Votre Tenancier chéri est occupé à déménager, c'est entendu. Cela ne l'empêche pas pour autant de se tenir de loin en loin au courant des affaires du monde. Enfin, du monde qui l'intéresse.
Ainsi, on ne fera pas l'injure à nos lecteurs de rappeler ce que fut La Quinzaine littéraire, publication pour honnête homme et moins honnête comme le libraire. On sait peut être moins que la totalité des rédacteur a abandonné le journal face aux nouvelles orientations éditoriales de l'actionnaire majoritaire. Pouah, que de mots dégueulasses à écrire en si peu de temps : actionnaire majoritaire. Errrkh. On en apprendra plus sur le sujet en lisant l'éditorial de la première livraison.
On verra avec plaisir que l'esprit de la Quinzaine, à défaut du titre qui doit être déposé comme marque commerciale, renaît sous forme de site internet et sous le titre de : En attendant Nadeau. Attendons-le ensemble, alors.
Les premiers articles sont arrivés, il sont du goût de votre Tenancier et il partage d'enthousiasme (un petit relent autogestionnaire, ou je m'abuse ?) avec vous l'idée de s'abonner à leur lettre d'information (faudra tout de même leur indiquer que "lettre d'information" est moins injurieux que newsletter). Allez donc y voir. Pas la peine de me remercier, c'est tout naturel. Maintenant, je retourne à mes cartons.
On verra avec plaisir que l'esprit de la Quinzaine, à défaut du titre qui doit être déposé comme marque commerciale, renaît sous forme de site internet et sous le titre de : En attendant Nadeau. Attendons-le ensemble, alors.
Les premiers articles sont arrivés, il sont du goût de votre Tenancier et il partage d'enthousiasme (un petit relent autogestionnaire, ou je m'abuse ?) avec vous l'idée de s'abonner à leur lettre d'information (faudra tout de même leur indiquer que "lettre d'information" est moins injurieux que newsletter). Allez donc y voir. Pas la peine de me remercier, c'est tout naturel. Maintenant, je retourne à mes cartons.
Pour le site, c'est là