On s’était promis de ne pas se livrer à la pratique de la nécrologie sur ce blogue, mais la disparition de Jean Guidoni valait d’être marquée. Merci, et bon voyage…
Encore un bout de notre jeunesse qui fout le camp. Il aurait pu tirer avantage de la gauche caviar mais il était trop indépendant, trop libre, pas assez léché-bottes. Salut l'artiste !
Encore un bout de notre jeunesse qui fout le camp. Il aurait pu tirer avantage de la gauche caviar mais il était trop indépendant, trop libre, pas assez léché-bottes. Salut l'artiste !
RépondreSupprimerLe Tenancier approuve chacun de vos mots, cher Jules.
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