Non seulement il en fait dans les commentaires, mais il en destine pour les billets de notre blogue. La voici donc :
Rien de tel pour les grands verruqueux que la Côte d'Azur.
Ne demandez la clef pas au Tenancier, il patauge. On compte donc sur George pour nous confirmer ce que vous avez pu trouver.
Rien de tel pour les grands culs véreux qu'une cure d'azote.
RépondreSupprimerArD
Bravo.
RépondreSupprimerNous n'avions trouvé que la cure d'azote et en étions à chercher une formule à base de verrat(s).
(Ce George, tout de même, quel dégueulasse.)
Ah ça on est bien d'accord, Monsieur Pop !
RépondreSupprimerFichtre, ArD, vous me surpassez bigrement, car l'ingénu que je suis n'avait nullement songé à un contrepet sur "verruqueux" !
RépondreSupprimerAh oui, parfois, je me surprends moi-même, d'autant qu'il ne m'a pas fallu 15 secondes pour déchiffrer cette contrepèterie.
RépondreSupprimerArD
Un bon coup de côte ravit l'émeu.
RépondreSupprimerJ'en tremble d'émotion...
SupprimerJe l'ai comprise, celle-là !!!
Va bien falloir huit jours pour que je m'en remette...
Merci à vous, cher Gil, j'ai l'impression grâce à vous d'atteindre le nirvana, je comprends enfin une contrepèterie...
Otto Naumme
Mais la logique de la réalité physique commanderait plutôt le pluriel :
RépondreSupprimerDe bons coups de côtes ravissent l'émeu
Vous ratiocinez, George, on vous a connu nettement plus approximatifs dans vos contrepets. Veuillez (et veillez à) ne pas en rajouter sur vos petits camarades.
RépondreSupprimerEt puis, bienvenue à Gil.