mercredi 9 juillet 2014

Les assiettes de Picasso

Continuons notre jeu estival.
Puisque certains de nos lecteurs sont adeptes de la contrepèterie, nous allons simplement demander à qui appartient cette citation :

Je préfère subir les assauts des pique-assiettes que les assiettes de Picasso.

Le Tenancier n'est pas loin de partager cet avis...

9 commentaires:

  1. Des adeptes du contrepet, ici-même ?
    Allons donc, je n'en ai jamais croisé !
    (à part Otto, peut-être, tout de même…)

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  2. Faites le malin, George... on voit bien que vous séchez.

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  3. Cocteau, m'a dit une relation que les mythes abusent.

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  4. Merci Gil, effectivement, c'est lui !

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  5. Hé oui, et je le savais (si, si, promis-juré, nananèreu !) mais Cocteau ne m'ayant jamais fait trop mouiller je préférais sembler sécher.

    Alors poursuivons le jeu : à quelle pique (assiette ?) de Breton ce mot de Cocteau (lui-même grand pique-assiettes !) répond-il ?

    Gil, n'abusez pas trop des contrepets, vous risquez de verser dans la philantropie de l'ouvrier charpentier…

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    1. 7 ans de réflexion et toujours pas de réponse ?

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    2. Tout le monde sèche ! Et je me demande si ce n'est pas George qui revient à ce blog en cliquant toujours sur ce billet, histoire de remuer le fer dans sa plaie...

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  6. Que nenni ! C'est me prêter là bien de la malignité…
    Le fer dans sa plaie se fait dans la perle, et j'avais complètement oublié celle-ci, justement !

    Après m'être bien ratissé le ciboulot, il me revient que c'est à Breton que l'on attribue cette pique : "Un cocktail, des Cocteau".
    Désolé pour ce temps de réponse digne de Billy Wilder.

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    1. C'était donc ça !
      Et dire que je me suis creusé le ciboulot pour cette citation...

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