Christophe, qui anime le très
intéressant blog L’autre Hidalgo, se pique au jeu
de la
bibliographie. C’est visiblement l’exposition du titre d’Arno Schmidt dans notre recension des 10/18
qui
suscite son enthousiasme. Voici sa glane pour l’édition originale
française :
— 1 page de titre
— Poème pp 7-8
— Roman pp 9-183
— Postface p 189
— Table p 192
Et maintenant, voici les images du livre, qui remplacent en grande partie la notice bibliographique :
in-8°, 192 pages, broché.
— 1 page de garde
— 1 page de titre
— Poème pp 7-8
— Roman pp 9-183
— Postface p 189
— Table p 192
Et maintenant, voici les images du livre, qui remplacent en grande partie la notice bibliographique :
L'idée d'établir une bibliographie
autour des Lettres Nouvelles est ma foi fort tentante, en parallèle
avec ce que nous faisons à propos des 10/18, sachant que ces entreprises éditoriales étaient plutôt complémentaires. On s'en remet à
la bonne volonté des habitués du blog à ce sujet...
Waouh ! Quelle magnifique édition, qui hélas ne m'est jamais passée entre les mains…
RépondreSupprimerMerci, Christophe !
Beaucoup d'accointances en effet entre Nadeau et Bourgois, mais peu de titres des LN repris en 10/18, me semble-t-il : à part les Gombrowicz, je ne vois pas. Pas de Lowry, pas de Douassot… Qui donc d'autre ?
Il faut que je me secoue pour vous envoyer le Ferdydurke de Gombrowicz en 10/18 !!!
SupprimerSinon je rage de ne pas avoir les Scènes en 10/18 !
Mon cher George, quand je dis complémentaire, vous mettez trop de hâte à y mettre une autre signification. Les deux se complètent mais se chevauchent assez rarement, comme vous le remarquez. Votre étonnement est donc surprenant.
SupprimerChristophe, envoyez quand vous voulez !
Cher Tenancier, c'est votre étonnement qui me surprend puisque le mien n'a rien que de naturel étant donné le malentendu.
SupprimerChristophe, de quel 10/18 parlez-vous ? Le n°385-386, traduit par un soi-disant "Brone" (couverture Arcimboldo), ou bien le n°741, retraduit par Georges Sédir, où les mollets deviennent des cuisses ?
Mais de quel malentendu parlez-vous, mon doux George ?
SupprimerAucune importance, c'était à propos de l'expression "entreprises complémentaires".
SupprimerIl s'agit de la traduction de Georges Sédir Georges.
SupprimerComplémentaire n'induit pas obligatoirement une substitution...
RépondreSupprimerJe vous sens chafouin, sur ce coup-là, George.