Yann Frioux
Moise
en 26 lettres
Angers — Éditions Deleatur, 1998
Plaquette 7,5 X 10,5 cm, 16 pages, dos agrafé, couverture à rabats, pas de mention de tirage
Achevé d'imprimer en mars 1999 sur les presses de Deleatur pour le compte de quelques Damoiselles et Damoiseaux
Le Tenancier : Visitons
donc la Planète Moise… je dois
avouer que l’ancien abondant lecteur de SF reste sur sa faim. Les
définitions
reposent principalement sur des astuces de langage qui confinent à la
poésie juvénile,
mais j’ai la sensation de passer à côté de la saveur de ce
mini-dictionnaire
illustré. On présume que les illustrations sont de Yann Frioux et
s’accordent
bien aux définitions. Mais pourquoi ce sentiment de frustration à la
lecture,
est-ce le manque de place ?
Pierre Laurendeau : J’ai rencontré Yann Frioux par l’intermédiaire de Pascal Proust (voir Minilivre 11). Architecte à la retraite, il s’était lancé dans des tissages monumentaux. Une exposition de ses travaux a eu lieu dans le village d’artistes de Rablay-sur-Layon, à peu près au moment de la parution du minilivre.
Yann Frioux habitait une maison qu’il avait construite lui-même, dans un village du val de Loire. Édifice d’architecte visionnaire, sorte de tipi en dur, avec une ouverture ronde – dont j’imagine que l’habitabilité devait être contraignante !
Je l’ai peu connu, suffisamment pour publier trois « planètes » : Moise, Mousse et Plume.
Tu as raison, ô Tenancier, le minilivre (ainsi que les suivants) doit plus à l’invention langagière qu’au déploiement narratif nécessaire à la description d’un monde imaginaire… Mais le projet et l’auteur m’avaient séduit par leur fraîcheur !
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Pierre Laurendeau : J’ai rencontré Yann Frioux par l’intermédiaire de Pascal Proust (voir Minilivre 11). Architecte à la retraite, il s’était lancé dans des tissages monumentaux. Une exposition de ses travaux a eu lieu dans le village d’artistes de Rablay-sur-Layon, à peu près au moment de la parution du minilivre.
Yann Frioux habitait une maison qu’il avait construite lui-même, dans un village du val de Loire. Édifice d’architecte visionnaire, sorte de tipi en dur, avec une ouverture ronde – dont j’imagine que l’habitabilité devait être contraignante !
Je l’ai peu connu, suffisamment pour publier trois « planètes » : Moise, Mousse et Plume.
Tu as raison, ô Tenancier, le minilivre (ainsi que les suivants) doit plus à l’invention langagière qu’au déploiement narratif nécessaire à la description d’un monde imaginaire… Mais le projet et l’auteur m’avaient séduit par leur fraîcheur !
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Suis-je le seul parmi les familiers de ce blog à confondre Pierre Laurendeau et Pierre Vandrepote ? Connaissant mal l’œuvre de l’un et de l’autre bien que possédant depuis longtemps des livres de l’autre et de l’un, je suis systématiquement amené à les confondre quand leur nom apparaît dans mes lectures ou est cité dans une conversation. Suis-je le seul ? Si non, quelles pourraient en être les raisons, à part (trop facile) le prénom en commun ?
RépondreSupprimerPaul