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une tenue de camouflage et une machine à écrire électrique ou comment
l'on arrive après tout le monde en un point spatio-temporel donné — L'Anniversaire du Grand Anonyme — Arrivé au sommet des pyramides ensevelies — Aspects de la carrière consciencieuse d'un inspecteur de police trop soucieux des aspects secondaires de son métier — Les Aventures de la Structure Molle — Le Camion qui buvait les fleurs et restituait du temps — Cessons de nous tourmenter : la fin, la vraie, n'est que pour après-demain ; voisins, réjouissons-nous de la longueur de l'apocalypse ! — Comment, quand et où mourut le temps, pour des raisons inconnues, sur le balcon en dessous du balcon — La Course de Casanova — Écrit pour la surface en vertu de mes certificats — Eh ! Et si l'Amour des étoiles avait plus de rapports avec la chair qu'on ne le croit ? — Les Enfantes meurent en jouant — Expériences en sous-sol — Histoire d'une histoire toute seule — Irradiés, l'amour, la solitude, la pendule — Multiplication du voleur — La Musique des surfaces — Notes pour l'accueil du vide — Où celui qui croyait aux lemmings et les voyait déjà courir vers leur fin se retrouve au bout du compte seul au pied d'une falaise peu métaphorique — Où vont les lapins blancs — Pour une pratique einsteinienne de la dissertation — Quand le cancer fera de toi une forteresse, voisin, sauras-tu retrouver la douceur de tes paysages et la naïveté des dessins de ton enfance ? — Quelques aspects de la crise du logement après la guerre atomique, résolus par le maniement d'un interrupteur — La Question d'où naquit la plage — Scènes de la vie quotidienne de l'édifice, en abécédaire, et mouvements d'objets de mécanismes, de personnages, d'idées — Sept épisodes de la vie intense mais régulière du Haut Commissaire Chargé des Affaires Ordinaires du Peuple — Si vous balbutiez encore dans votre tombe de pierres, pensez et priez, et peut-être les vivants découvriront-ils des limites au camp ! |
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Excellent traducteur du seul roman SF de Westlake, Anarchaos, glaçant au possible (c'est le cas de dire, vu la température sur la face sombre de la planète…) et de la nouvelle de Dick, Au revoir, Vincent, qui me rend jouasse pour des raisons très personnelles.
RépondreSupprimerComme autre titre, j'aime bien Le Suicide sans fin, le vertige qu'il induit…
Emmanuel était un drôle de personnage, pouvant se montrer détestable ou charmeur selon ses envies du moment. Et je me souviens de certains maraudages en voiture avec Roland en plus (C. Wagner) à passer par la rue Watt à Paris et plein d'autres choses, souvent rigolotes, parfois beaucoup moins.
RépondreSupprimerBref, ça fait bizarre d'être le seul encore de ce monde des trois...
Otto Naumme
Vous m'intriguez, cher Otto (en voiture, pour le coup) : le trio que vous formiez était-il juste amical, ou bien nourrissiez-vous ensemble des projets concrets ?
RépondreSupprimerCher George, c'était juste amical. Si Roland et Emmanuel étaient des écrivains, je n'étais "que" journaliste, nous ne faisions pas le même métier. Mais nous avions, en partie du moins, les mêmes délires.
SupprimerOtto Naumme