Le Tenancier se défoule, parfois, à
écrire quelques histoires. Il y a quelques temps, il a fourni un
certain nombre de nouvelles courtes pour le très sympathique site Les
deux Zeppelins. On vous convie à les lire en
vous priant par avance de bien vouloir excuser l'auteur pour son style
approximatif (on l'a traité avec justesse, récemment, d'écrivaillon).
On vous
tiendra tout de même au courant de chaque parution, jusqu'à l'août
prochain, moment où tous ces textes disparaîtront du site.
(Nous marquerons les nouveautés en gras...) Cette liste d'histoires ne sera plus liée au site à la fin de l'été 2018. Ces publications éphémères permettront à votre Tenancier de reprendre ces nouvelles et leur donner un développement que ne lui permettait pas la règle du jeu des Deux Zeppelins, c'est-à-dire de confectionner des textes qui ne dépasses pas deux mille signes...
(Nous marquerons les nouveautés en gras...) Cette liste d'histoires ne sera plus liée au site à la fin de l'été 2018. Ces publications éphémères permettront à votre Tenancier de reprendre ces nouvelles et leur donner un développement que ne lui permettait pas la règle du jeu des Deux Zeppelins, c'est-à-dire de confectionner des textes qui ne dépasses pas deux mille signes...
La saga du Ténébreux :
Illustrations de Férid Khalifat
— Prologue, où la fatigue et le froid règnent et où l’on conclut dans une ruelle populeuse
— Dans lequel on progresse dans le sable et les cailloux
— Où le printemps est goûté par notre héros et son domestique
— Où la pugnacité n'empêche pas les sentiments.... des considérations qui en découlent
— Dans lequel Le Ténébreux affronte le Grand Prêtre de Din, où éclate la vérité
— Où Le Ténébreux arriva sur le champ de bataille et ce qu'il advint
— Où l'empire de la soif l'emporte sur le destin et ses aléas
— Où l'industrie du tourisme doit encore fournir des efforts
— Dans lequel la lassitude prend fin au pied des collines
— Où nos héros s'investissent dans la production de sacs à main
— Où le lecteur est convié à faire un peu de géographie
— Où l'on se libéra du blocus de Ferenor et ce qui s'ensuivit
— Où l'occasion est donnée à nos héros de vivre un moment bucolique
— Où l'on s'engage dans un périple quelque peu verbeux
— Premier récit de la diligence
— Deuxième récit de la diligence
— Troisième récit de la diligence
— Quatrième récit de la diligence
— Dans lequel nos héros font une halte... et des
bénéfices— Deuxième récit de la diligence
— Troisième récit de la diligence
— Quatrième récit de la diligence
— Où l'on choisit ses accessoires pour le désert
— Dans lequel on vérifie qu'un complot, ce n'est pas de la tarte !
— Dans lequel régna le Ténébreux et ce qu'il advint
— Où l'on constate que l'addiction fait des ravages. De ses conséquences
— Où même les condamnés ont l'esprit de famille
— Où l'on vérifie que les tavernes sont des puits d'où la vérité sort migraineuse
— Où « se contenter » ne comporte pas d'acception restrictive
— Dans lequel on vérifie l'inanité d'un retour au passé
— Où la tempérance est certes économe, mais bien ennuyeuse
— Dans lequel on constate que le péril peut se trouver dans la descente
— Où l'on prend congé du Ténébreux
(La série est close. Chaque chapitre reste consultable jusqu'au mois de
septembre.)
Chronique du Fleuve :
(Pour en savoir plus, cliquez ici)
— Les tourbières
— La créature
— Les artefacts
— Le pyroscaphe
— Les enfants morts
— La fièvre
— L’îlot
— La pluie
— Le pont
— Les bocaux
(La série est close. Chaque histoire reste consultable jusqu'au mois de
septembre.)
Du dressage des enfants :
— Introduction
— Du refus
— Des maladies
— De la sélection
— De l'ennui
— De la contrainte
— De la terreur
— Du conditionnement
— De la punition
— De l'hyperactivité
... Et à propos :
Une
leçon de pédagogie
d’Érasme. — « Un enfant de noble famille doit avoir de nobles
façons :
Levez-vous, restez le corps droit et la tête nue chaque fois que vous
adressera
la parole quelqu’un à qui vous devez du respect. N’ayez pas l’air
triste, ni
sombre, ni insolent, ni effronté, ni étourdi ; que votre figure
traduise
une bonne humeur pleine de réserve. Tenez toujours vos regards
déférents fixés
sur votre interlocuteur et demeurez les pieds joints et les mains en
repos.
Gardez-vous de vous balancer d’une jambe sur l’autre, de gesticuler, de
vous
mordre les lèvres, de vous gratter la tête, de vous fourrer les doigts
dans les
oreilles… Souvenez-vous d’éviter le bavardage déplacé et l’étourderie…
À table,
montrez-vous de bonne humeur, en vous souvenant toujours de la décence
naturelle à votre âge. Faites-vous servir le dernier. Vous offre-t-on
quelque
friand morceau, refusez avec modestie, n’acceptez que si l’on insiste
et dites
alors merci, puis, gardant pour vous une petite part, rendez le reste à
celui
qui vous l’a donnée ou bien à un de vos voisins de table. Quelqu’un
vient-il de
boire à votre santé, marquez-lui votre gratitude en souriant, mais
buvez vous-même
avec modération, vous contentant, si vous n’avez pas soif, d’effleurer
de vos
lèvres votre verre. Si l’on tient des propos obscènes, ne souriez pas
et prenez
l’air de celui qui ne comprend pas… » in : revue Grandgousier — nov.-déc. 1948 |
(La série est close. Elle
reste consultable jusqu'au mois de septembre.)
— Rapport remis à M. Edward Heath sur les événements de Wallington le 23 février 1972
— Hard Science
— L'Effet Kowalski
— Les gens
— Apparition de brune matinale
— Mais ils sont tout petits !
— Manifeste pour une cinéma d'horreur écologique
— Mémoire sur la migration des parapluies en zone boréale
— Robert
(La liste est close. Elle
reste consultable jusqu'au mois de septembre.)
On espère que le prochain textulet sera la suite d'icelui...
RépondreSupprimerArD
Naturliche, chère ArD...
SupprimerNe disait-on pas sur le modèle du célèbre forgeron que "c'est en écrivant qu'on devient écriveron" ?
RépondreSupprimer... et que c'est en étant bûcheron que Léonard devint scie.
SupprimerNi orgueil ni désespoir dans le fait que je sois un écrivaillon, Josie, plutôt un certain amusement. Mieux vaut traverser l'existence de cette manière.