« ... je repense à ces deux contrepets fort classiques (hélas, pas de moi) mais que j'apprécie particulièrement et je me demande si on les a déjà lu sur votre blogue :
— La fiction des éléments me donne livide pensée.
— On n'est jamais trop fort pour ce calcul !
Amitiés,
George. »
Eh bien si ce n'avait été lu, voilà la chose rattrapée ! A vous de trouver et de nous donner le résultat, en commentaires...
La miction des éléphants me donne l'envie de pisser
RépondreSupprimerJe sèche sur la deuxième...
François, je m'avance un peu, mais pas de beaucoup, en vous félicitant à la place de George.
RépondreSupprimerOn éjacule trop fort pour se calmer ?
RépondreSupprimerPas sûr que la réponse soit aboutie, il y a peut-être une finesse supplémentaire, si on ose dire.
(Ce George est décidément un fripon.)
George ?
RépondreSupprimerGeorge, où êtes-vous, mon cher ?
Monsieur Pop et moi-même voudrions savoir s'il a bon.
En l'absence de notre Déité, et sans trop prendre de risque, il semble bien que Pop 9 (le Grand) ait gagné !
RépondreSupprimerRendons grâces en effet à M'sieu Pop et d'abord à François (même s'il "séchait" — le terme n'est peut-être pas approprié — sur la deuxième) : félicitations à tous deux pour leur sagacité !
RépondreSupprimerCher Tenancier, vous vous avanciez sans crainte — et à propos d'avances, comme l'écrivit Corneille, "le désir s'accroît quand l'effet se recule".
Mais question religion, Monsieuye, j'en tiens moins pour les auréoles que pour les aréoles…
Allez, une autre, en hommage pas salace au passé du Tenancier et sous forme de petite annonce :
RépondreSupprimerDonne fauteuil…
(Otto, neuf d'œil !)
Ah, cher George !
SupprimerJe suis touché que vous pensiez à moi lorsqu'il est question de contrepet !
Du reste, nous touchons là presque à l'épectase, j'avais trouvé la "miction des éléphants" (pas le reste, ne rêvons pas, tout de même !)
Et, par ailleurs, votre dernier contrepet me concernant tombe fort à propos, j'ai changé de lunettes avant-hier ! Non que cela ait un quelconque intérêt en soi-même, mais avouez que la coïncidence est amusante.
En vous saluant bien bas - et en abondant dans votre sens en ce qui concerne les aréoles, je ne soutiens guère les saints, tout comme vous...
Otto Naumme
La coïncidence est en effet amusante, mais ne croyez pas que je ne pense à vous qu'à propos de contrepets !
SupprimerEt gardez-vous de l'épectase, mon cher : elle est Faure fatale…
Concernant les saints, je suggère pour ma part qu'on leur fasse rendre gorge (et la chose me semble d'actualité, en ce jour de canonisation d'un fossile de grenouille de bénitier)…
Cher George, vos mots me touchent. Et j'espère que nous aurons l'occasion d'en échanger, des mots, autrement que par ce biais actuel un de ces jours.
SupprimerQuant à l'ami Félix, j'y ai bien sûr pensé. Comment oublier le mot de Clemenceau : "il voulait être César, il ne fut que Pompée" ?
Et en faisant une rapide recherche sur le sujet, je suis tombé sur cet article, inspiré paraît-il d'une relation des faits d'époque :
"Lorsque le prêtre mandé pour lui administrer les derniers sacrements se présente, quelques heures plus tard, il demande à un garde du palais : « Le président a-t-il encore sa connaissance ? », s’attirant la réponse mythique : « Non, elle vient de s’enfuir par l’escalier de service. »"
Quant à ce type de femmes-canon, on se contentera de ricaner sur les colifichets icônistes des bêlants...
Otto Naumme
Merci de rappeler cette anecdote que j'avais oubliée ! Et reconnaissons que Clémenceau, s'il n'était pas clément, n'était pas sot non plus.
SupprimerJe ne voudrais pas faire mon rabat-joie mais êtes-vous sûr que ce soit de Clemenceau ? Le mot est attribué en général à "la presse" sans que la source soit identifiée. D'autre part, pour le "coup de l'escalier", Armand Lanoux déclare l'anecdote apocryphe ("La mystérieuse affaire Steinheil",d'Armand Lanoux in Le roman vrai de la IIIe République de Guilleminault). Mais l'affaire est tellement scandaleuse et drôle qu'elle mérite bien ces bons mots, c'est vrai. Et puis, on ne prête qu'aux riches...
SupprimerJoli ! Et pas salace, ce qui surprend.
RépondreSupprimerEt pas sans râles, ce qui surpasse…
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