions, dont on s’amuse de
temps en
temps à remarquer l’évolution de l’entrée Bazaine
dans les volumes de 1858, 1870 & 1880, par exemple !) L’on
détient
également quelques éditions du Bitard et deux ou trois volumes des
albums
Mariani. À tout cela se greffe quelques machins épars, le tout parfois
usé à
cause de l’usage répété jusqu’à notre époque par les possesseurs
successifs.
Tout ceci a servi ses recherches bibliographiques, ce qui excuse un peu
la
manie de vieux, assumée par ailleurs. Quelques entrées, souvent
rédigées par
les concernés eux-mêmes se révèlent d’une mauvaise foi réjouissante.
On est tombé la veille de la rédaction de ce billet sur André de Lorde, comme ça en feuilletant et, même si l’entrée ne se révèle pas la plus brillante, il a paru au Tenancier amusant de reproduire l’article datant de 1934 paru dans Ceux dont on parle, aux éditions de la Vie Moderne…
On est tombé la veille de la rédaction de ce billet sur André de Lorde, comme ça en feuilletant et, même si l’entrée ne se révèle pas la plus brillante, il a paru au Tenancier amusant de reproduire l’article datant de 1934 paru dans Ceux dont on parle, aux éditions de la Vie Moderne…
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