Et à propos de Marx et de cinoche et puisque vous le mettez actuellemnt en exergue, Europa, ça fait un heureux ou pas ? Ou un beau repas ? Et… ça met les beurs au pas ? (Enfin, je demande, juste pasque c'est quand même pas mal jean-marc barré, comme film… I shall now count from one to ten.)
Péripatéticienne d'excrément, qu'il fait le difficile, qu'il est délicat (bientôt des reliquats ?…) notre délic/ieux/tueux Tenancier !
Ce film c'est de la pure balle de la mort qui dézingue à toute berzingue, une sorte d'équivalent de Six tises Heineken cinquante ans après ! Enfin, je dis ça, je dis rien.
Sans parler de la maestria technique, les plans en couleurs sur fond en NB, etc., bien avant le déboulement des effets spéciaux numériques. Juste une révolution mahousse dans l'histoire du cinéma.
Ah, désolé pour l'anonymat involontaire : c'était moi, les deux commentaires précédents (hé hé, quelle surprise, n'est-ce pas ?)
Pour en revenir au titre de votre billet, ça me rappelle cette réplique de Fernandel dans une scène finalement coupée au montage de La vache et le prisonnier : lorsqu'il quitte le camp d'internement, il s'écrie : « Vache de Lager ! »
Duck soup ?
RépondreSupprimerJ'ai comme un doute, tout à coup. Je dirais oui, quand même...
SupprimerEt à propos de Marx et de cinoche et puisque vous le mettez actuellemnt en exergue, Europa, ça fait un heureux ou pas ?
RépondreSupprimerOu un beau repas ?
Et… ça met les beurs au pas ?
(Enfin, je demande, juste pasque c'est quand même pas mal jean-marc barré, comme film…
I shall now count from one to ten.)
Pas esbaudis par ce film, George, que je trouve intéressant quand même.
SupprimerPéripatéticienne d'excrément, qu'il fait le difficile, qu'il est délicat (bientôt des reliquats ?…) notre délic/ieux/tueux Tenancier !
RépondreSupprimerCe film c'est de la pure balle de la mort qui dézingue à toute berzingue, une sorte d'équivalent de Six tises Heineken cinquante ans après !
Enfin, je dis ça, je dis rien.
Sans parler de la maestria technique, les plans en couleurs sur fond en NB, etc., bien avant le déboulement des effets spéciaux numériques.
Juste une révolution mahousse dans l'histoire du cinéma.
Mais bon, comme quoi, chacun ses goûts…
Et j'ajoute tout de go, et sans phares : comme certains pensent en Hollande, c'est beau, l'aine royale !
RépondreSupprimerAh, désolé pour l'anonymat involontaire : c'était moi, les deux commentaires précédents (hé hé, quelle surprise, n'est-ce pas ?)
RépondreSupprimerPour en revenir au titre de votre billet, ça me rappelle cette réplique de Fernandel dans une scène finalement coupée au montage de La vache et le prisonnier : lorsqu'il quitte le camp d'internement, il s'écrie : « Vache de Lager ! »
(C'était spéciale dédicace à notre ami Otto)
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