lundi 26 septembre 2016

Une devinette imbitable de George

— « Jamais l'on ne pourra la trouver, celle-là... »
George se vante, mais il a peut être des raisons, après tout, car voici sa devinette :

Que donc quiconque soucieux de son rang pipoleux pourrait préférer à la cour d'assise ?

Ne demandez pas au Tenancier, il est maintenu dans une répugnante ignorance par le dit George...

34 commentaires:

  1. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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    1. Ce n'est pas une vantardise mais un indice très sérieux, cher Tenancier…

      Et j'en profite pour rajouter le terme manquant, car ainsi formulée la question n'a aucun sens :
      Que donc quiconque soucieux de son rang pipoleux pourrait préférer à la cour d'assises ?

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    2. Le rajout a été fait, George

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    3. Merci, cher Tenancier.

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  2. Anonyme08:41

    Cela semble effectivement assez obscur, pour le moins.
    A défaut de trouver une solution, je sais qu'il s'agit forcément de personnes que l'on a envie de gifler, les pipoles à tartes.

    Mais j'ai hâte de voir quelle solution totalement capillotractée va nous être proposée !

    Otto Naumme

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    1. Vous êtes pourtant sans doute le mieux à même de trouver la réponse, cher Otto, puisqu'elle n'est autre qu'un abominable calembour...

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    2. Anonyme08:44

      Vos calembours ne sont jamais abominables, cher George !
      En tout cas, bien moins que les miens (que plus personne ne relève, du reste...)

      Pour autant, j'avoue ne pas trouver. Mes pensées partent vers le Vatican (Pie Paul, ne manque que le type qui sèche pour une épiphanie) ou vers l'onanisme (parce que plutôt qu'une cours d'assise, il vaut mieux être court debout), mais tout cela est bien lamentable et à côté de la plaque, n'est-il pas ?

      Otto Naumme

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    3. A côté de la plaque, sans doute, mais très judicieux à mon sens (plutôt le côté Onan, question références religieuses...)

      "Va-t-y quand même nous cracher le morceau ?", pensez-vous ?
      Promis, craché, juré (de cour d'assises, évidemment) !

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  3. Anonyme10:17

    Je ne voudrais pas accabler le scripteur, mais grammaticalement, il y a quelque chose qui ne va pas. On attendrait, comme premier terme de la question, « quoi » ou « qui». Donc, ayant, à tort ou à raison corrigé mentalement, je suggère une réponse : un fauteuil d’orchestre au premier rang.
    Di.

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    1. Pas mal, si le premier terme de la question était en effet "quoi", mais il ne s'agit pas d'un objet (ni d'une personne, d'ailleurs).
      Je me trompe peut-être, mais vu la réponse le "que" me semble préférable, sur le modèle de "Que pourrait-on préférer..."

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    2. Anonyme18:23

      Ah d’accord.
      D.

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  4. Jules11:31

    La bascule à Charlot ?
    Mais je doute...

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    1. Non point, en effet, mais du coup je réalise à l'instant le piège que je me suis tendu à moi-même : je risque fort de ne pas comprendre la plupart des réponses qui seront proposées !

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    2. Anonyme18:24

      C’est bien normal, pour une devinette.

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  5. Anonyme11:41

    Son quant-à-soi conquis.

    ArD

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    1. Argh, c'est bien ce que je répondais à Jules juste au-dessus...

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    2. Anonyme12:54

      Y aurait-il un semblant de contrepet non rigoureux mais un peu salace ?

      ArD

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    3. Pas dans mon intention, chère ArD, mais je serais ravi d'apprendre à quoi vous songez !

