Vous avez la paix sinistre ? Ralentissez un peu le pastaga, cher Tenancier : trois litres par jour c'était bon pour Jean de Florette, pas pour conter fleurette ! Passez donc au chouchenn, vous ferez plus couleur locale… (Enfin, je dis ça, mais c'est qu'on s'tâte — et puis au fond, c'est con les stats).
Cinquante degrés, c'est pas des nuances de gris (ni même de noir torché) : c'est la limite légale du titrage en alcool en notre doux pays de la tolérance. Tous les bouilleurs de cru peuvent vous le certifier : après distillation (à environ 80°), faut rajouter de l'eau de source.
M'enfin, je feins, je feins : normal puisque je suis feignant de nature !
Et comment ! Que voulez-vous, cher Tenancier, voilà plusieurs jours que tournent dans ma tête ces vers d'Eugène Pottier : Les journalistes policiers marchands de calomnie ont déversé sur nos charniers leur flot d'ignominie. Jules
C'est les rats scélérats ?
RépondreSupprimer… ou bien les vers minent ?
RépondreSupprimerLa critique rongeuse des souris, comme disait le vieux Karl ?
RépondreSupprimerElle grouille tant que je pourrais me croire en delirium tremens. Le pire, c'est que votre Tenancier ne se sent même pas pessimiste, il constate.
RépondreSupprimerVous avez la paix sinistre ?
RépondreSupprimerRalentissez un peu le pastaga, cher Tenancier : trois litres par jour c'était bon pour Jean de Florette, pas pour conter fleurette !
Passez donc au chouchenn, vous ferez plus couleur locale…
(Enfin, je dis ça, mais c'est qu'on s'tâte — et puis au fond, c'est con les stats).
Ne feignez donc pas d'en rester au ras des pâquerettes, George (j'allais dire : premier degré).
SupprimerCinquante degrés, c'est pas des nuances de gris (ni même de noir torché) : c'est la limite légale du titrage en alcool en notre doux pays de la tolérance.
SupprimerTous les bouilleurs de cru peuvent vous le certifier : après distillation (à environ 80°), faut rajouter de l'eau de source.
M'enfin, je feins, je feins : normal puisque je suis feignant de nature !
Marrant qu'avec toute la vermine qui grouille comme un tas de verrues (air connu) vous vous tapiez un échange au sujet de l'alcool. Isn'n it ?
RépondreSupprimerSigné Jules.
SupprimerVous noterez, cher Jules que la conversation s'est orientée là-dessus sans que je pousse à la roue. Mais je trouve cette image plutôt prémonitoire.
SupprimerEt comment ! Que voulez-vous, cher Tenancier, voilà plusieurs jours que tournent dans ma tête ces vers d'Eugène Pottier :
SupprimerLes journalistes policiers
marchands de calomnie
ont déversé sur nos charniers
leur flot d'ignominie.
Jules