[…] J’espère que le parallélisme du destin de
Poulet-Malassis et du mien s’arrêtera là : il a fait faillite (comme les
trois quarts des éditeurs). Notons qu’il vaut mieux mourir après avoir fait
faillite avec les Fleurs du Mal sur
sa tombe que disparaître en laissant une fortune tirée de littératures ou
médiocres ou indignes.
José Corti : Souvenirs désordonnés (1983) |
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