Le séjour forcé chez le Comité Anonyme des Blagues Carambar n'est si désagréable (régime mono-alimentaire mis à part, car je ne goûte guère les sucreries à répétition) mais il est rare que je parvienne à tromper suffisamment la vigilance de mes geôliers pour accéder à Internet : il me faut les inonder de calembours si subtils qu'ils s'enfuient tous en se bouchant les oreilles. Ces salopards veulent me contraindre à leur concocter des jeux de mots ineptes pour leurs emballages de confiserie mais je tiens bon et ne désespère pas de leur fausser compagnie bientôt...
Ah les salauds ! Je sais qu'ils ont essayé de vous bâillonner, George : ce matin à 5h j'ai entendu des "Mmmmmh mmmh mmmmmh" dans le combiné de mon téléphone. Ce ne pouvait être que vous. Ah les salauds, quand même...
La journée est loin d'être terminée, du moins à Bayonne.
RépondreSupprimerBéatrice
Serait-il bâillonné ?
RépondreSupprimerOui ! (Voir ci-dessous !)
SupprimerLe séjour forcé chez le Comité Anonyme des Blagues Carambar n'est si désagréable (régime mono-alimentaire mis à part, car je ne goûte guère les sucreries à répétition) mais il est rare que je parvienne à tromper suffisamment la vigilance de mes geôliers pour accéder à Internet : il me faut les inonder de calembours si subtils qu'ils s'enfuient tous en se bouchant les oreilles.
RépondreSupprimerCes salopards veulent me contraindre à leur concocter des jeux de mots ineptes pour leurs emballages de confiserie mais je tiens bon et ne désespère pas de leur fausser compagnie bientôt...
Ah les salauds !
SupprimerJe sais qu'ils ont essayé de vous bâillonner, George : ce matin à 5h j'ai entendu des "Mmmmmh mmmh mmmmmh" dans le combiné de mon téléphone. Ce ne pouvait être que vous.
Ah les salauds, quand même...
Ce n'était pas moi, je roupillais doucement, bercé par les remugles de ces machins au caramel.
SupprimerQuelque entité du Fleuve, peut-être ?
Pardonnez-leur, autant qu'il vous sera parts données...