Le Tenancier parfois se livre à l’ennui presque au péril de
sa vie. Pour autant, il ne fera pas de tribulations en Chine pour y remédier.
Lorsque le Tenancier s’ennuie il ne lit pas, mais il fabrique des petits
machins. Quand on est en détention à l’intérieur de soi-même, rien ne vaut les
travaux manuels. Mais vous connaissez le Tenancier : il ne fait rien qui
ne s’accorde à ses petites manies. S’il ne lit pas, il fabrique des bouquins
pour son plaisir et parfois celui des autres. C’est ainsi que le dimanche qui à
précédé le présent exposé, il a fabriqué une plaquette sur le coin de son
bureau. Il n’en ferait pas état d’ordinaire, mais comme le texte est captivant
et visible par tout le monde, le Tenancier n’hésite plus : il partage...
Il faut dire que, de loin en loin, il assaisonne ses pauvres correspondants de sa prose (trop) courante et qu’il garde pour lui les textes qu’il distingue au hasard des lectures dans la presse ou sur certains blogs en les imprimant. Hélas, rien n’est plus emmerdatifs que le format A4. Il se résout donc à jouer de la PAO, du cutter et de la colle pour garder les textes les plus intéressants dans sa bibliothèque dans un format plus agréable.
Le texte retenu ici est intitulé A la recherche du Rivage des Syrtes et on trouvera le lien vers l'article ici. Cette exploration géographique du roman rejoint celle d’Yves Lacoste parue dans la revue Hérodote il y a pas mal de temps... On ne s’étendra pas trop longtemps sur l’affection — presque banale — du Tenancier pour Gracq. On comprendra tout de même l’obligation de confectionner cet article en brochure.
La composition a été faite avec un vieux Pagemaker, pour une raison essentielle — qui a présidé à toutes ses autres confections de livres : le logiciel comporte un « plugin » qui permet d’imposer les pages (c’est à dire de les classer de telle sorte qu’elles se succèdent une fois assemblées en cahier). Votre Tenancier n’est pas un professionnel en matière de typographie et il a de nombreuses lacunes dont il a bien conscience. Il garde par devers lui les fichiers de ses petits travaux, se réservant la possibilité d’améliorer ses exemplaires.
Restent les plaisirs variés de la mise en page, du suivi de l’impression, du découpage des pages (pas de massicot : règle métallique et cutter !), leur assemblage et, pour la première fois, la confection d’une couverture avec un dos carré/collé. On ne sait si cela tiendra. Tant pis, le plaisir fut grand et tout à coup on s’ennuya moins.
Et cela fait un livre de plus dans la bibliothèque.
Notons pour finir que, bien sûr, l’ouvrage est destiné à l’usage personnel du soussigné (ad usum Tenancier !) et est donc tiré à un seul exemplaire...
Il faut dire que, de loin en loin, il assaisonne ses pauvres correspondants de sa prose (trop) courante et qu’il garde pour lui les textes qu’il distingue au hasard des lectures dans la presse ou sur certains blogs en les imprimant. Hélas, rien n’est plus emmerdatifs que le format A4. Il se résout donc à jouer de la PAO, du cutter et de la colle pour garder les textes les plus intéressants dans sa bibliothèque dans un format plus agréable.
Le texte retenu ici est intitulé A la recherche du Rivage des Syrtes et on trouvera le lien vers l'article ici. Cette exploration géographique du roman rejoint celle d’Yves Lacoste parue dans la revue Hérodote il y a pas mal de temps... On ne s’étendra pas trop longtemps sur l’affection — presque banale — du Tenancier pour Gracq. On comprendra tout de même l’obligation de confectionner cet article en brochure.
La composition a été faite avec un vieux Pagemaker, pour une raison essentielle — qui a présidé à toutes ses autres confections de livres : le logiciel comporte un « plugin » qui permet d’imposer les pages (c’est à dire de les classer de telle sorte qu’elles se succèdent une fois assemblées en cahier). Votre Tenancier n’est pas un professionnel en matière de typographie et il a de nombreuses lacunes dont il a bien conscience. Il garde par devers lui les fichiers de ses petits travaux, se réservant la possibilité d’améliorer ses exemplaires.
Restent les plaisirs variés de la mise en page, du suivi de l’impression, du découpage des pages (pas de massicot : règle métallique et cutter !), leur assemblage et, pour la première fois, la confection d’une couverture avec un dos carré/collé. On ne sait si cela tiendra. Tant pis, le plaisir fut grand et tout à coup on s’ennuya moins.
Et cela fait un livre de plus dans la bibliothèque.
Notons pour finir que, bien sûr, l’ouvrage est destiné à l’usage personnel du soussigné (ad usum Tenancier !) et est donc tiré à un seul exemplaire...
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