Loin de la tièdasserie ordinaire et vertueuse que
nous déversent certains blogs de librairie, on voudrait rappeler ici
l'existence passée d'un libraire turbulent : Gustave Arthur Dassonville.
On connaît de lui la petite revue pamphlétaire qu'il diffusait par la poste : Le Brûlot, coups de gueule exprimés non sans talent.
Cela donne encore des envies... d'autant que les prétextes actuels ne manquent pas.
On trouvera ci-dessous une des ses publications qui donne un petit aperçu de sa vigueur :
On connaît de lui la petite revue pamphlétaire qu'il diffusait par la poste : Le Brûlot, coups de gueule exprimés non sans talent.
Cela donne encore des envies... d'autant que les prétextes actuels ne manquent pas.
On trouvera ci-dessous une des ses publications qui donne un petit aperçu de sa vigueur :
Comment ? Vous ne trouvez pas cela subversif ?
Mais, c'est que vous n'avez pas lu le prière d'insérer, alors :
Mais, c'est que vous n'avez pas lu le prière d'insérer, alors :
Il n'existe pas grand chose de consistant à l'heure actuelle sur le web à son propos. Si un lecteur de passage connaît un livre sur Gustave-Arthur Dassonville ou Le Brûlot, on le prie de bien vouloir nous l'indiquer.
Addenda sur mon bidet : Voilà une affaire qui ne traine pas car, merci Sandrine, voici une occasion d'en savoir plus ici, grâce à Éric Dussert.
Évidemment, le document présenté fait partie des archives personnelles du Tenancier et n'est donc pas en vente...
(Ce billet, revu, a été publiée sur le blog Feuilles d'automne en décembre 2008)