Vous connaissez George, vous qui fréquentez ce présent blogue et surtout celui dont il s'occupe de temps à autre, c'est-à-dire pas trop souvent en ce moment, ce que nous regrettons... donc, je disais : vous connaissez George, dès qu'il s'agit de jouer, il frétille de partout. Enthousiasmé par la proposition de Grégory dans notre précédent jeu, voici qu'il nous propose à son tour de deviner de quel film sont tirées ces images, volontairement altérées pour vous compliquer un peu l'existence.
Votre Tenancier a trouvé et George n'a rien trouvé de mieux que s'exclamer :
Je me disais bien que c'était trop facile...
Vous savez quoi ? Eh bien le George, le Tenancier l'aime quand même.
Vous savez quoi ? Eh bien le George, le Tenancier l'aime quand même.
Comme d'habitude, fournissez la réponse dans les commentaires...
Je penche pour La Neuvième Porte de Polanski.
RépondreSupprimerJe me souviens juste que j'avais trouvé le film assez ridicule.
Vous penchez bien, mon cher...
RépondreSupprimerEn plus, je suis obligé de faire le service après vente de George !
Pour revenir au film, j'en ai un vague souvenir. La seule chose qui me reste, se trouve dans la scène ou l'homme complètement mutique se voit subtiliser pour une somme dérisoire l'originale du Quichotte. Mais c'est vrai : plus on avance, plus on sombre dans le ridicule.
RépondreSupprimerMoi aussi, c'était la seule chose qui me restait à l'esprit, et c'est de cette séquence d'ouverture que sont extraits les deux premiers photogrammes. Les volumes qu'on aperçoit sur le deuxième sont précisément ceux de cette édition. Toute la suite est d'une ineptie à dormir debout.
SupprimerBravo, Grégory, mais j'étais certain en proposant cette énigme d'enfoncer des portes ouvertes !
RépondreSupprimerEt j'ignore pourquoi le Tenancier parle d'images altérées (il a dû se désaltérer un tantinet trop…) : c'est juste que je n'ai réussi à attraper qu'une version pourrie sur Ioutioube lorsque je me suis intégralement recogné ce pensum à l'intrigue effectivement ridicule — risible, même — pour le seul plaisir des joueurs du présent blogue.
J'étais altéré moi-même, eh patate !
Supprimerc'est un film de genre dont le grotesque, totalement assumé, permet l'affleurement de la poésie visuelle si chère à Polanski
RépondreSupprimerC'est tout de même kitsch...
SupprimerOn remarquera que si Polanski a été accablé de critiques, c'est surtoutpour avoir jadis franchi malignement d'autres portes dissimulées…
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