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Au téléphone, moi au libraire :
— Je suis intéressé par votre belle collection de telle revue, je pourrais passer la voir ?
— Oui, rencontrons-nous. Ne vous inquiétez pas, je fais des prix
raisonnables, je ne me cale pas sur les prix effarants qu'on voit sur
Internet.
Quelques jours plus tard, dans sa boutique :
— Alors, vous la vendez combien ?
— Tant de centaines d'euros. J'ai vérifié sur Internet, ça se vend pas à moins. |
Les Temps Modernes, sans nul doute…
RépondreSupprimerAlors, comme ça, c'est vous George, qui avez essayé de fourguer la revue ?
SupprimerMeuh non : moi, tout ce qui m'intéresse dans les revues, c'est pas de majorer les prix mais de reluquer les petites culottes des majorettes !
RépondreSupprimerVous avez fait de la librairie trop longtemps, mon vieux...
SupprimerSans vouloir me défiler, je passe de père Vert à père Plexe…
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