Il paraît que Sarkozy va sortir un
bouquin chez une maison
Bolloré sur son séjour à la Santé. On espère que cet opuscule ne se
révélera qu’un
modeste prologue pour une matière plus importante et donc a fortiori
plus
nauséabonde dans les temps à venir pour cause de prolongation entre
quatre murs.
Bien que l’on réprouve le régime carcéral, on ne peut s’empêcher
d’éprouver ce que porte ce
mot mis en avant par une certaine mode, ces derniers temps :
la schadenfreude. On aimerait que ce
sentiment de jouissance un peu malsaine se perpétue à l’égard de cet
homme qui
n’a que « l’indignité » à la bouche, mais surtout dans ses
inconduites.
Mais bien plus que le plaisir anticipé d’une récidive de séjour dans nos prisons surpeuplées, toutefois dans le carré VIP, il s’agit bien de la fascination pour l’obscénité qui réside dans ce projet d’édition-là. Comme ont dit : il fait fort ! Mais pourquoi hésiter, puisque tout lui est permis, n’est-ce pas ?
Vraiment, il est grand temps qu’on évite les bouquins de chez Bolloré, comme ces éditions Fayard.
Mais bien plus que le plaisir anticipé d’une récidive de séjour dans nos prisons surpeuplées, toutefois dans le carré VIP, il s’agit bien de la fascination pour l’obscénité qui réside dans ce projet d’édition-là. Comme ont dit : il fait fort ! Mais pourquoi hésiter, puisque tout lui est permis, n’est-ce pas ?
Vraiment, il est grand temps qu’on évite les bouquins de chez Bolloré, comme ces éditions Fayard.
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