lundi 19 juillet 2021

Manière de finir

[…] J’espère que le parallélisme du destin de Poulet-Malassis et du mien s’arrêtera là : il a fait faillite (comme les trois quarts des éditeurs). Notons qu’il vaut mieux mourir après avoir fait faillite avec les Fleurs du Mal sur sa tombe que disparaître en laissant une fortune tirée de littératures ou médiocres ou indignes.
 
José Corti : Souvenirs désordonnés (1983)

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