Pour le côté anglo-normand, je pencherais bien pour Hugo... mais pour les reste du raisonnement qui y mène, je suis dans le noir le plus complet, le noir de sèche, bien sûr...
… Sans doute parce que vous préférez les calamars aux calembours !
Non, ce n'est pas Hugo, mais l'évocation d'un romancier-fleuve me fait songer à Romain Rolland, dont un des titres n'est pas sans rapport avec la solution de cette énigme tératologique…
Vous savez bien que je suis un travailleur de l'amer, mon cher George. Romains, voyons, voyons... Knock ? Les copains ? Les Homme de bonne volonté ? Les 7 chrysalides de l'extase (à débattre...) ?
Jean-Christophe ? Colas Breugnon ? Cerambault ? De toute façon, il en a écrit un telle tapée que votre indice ne sert que de confirmation après coup...
Bon, bon, encore un indice : si cette pièce tout sucre tout miel et pour le moins gavante avait été représentée, elle aurait certes connu des hauts et des bas… Allez, c'est du gâteau !
Vous savez quoi, George ? Eh bien je n'y arrive pas. Je ne sais pas si c'est un blocage ou si c'est congénital mais là je crois que je vais retourner me zoner dans le plumard. En plus le désintérêt apparent de ceux qui passent au large de ce blog me fatigue. Je sais bien que je fais ça pour m'amuser avec les potes que j'aime bien mais là j'sais pas, le changement de saison qui s'annonce en subreptice, à la vicieuse, y est peut-être pour quelque chose. Alors, voilà, je vais publier un billet en attente de monsieuye, en mettre un autre de mon cru et puis je vais vous laisser vous amuser entre vous pour quelques jours... Il y a des jours, comme ça.
Vous inquiétez pas, George, vous me connaissez assez pour savoir que mes énervements sont la plupart du temps contre moi-même. Je ne suis hélas pas à la hauteur de mes prétentions, semble-t-il.
J'eusse aimé contribuer, cher Tenancier, cher George, mais j'avoue rester coi devant l'énigme. Le pire étant que tous les indices proposés par ce cher George m'embrouillent un peu plus à chaque fois. En gros (comme en maigre, d'ailleurs), je sèche...
Sans chercher à vous casser les nougats, je ne voudrais pas être chocolat sur ce coup-là : je le répète, c'est du gâteau ! D'une simplicité enfantine, à vrai dire.
Il est vrai que je suis seul à blâmer si vous vous endormez : c'est que la solution a prodigué ses effets…
Ah là là, faut tout faire soi-même ici ! Encore un indice : il paraît que cette pièce a failli être adaptée en comédie musicale au clair de la lune par les Frères Jacques.
Pour le côté anglo-normand, je pencherais bien pour Hugo... mais pour les reste du raisonnement qui y mène, je suis dans le noir le plus complet, le noir de sèche, bien sûr...
RépondreSupprimer… Sans doute parce que vous préférez les calamars aux calembours !
RépondreSupprimerNon, ce n'est pas Hugo, mais l'évocation d'un romancier-fleuve me fait songer à Romain Rolland, dont un des titres n'est pas sans rapport avec la solution de cette énigme tératologique…
Vous savez bien que je suis un travailleur de l'amer, mon cher George.
SupprimerRomains, voyons, voyons...
Knock ?
Les copains ?
Les Homme de bonne volonté ?
Les 7 chrysalides de l'extase (à débattre...) ?
Hélas, vous ne cessez de vous bercer d'illusions — ce qui incidemment devrait vous fournir un indice — : tous les Romains ne mènent pas à Jules !
SupprimerEffectivement, je ne suis pas réveillé ce matin, moi !
SupprimerQu'on me plaigne un peu, aussi...
Jean-Christophe ?
RépondreSupprimerColas Breugnon ?
Cerambault ?
De toute façon, il en a écrit un telle tapée que votre indice ne sert que de confirmation après coup...
(Il faut dire que je ne suis pas très fan de Romain Rolland...)
RépondreSupprimerMoi non plus : il vaut pas deux ronds, ce veau !
RépondreSupprimerTout ce qu'il y a de citadin, ce veau, évidemment…
SupprimerBon, bon, encore un indice : si cette pièce tout sucre tout miel et pour le moins gavante avait été représentée, elle aurait certes connu des hauts et des bas…
RépondreSupprimerAllez, c'est du gâteau !
Vous savez quoi, George ? Eh bien je n'y arrive pas. Je ne sais pas si c'est un blocage ou si c'est congénital mais là je crois que je vais retourner me zoner dans le plumard. En plus le désintérêt apparent de ceux qui passent au large de ce blog me fatigue. Je sais bien que je fais ça pour m'amuser avec les potes que j'aime bien mais là j'sais pas, le changement de saison qui s'annonce en subreptice, à la vicieuse, y est peut-être pour quelque chose. Alors, voilà, je vais publier un billet en attente de monsieuye, en mettre un autre de mon cru et puis je vais vous laisser vous amuser entre vous pour quelques jours...
RépondreSupprimerIl y a des jours, comme ça.
Comptine-huez comme ça, mon cher ! Moi j'y suis pour rien, si vos autres aficionados y trouvent que c'est pas d'jeu !
SupprimerVous inquiétez pas, George, vous me connaissez assez pour savoir que mes énervements sont la plupart du temps contre moi-même. Je ne suis hélas pas à la hauteur de mes prétentions, semble-t-il.
SupprimerJe ne m'inquiète pas — sinon de votre chleuasme. C'était juste un indice de plus…
SupprimerJ'eusse aimé contribuer, cher Tenancier, cher George, mais j'avoue rester coi devant l'énigme. Le pire étant que tous les indices proposés par ce cher George m'embrouillent un peu plus à chaque fois.
RépondreSupprimerEn gros (comme en maigre, d'ailleurs), je sèche...
Otto Naumme
Avec les hauts et les bas, on se croirait à l'Alpe d'Huez.
RépondreSupprimerArD
Plutôt une sierra,, ArD.
RépondreSupprimerSans chercher à vous casser les nougats, je ne voudrais pas être chocolat sur ce coup-là : je le répète, c'est du gâteau ! D'une simplicité enfantine, à vrai dire.
RépondreSupprimerIl est vrai que je suis seul à blâmer si vous vous endormez : c'est que la solution a prodigué ses effets…
Allez, encore un indice : cliquez ici.
Ah là là, faut tout faire soi-même ici !
RépondreSupprimerEncore un indice : il paraît que cette pièce a failli être adaptée en comédie musicale au clair de la lune par les Frères Jacques.
Plus il y a d'indices, et plus je suis perdu...
SupprimerOtto Naumme
Comme moi.
SupprimerOn pourrait dire que la solution — ce n'est pas que je la biche — tient en une courte ligne…
RépondreSupprimerLà, ça s'éclaircit un peu parce que vous nous le donnez, pratiquement. Mais pour le titre, je rame toujours.
RépondreSupprimerPrononcez distinctement le nom de l'auteur suivi dudit titre et tout s'éclairera pour mieux endormir tout le monde !
RépondreSupprimerOuaile, puisque tout le mode s'est endormi, voici Diane sévère !
RépondreSupprimerFeydeau, naturellement.
Je viens effectivement de saisir, en "françisant" le fameux titre, ce que tout cela donnait.
SupprimerMon dieu mon dieu mon dieu...
C'est plus tiré par les cheveux qu'une nuit sur le mont Chauve !
Otto Naumme