Il arrive qu’au hasard du générique d’une revoyure on tombe
sur un nom évoquant autre chose qu’un film de gangster. Ce fut le cas ce soir
lorsque les noms, défilant au début de La
métamorphose des cloportes, on rencontra le nom de François Valorbe,
écrivain, poète et à l’occasion figure traversière dans un film. Retrouver un
visage sur un nom recèle parfois quelque chose de déroutant. Vraiment, m’attendais-je
à se visage et à se rôle dans le film, celui d’un employé dans une agence de
placement ? À la réflexion : oui.
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