Eh oui, un petit jeu, pour
renouer avec nos habitudes. L’énigme reproduite ici a été publiée au XVIIIe
siècle. On donnera la source lorsqu’elle sera résolue.
Tu m’entends, cher lecteur, mais tu ne peux me voir ;Ce n’est pas très difficile…
Je règne en Souverain sur la machine ronde ;
Du Nautonnier souvent je suis l’unique espoir ;
Et bientôt ma victime, il va périr dans l’onde.
Le Tenancier s'interroge : on lui réclame du jeu à corps et à cri et dès qu'il s'agit de jouer, pfiou, plus personne ! Bon, on va laisser encore cette devinette sans résolution encore deux ou trois jours et on donnera le mot et la provenance...
RépondreSupprimerCher Tenancier, j'avoue que j'ai bien lu cette énigme mais que, malgré mes efforts, je sèche (ce qui, au vu de la teneur du quatrain, est osé, j'avoue).
RépondreSupprimerEt c'est pour cela que je n'avais point réagi.
Mais j'espère que l'un de nos amis plus cultivé que moi (dans ce genre de littérature) saura trouver la réponse.
Otto Naumme
Ah bien ça alors, si même vous, George, vous n'y parvenez pas...
RépondreSupprimerSerait-ce le vent,un bon gros souffle de derrière les girouettes,qui pousse le frêle esquif au risque de l'abîmer ?
RépondreSupprimerFrancis
Cher Francis, c'est exactement cela !
RépondreSupprimerL'énigme a été publiée dans le numéro du 28 novembre 1789 du Mercure de France.