Il en parlait plus tôt ce midi :
ces derniers matins,
le Tenancier retourne à une volupté ancienne qui consiste à ne plus se
lever et
à rester dans le lit à bouquiner, même s’il se trouve à jeun, les bras
refroidis
hors de la couette parce qu’il faut bien tenir le bouquin et tourner
les pages.
Bref, l’on retourne à la paresse et à un certain délice qui désire
ne plus
se presser, commencer la journée en douceur et même envie de repiquer
dans le
sommeil, ce qui est également arrivé, mais non sans avoir terminé le
chapitre,
car rien n’est plus irritant à nos yeux que d’interrompre le rythme
d’une
lecture. Dans ces conditions, impossible de replonger. L’on raconte
ceci
histoire de dire merde à ceux qui voudraient nous faire obéir. La
résistance commence
par le plumard, aussi dangereux d’ailleurs que de s’engager dans
l’armée puisqu’on
y meurt également souvent… Quelques fois, le Tenancier ne lit pas, il
rêvasse
et cela aboutit parfois à des récits à écrire. Le monde se porterait
mieux si
on restait quelques heures de plus au chaud, des bouquins à portée de
main et p’têt
ben des hauts à manches longues pour ne pas se refroidir les avant-bras.
samedi 29 novembre 2025
jeudi 27 novembre 2025
Les prodigieuses victoires de la dialectique
Signalons aux curieux, une nouvelle fois, la sortie d’une petite plaquette du Tenancier dont on trouvera le détail en lien ici sur son site d'auteur — la référence descendra à mesure des ajouts, donc si vous consultez ce billet dans quelques mois, il existe de fortes chances pour que ce qui occupe le haut de la page soit un autre volume. Pour les ceusses qui chercheraient à obtenir une de ces brochures, la chose devient difficile si vous ne connaissez pas le Tenancier, ce qui vous empêche de lui communiquer votre adresse. Le tirage forcément limité de ces plaquettes (souvent moins de 20 exemplaires) oblige, de plus, à opérer des choix, excepté pour les intimes et les très vieux amis. La nécessité d’apprécier les fictions du Tenancier constitue également un plus non négligeable, savez-vous ? Mais, même ainsi vous ne serez pas assurés de recevoir ses productions. Comme je vous l’indiquais, sur les quelques exemplaires tirés, seules trois ou quatre personnes peuvent se vanter d’avoir reçu la majeure partie des plaquettes. Les autres guettent leurs boîtes aux lettres et c’est tant mieux : il convient de se faire désirer plutôt que d’importuner des personnes qui ne vous demandent rien, après tout. Tout de même, les retours sont bien agréables et, pour cette raison, votre Tenancier continuera d'infliger d'indicibles souffrances à son imprimante et à solliciter les moyens de plus en plus coûteux de la Poste..
On continuera de vous annoncer ces petites choses en vous redirigeant vers le site qui en donnent les détails.
mercredi 26 novembre 2025
Une historiette de Béatrice
dimanche 23 novembre 2025
samedi 22 novembre 2025
Merci
On s’était promis de ne pas se livrer à la pratique de la nécrologie sur ce blogue, mais la disparition de Jean Guidoni valait d’être marquée. Merci, et bon voyage…
vendredi 21 novembre 2025
Nous aussi, on a notre Mandela !
Il paraît que Sarkozy va sortir un
bouquin chez une maison
Bolloré sur son séjour à la Santé. On espère que cet opuscule ne se
révélera qu’un
modeste prologue pour une matière plus importante et donc a fortiori
plus
nauséabonde dans les temps à venir pour cause de prolongation entre
quatre murs.
Bien que l’on réprouve le régime carcéral, on ne peut s’empêcher
d’éprouver ce que porte ce
mot mis en avant par une certaine mode, ces derniers temps :
la schadenfreude. On aimerait que ce
sentiment de jouissance un peu malsaine se perpétue à l’égard de cet
homme qui
n’a que « l’indignité » à la bouche, mais surtout dans ses
inconduites.
Mais bien plus que le plaisir anticipé d’une récidive de séjour dans nos prisons surpeuplées, toutefois dans le carré VIP, il s’agit bien de la fascination pour l’obscénité qui réside dans ce projet d’édition-là. Comme ont dit : il fait fort ! Mais pourquoi hésiter, puisque tout lui est permis, n’est-ce pas ?
Vraiment, il est grand temps qu’on évite les bouquins de chez Bolloré, comme ces éditions Fayard.
Mais bien plus que le plaisir anticipé d’une récidive de séjour dans nos prisons surpeuplées, toutefois dans le carré VIP, il s’agit bien de la fascination pour l’obscénité qui réside dans ce projet d’édition-là. Comme ont dit : il fait fort ! Mais pourquoi hésiter, puisque tout lui est permis, n’est-ce pas ?
Vraiment, il est grand temps qu’on évite les bouquins de chez Bolloré, comme ces éditions Fayard.
mercredi 12 novembre 2025
Une historiette de Béatrice
vendredi 7 novembre 2025
La fuite au château
Vous le savez, votre Tenancier fréquente très régulièrement les pages de Lard-Frit. La dernière nouvelle publiée dans les colonnes du magazine prend de la hauteur, dans un univers un peu en déshérence. On profite de la présente pour vous dire qu’on va revenir progressivement aux affaires…
Pour en savoir plus, cliquez donc là.
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