Tiens, c’est l’été et toujours
pas de jeu sur blog du Tenancier…
Réparons l’outrage.
Réparons l’outrage.
CHARADETu perdras mon second, si tu n’as mon premier ;
En deux sens différens, mon tout peut se comprendre ;
Et si tu t’y prends bien, tu pourras me surprendre
Sur les lèvres d’Iris, ou bien dans ton grenier.
(Par M. le Ch. de P***)
À vous de trouver le mot derrière
la charade, publiée dans un ancien Mercure
de France. Comme d’habitude, on attend votre réponse en commentaire, en
vous priant de laisser votre nom ou un pseudo.
On commence doucement, elle est facile.
On commence doucement, elle est facile.
Elle semble trop facile pour être honnête.
RépondreSupprimerC est souris! Et c est nous sinon gagne!
RépondreSupprimerEh bien, ça n'aura pas traîné !
SupprimerCompliment, madame !
Ah ben, si elle est fastoche, j'ose pas imaginer celles qui le seront pas...
RépondreSupprimerHeureusement qu'il y a cette chère m'dame Filliat pour savoir.
Parce que le m'sieur Naumme, lui, il en savait que pouic !
Otto Naumme
Bravo Madame Filliat !
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