Continuons notre jeu estival.
Puisque certains de nos lecteurs sont adeptes de la contrepèterie, nous
allons simplement demander à qui appartient cette citation :
Je préfère subir les assauts des pique-assiettes que les assiettes de Picasso.
Le Tenancier n'est pas loin de partager cet avis...
Des adeptes du contrepet, ici-même ?
RépondreSupprimerAllons donc, je n'en ai jamais croisé !
(à part Otto, peut-être, tout de même…)
Faites le malin, George... on voit bien que vous séchez.
RépondreSupprimerCocteau, m'a dit une relation que les mythes abusent.
RépondreSupprimerMerci Gil, effectivement, c'est lui !
RépondreSupprimerHé oui, et je le savais (si, si, promis-juré, nananèreu !) mais Cocteau ne m'ayant jamais fait trop mouiller je préférais sembler sécher.
RépondreSupprimerAlors poursuivons le jeu : à quelle pique (assiette ?) de Breton ce mot de Cocteau (lui-même grand pique-assiettes !) répond-il ?
Gil, n'abusez pas trop des contrepets, vous risquez de verser dans la philantropie de l'ouvrier charpentier…
7 ans de réflexion et toujours pas de réponse ?
SupprimerTout le monde sèche ! Et je me demande si ce n'est pas George qui revient à ce blog en cliquant toujours sur ce billet, histoire de remuer le fer dans sa plaie...
SupprimerQue nenni ! C'est me prêter là bien de la malignité…
RépondreSupprimerLe fer dans sa plaie se fait dans la perle, et j'avais complètement oublié celle-ci, justement !
Après m'être bien ratissé le ciboulot, il me revient que c'est à Breton que l'on attribue cette pique : "Un cocktail, des Cocteau".
Désolé pour ce temps de réponse digne de Billy Wilder.
C'était donc ça !
SupprimerEt dire que je me suis creusé le ciboulot pour cette citation...