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Avec cette parution, le Tenancier se
paye un peu de
nostalgie, non en raison du sujet traité à quatre reprises dans ce
recueil,
mais parce que la moitié des nouvelles fut rédigée vingt-cinq ans plus
tôt, à l’époque
ou la SF le passionnait plus que désormais. En effet, il s’agit de
récits que l’anglomanie
ayant cours dans ces cénacles qualifierait de « steampunks »
et que
notre côté emmerdeur dénommerait plutôt des rétrocipations.
En tout cas, l’on s’est bien amusé et l’on espère que le lecteur aussi,
ce qui
compte, n’est-ce pas ?
Yves Letort : Fins de siècle, illustration de Fabrice Le Minier, Flatland éditeur, 2024.
Rétrocipation, j'aime bien. Même s'il n'y a pas le côté punk.
RépondreSupprimerLe Tenancier est grand (surtout sur des échasses).
Otto Naumme