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  6. J'ai bien peur, George, que tout le monde soit au point mort. Autorisez-vous au moins l'assistance publique à vous poser des questions ? Peut-être, par miracle, trouvera-t-on un futé qui aura pigé l'astuce après vous avoir cuisiné. Et puis, vous savez ce que c'est hein, à force d'attendre, il va bien y avoir quelqu'un pour vous prendre le bras en vous parlant un peu fort à l'oreille : « George, vous fatiguez le monsieur, avec vos vannes ! » Je ne dis pas ça pour mon propre compte. Moi, vous me connaissez. Exquis en toutes circonstances, talon rouge et tout le saint-frusquin... je ne me permettrais pas une telle incongruité à votre égard. Mais les gens sont jaloux. Cette veulerie est inusité dans nos parages policés à l'extrême, mais on ne sait jamais, cher George, un égaré, un mal dégrossi voire un va-de-la-gueule qui passerait par là. Nous ne vivons pas dans une forteresse, à bord de ce blog. Ça va, ça vient, mais mêmes les constantes finissent par s'user. C'est un peu comme l'univers, encore un coup de l'entropie, Madame Michu. Pas de déliquescence, rien qu'une morne stabilité, du genre « À quoi bon tout ça ». Moi, je compatis mais je me réserve. N'empêche, ça déserte, ça désaffectionne, ça passe au large. Alors, un petit effort, George. Répondez ou bien donnez un indice, quelque chose qui pourrait nous rassurer, un petit os. Allez, quoi, un p'tit os avec un peu de viande autour. Oh pas grand chose, de quoi agacer le chicot.
    Allez, quoi.

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    1. D'un autre côté, je dis ça, je dis rien...

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  7. Toutes mes excuses, cher Tenancier, mais à ma décharge je dois avouer que la publication de cette devinette tombe pile au moment ou je me suis éloigné en vadrouille, pour quelques jours, loin des écrans : je ne suis donc pas à même de répondre rapidement, loin s'en faut.

    Je le répète, la phrase introductive, surtout en son début, constitue un très fort indice.
    Un dit : "Je ne... saisis pas" ? Il suffit de se demander quel est le contraire de "assis", et on obtient la solution (de vache !)

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  8. Comme le Tenancier est occupé par ailleurs, la devinette tendra encore le haut du pavé typographique — ou numérique, c'est au choix — pendant encore quelque jours. Pressons nos lecteurs de s'y remettre, car nous avons horreur, par ici, de laisser les choses en plan, à plus forte raison les devinettes.
    Donc, chers lecteurs, magnez-vous le train, pour ne pas dire la rondelle.

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  9. Calmez-vous, cher Tenancier : vous savez bien que tout comme partie de sa solution, cette devinette connaîtra un fabuleux destin !

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  10. Modeste proposition :
    Qui donc que, con sous queue, en heureux polisson pourrait fourrer d'assise à la précaire ?

    ou, pour la fin :

    pourrait d'ascèse fourrer à la précise ?

    bien à vous !

    Rechnaïa

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  11. A me relire, je mesure combien les nuits blanches perturbent grandement mon entendement .

    j'y reviens plus reposé ....

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  12. Oui, la nuit blanche rend tant dément !
    Mais je le répète, pas de contrepet ici : pas de sourde acquise, par exemple.
    Juste un affreux calembour...

    Get up, stand up
    Don't give up the fight

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  13. Vous êtes sur le bonne voie, Marchenoir, mais ce n'est pas cela : qu'aurait donc d'ailleurs de pipoleux un bain de boue, contrairement à un bon entartage ?

    Rappelez-vous qu'il n'est pas question de "cour d'assis", mais de "cour d'assises"...

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  14. Demain, je mets un nouveau billet.
    Na

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  15. Bon, maintenant qu'on a la solution, je tiens à rappeler que j'avais fourni de très forts indices : la devinette commençait par « Jamais l'… » (qu'il fallait lire « Jamel »), puis j'ai précisé en commentaire que la solution était « de vache » (telle une bouse) et évoqué les films Indigènes (« Un dit "Je ne…" ») et Le fabuleux destin [d'Amélie Poulain] (premier succès cinématographique de Jamel Debbouze.

    Ah, mais !

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    1. Voui, mais comme vous avez donné la solution, mon cher George, dans les commentaires d'un autre billet, ça fait une belle jambe à ceux qui lisent votre explication ici. Vous êtes êtes un peu désordre, vous...

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  16. Anonyme14:33

    Et moi qui suis de loin, assise dans mon coin, les indices et remarques des brillants esprits qui interviennent ici, pour essayer de comprendre ces énigmes qui me dépassent de loin, et bien j'ai attrapé un torticolis en faisant la navette entre les 2 billets. Mais avec le sourire. Grand merci pour ces délicieuses interventions, et j'en profite pour saluer tout le monde.
    Béatrice

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  17. Salutations bilbliomanes à vous aussi, Béatrice, et puisque le Tenancier n'est pas assez longanime ni confiant dans l'assiduité de ses lecteurs, je signale que la solution est donnée ici.

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    1. Fi donc, le lecteur possède des petits yeux en forme de bouton de bottine... Le Tenancier n'a pas confiance.

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