Mon cher George, il s'agit d'un photogramme tiré de The Unholy Three, la version parlante, je pense, non celle de 1924. Cette dernière version est un diamant noir dans l'imaginaire de votre Tenancier (avec The Penalty et quelques autres films avec Lon Chaney...)
Ah, merci, mais je ne crois pas avoir vu cette version-là, et je ne me souviens que des scènes où il est déguisé en grand-mère avec son faux bébé qui est en réalité un nain (tonnerre, que fait le troisième, déjà ?!) Et comment s'appelle donc cette merveille surréaliste où il va jusqu'à se trancher les bras par amour fou ?
The Unknown ! De toute façon, la plupart des films muets avec lui sont extraordinaires. pour The Unknown je possède une copie dégueulasse. Je vous recommande The Penalty où son interprétation est également une performance puisqu'il y joue un cul-de-jatte. Lorsque l'on sait en quelles circonstances et de quelle manière ce fut fait, on admire.
Le Club des Trois ! Je ne connaissais pas le remake du film de tod Browning. Et pour agacer Otto, un gag tiré de Tata Wiki : "Ce fut le dernier film de Lon Chaney et son seul film parlant. Quelques semaines après le tournage, l'acteur décédait d'une hémorragie à la gorge, à la suite d'un cancer des bronches." Comme quoi le parlant fut une vraie malédiction.
Pareille connivence entre réalisateur et acteur ne s'est retrouvée par la suite qu'avec Ford et Wayne, Curtiz et Flynn, Edwards et Sellers, Truffaut et Léaud… (qui d'autre encore ?)
Je pense que vous faites allusion à Todd Browning (vous êtes un peu dispersé...). Oui, vous avez raison, mon cher George. On peut penser aussi, dans les contemporains, à Soderbergh et Clooney.
Moi, ce libraire-là, j'irai pas lui chercher la petite bête avec des requêtes improbables ou farfelues, ou des chipotages de tout petit épicier. L'air farouche et la panoplie style gangster, peut-être une solution pour éloigner les fâcheux amateurs de chicanes à propos de livres...
Mon cher Wroblewski, de toute façon, les libraires ne sont pas forcément des gens agréables et pour ce qui est du gangstérisme... certains en connaissent un rayon.
Pour ma part, j'ai filouté sans vergogne fournisseurs et clients, puisque telle est la loi du métier après celle qui ordonne que chacun soit content de son lot, mais sans jamais user d'armes autres que rhétoriques.
Et puisqu'il est question de gangsters, je rappelle que ceux-ci maniaient le browning et que "mort" se dit "tod" en allemand…
Beau cliché, aussi chouette que la séquence de Bogart et Dorothy Malone dans The Big Sleep !
RépondreSupprimerMais c'est dans quel film, là ?
Mon cher George, il s'agit d'un photogramme tiré de The Unholy Three, la version parlante, je pense, non celle de 1924. Cette dernière version est un diamant noir dans l'imaginaire de votre Tenancier (avec The Penalty et quelques autres films avec Lon Chaney...)
SupprimerAh, merci, mais je ne crois pas avoir vu cette version-là, et je ne me souviens que des scènes où il est déguisé en grand-mère avec son faux bébé qui est en réalité un nain (tonnerre, que fait le troisième, déjà ?!)
SupprimerEt comment s'appelle donc cette merveille surréaliste où il va jusqu'à se trancher les bras par amour fou ?
The Unknown !
SupprimerDe toute façon, la plupart des films muets avec lui sont extraordinaires. pour The Unknown je possède une copie dégueulasse. Je vous recommande The Penalty où son interprétation est également une performance puisqu'il y joue un cul-de-jatte. Lorsque l'on sait en quelles circonstances et de quelle manière ce fut fait, on admire.
Le Club des Trois ! Je ne connaissais pas le remake du film de tod Browning.
SupprimerEt pour agacer Otto, un gag tiré de Tata Wiki :
"Ce fut le dernier film de Lon Chaney et son seul film parlant. Quelques semaines après le tournage, l'acteur décédait d'une hémorragie à la gorge, à la suite d'un cancer des bronches." Comme quoi le parlant fut une vraie malédiction.
Jules, la chose est encore plus terrible et symbolique : Lon fut élevé par des parents sourds!...
SupprimerPareille connivence entre réalisateur et acteur ne s'est retrouvée par la suite qu'avec Ford et Wayne, Curtiz et Flynn, Edwards et Sellers, Truffaut et Léaud… (qui d'autre encore ?)
SupprimerJe pense que vous faites allusion à Todd Browning (vous êtes un peu dispersé...). Oui, vous avez raison, mon cher George. On peut penser aussi, dans les contemporains, à Soderbergh et Clooney.
SupprimerRoux et Combaluzier ?
Supprimer(j'aime fournir des évidences de mon immense culture...)
Otto Naumme
Moi, ce libraire-là, j'irai pas lui chercher la petite bête avec des requêtes improbables ou farfelues, ou des chipotages de tout petit épicier. L'air farouche et la panoplie style gangster, peut-être une solution pour éloigner les fâcheux amateurs de chicanes à propos de livres...
RépondreSupprimerMon cher Wroblewski, de toute façon, les libraires ne sont pas forcément des gens agréables et pour ce qui est du gangstérisme... certains en connaissent un rayon.
SupprimerPour ma part, j'ai filouté sans vergogne fournisseurs et clients, puisque telle est la loi du métier après celle qui ordonne que chacun soit content de son lot, mais sans jamais user d'armes autres que rhétoriques.
RépondreSupprimerEt puisqu'il est question de gangsters, je rappelle que ceux-ci maniaient le browning et que "mort" se dit "tod" en allemand…
Le Browning, c'est du petit calibre...
SupprimerCertes, mais je le préfère à Police Python 357, par exemple…
SupprimerMoi, je serais plutôt Winchester 73, mais on s'éloigne du sujet.
SupprimerQuel putain de chef d'œuvre, en effet !
SupprimerDu coup, je rajoute Mann-Stewart à la liste des osmoses…
Serait-ce l'osmose de la fin ?
SupprimerOtto Naumme