Une idée, saugrenue après coup,
m’avait incité à vous raconter « ma vie dans une starteup » qui
consistait à vous décrire la névrose à peine organisée de ce genre
d’entreprise à travers un de ses acteurs. Et puis, j’ai réalisé au bout
du compte à quel point cette tentative était vaine, parce que, en somme
cela s’appelle « Le monde du travail » et que chaque lecteur en a
éprouvé une version plus ou moins inepte. Bref, revenir sur tout cela
aboutissait à se dégrader soi-même au travers d’une relation de faits
et de situations dépassés. L’on a mieux à faire que de se plaindre, ce
qui m’amène à clore cette rubrique-là de façon prématurée, et sans
regret.
Je comprends votre point de vue, cher Tenancier. Mais je trouve tout de même que votre propos se montrait intéressant, d'autant que je ne pense pas que ces faits et situations soient dépassés, même si "du passé" (pour vous ou moi).
RépondreSupprimerCela étant, je me répète, je comprends votre point de vue.
Otto Naumme
Mon cher Otto,
SupprimerQuand je parle de ce qui est dépassé, je ne puis parler que pour moi, bien entendu. En définitive, je me suis rendu compte qu'il devenait préférable de lâcher prise devant les manifestations de la stupidité et de l'arrogance rencontrées à cet époque. Qu'aurait apporté de plus de m'en plaindre de nouveau ?