Vous avez raison, George. Pour ma part, constatant l'inanité d'une telle prétention contenue dans le titre de Carnegie, je ne me suis jamais penché sur le contenu pour en apprécier la différence, songeant par ailleurs de l'inutilité d'une telle démarche à la lueur de notre solitude irrémédiable et d'un programme télé peu attractif (cherchez pas, George, Le Tenancier fait des phrases, comme d'habitude).
Rien qu'à commencer à écrire ce commentaire, j'ai déjà le rouge de la honte qui me monte au front (ma nature capillaire interdisant que ce soit une troupe d'anglaises qui fassent le même trajet). Mais il faut malgré tout que je pose la quetion : quel est le titre de ce "best-seller" de ce monsieur Carnegie ? J'avoue ne pas connaître.
Quant à la petite histoire de notre chère Béatrice, il faut quand même avouer que c'est là une évolution heureuse de l'aspirateur pour l'anniversaire ou le fer à repasser pour Noël - il y a quand même prétexte littéraire derrière cette oeuvre, "La parfaite ménagère", n'est-il pas ? De la culture, de l'élévation spirituelle ! Non ? Me serais-je trompé ?
En revanche, dans le même genre, il y en a un que j'adore : Le parfait secrétaire de chez Larousse. Ça se lit comme un roman et c'est parfois à pisser de rire, notamment les modèles de lettres du genre "rétractation de fiançailles" (le fiancé écrivant à son ci-devant futur beau-père…)
C'est tout de même moins vexant que le best-seller de Dale Carnegie (dont le titre n'a d'ailleurs aucun rapport avec le contenu) !
RépondreSupprimerVous avez raison, George. Pour ma part, constatant l'inanité d'une telle prétention contenue dans le titre de Carnegie, je ne me suis jamais penché sur le contenu pour en apprécier la différence, songeant par ailleurs de l'inutilité d'une telle démarche à la lueur de notre solitude irrémédiable et d'un programme télé peu attractif (cherchez pas, George, Le Tenancier fait des phrases, comme d'habitude).
SupprimerNotre Tenancier semble dans une phase plus houellebecquienne que dagermanienne…
SupprimerJ'ai feuilleté une fois le bouquin en question : ça prétend expliquer comment grimper fissa l'échelle sociale en écrasant les autres sur son passage.
Ni l'un (heureusement) ni l'autre (hélas), mon cher George. De plus je vous ai dit que je faisais de phrases et non des phases, enfin !
SupprimerRien qu'à commencer à écrire ce commentaire, j'ai déjà le rouge de la honte qui me monte au front (ma nature capillaire interdisant que ce soit une troupe d'anglaises qui fassent le même trajet).
SupprimerMais il faut malgré tout que je pose la quetion : quel est le titre de ce "best-seller" de ce monsieur Carnegie ? J'avoue ne pas connaître.
Quant à la petite histoire de notre chère Béatrice, il faut quand même avouer que c'est là une évolution heureuse de l'aspirateur pour l'anniversaire ou le fer à repasser pour Noël - il y a quand même prétexte littéraire derrière cette oeuvre, "La parfaite ménagère", n'est-il pas ? De la culture, de l'élévation spirituelle !
Non ? Me serais-je trompé ?
Otto Naumme
Otto, soyez exaucé. Allez voir là.
SupprimerEn revanche, dans le même genre, il y en a un que j'adore : Le parfait secrétaire de chez Larousse.
RépondreSupprimerÇa se lit comme un roman et c'est parfois à pisser de rire, notamment les modèles de lettres du genre "rétractation de fiançailles" (le fiancé écrivant à son ci-devant futur beau-père…)
Vous me faites penser au Manuel du parfait petit secrétaire commercial de Jacques Sternberg... Est-celui-ci ?
SupprimerNope, voyez ici.
SupprimerLe genre de manuel que le livre de Sternberg pasttiche, justement.
Oui, je connais ce volume, je l'ai déjà croisé. De là à le lire, je n'ai pas vos perversions, mon cher George.
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