Mes fidèles lecteurs remarqueront
que, cette fois, j'ouvre beaucoup de parenthèses au cours de ce récit
palpitant. Qu'ils m'en excusent si ça leur déplaît. La parenthèse c'est
un peu l'opium du littérateur. Qu'ils me permettent aussi de leur faire
respectueusement remarquer que je les referme toujours.
San Antonio
Du mouron à se faire
(1955)
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