Ne croyez pas que le Tenancier abandonne totalement le livre
en ayant changé de blog. Il s’avère tout de même que considérer sans cesse le contenant
en se privant de parler du contenu est devenu assez lassant. Nombre de
spécialistes se chargent d’ailleurs de disserter brillamment sur le sujet, tant
en matière de typographie, de bibliophilie que d’autres aspects encore. Bien sûr,
il n’a jamais été question de concurrencer les spécialistes sur leur terrain au
risque de devenir barbant. Quelques uns, d’ailleurs, s’arrangent très bien pour
l’être sans avoir recours à une aide quelconque. En retour, la perspective d’animer
un nième blog de « critique littéraire » (avec un lien rémunéré vers
Amazon) ou de diffuser des états d’âme littéraires ne lui agite pas
particulièrement la nouille (excusons le relâchement du style, le Tenancier s’est
récemment découvert une verve de pornographe…) Bref, le Tenancier prend ses
distances avec ce qui a été son métier pendant des années. Cela provient
également d’un arrêt forcé de son activité de libraire qui survient au seuil d’une
spirale négative. Mais, arrêtant de jouer au marchand, le Tenancier n’abandonne
pas pour autant son amour du livre. Seulement cette passion revient à la sphère
privée, au plaisir singulier et solitaire de parcourir sa propre bibliothèque,
enrichie de quelques exemplaires de sa librairie avant liquidation.
Mais que va faire ensuite le Tenancier ? Professionnellement, on verra bien. Pour le blog, eh bien on a envie de parler d’autre chose et, après quelques coups d’essai et un peu de réflexion, d’aborder d’autres rivages comme le cinéma ou bien d‘autres moyens d’expression, pourquoi pas ? Du reste, c’est ce que nous avons commencé à faire. Alors quoi, ce ne sera plus comme avant ? Eh bien non. Il faut savoir lâcher certaines activités qui finissent par ressembler à de mauvaises habitudes. C’est ainsi que, par le passé votre Tenancier abandonna une émission de radio qu’il animait depuis presque deux décennies (avec des intermittences, certes) et que son activité d’éditeur tourna court pour des raisons similaires, entre autres. C’est ainsi qu’il ne sera bientôt plus libraire et que l’ancien blog qui reflétait son activité se mue en autre chose.
Et puis, n’oubliez pas un fait d’importance pour le rédacteur de ces lignes : quelques textes ont été publiés ça et là sous le nom d’Yves Letort. Cela réveille des envies de se surpasser et de continuer dans cette voie. Et puis, l’envie de transformer les sujets de ses conversations participe de cette Grande Évasion.
Tout ça pour vous dire que le Tenancier continue et qu’il ne veux surtout pas se priver du plaisir de voir ses amis intervenir dans les colonnes du blog et dans les commentaires, mais qu’il est temps de changer d’ère…
Mais que va faire ensuite le Tenancier ? Professionnellement, on verra bien. Pour le blog, eh bien on a envie de parler d’autre chose et, après quelques coups d’essai et un peu de réflexion, d’aborder d’autres rivages comme le cinéma ou bien d‘autres moyens d’expression, pourquoi pas ? Du reste, c’est ce que nous avons commencé à faire. Alors quoi, ce ne sera plus comme avant ? Eh bien non. Il faut savoir lâcher certaines activités qui finissent par ressembler à de mauvaises habitudes. C’est ainsi que, par le passé votre Tenancier abandonna une émission de radio qu’il animait depuis presque deux décennies (avec des intermittences, certes) et que son activité d’éditeur tourna court pour des raisons similaires, entre autres. C’est ainsi qu’il ne sera bientôt plus libraire et que l’ancien blog qui reflétait son activité se mue en autre chose.
Et puis, n’oubliez pas un fait d’importance pour le rédacteur de ces lignes : quelques textes ont été publiés ça et là sous le nom d’Yves Letort. Cela réveille des envies de se surpasser et de continuer dans cette voie. Et puis, l’envie de transformer les sujets de ses conversations participe de cette Grande Évasion.
Tout ça pour vous dire que le Tenancier continue et qu’il ne veux surtout pas se priver du plaisir de voir ses amis intervenir dans les colonnes du blog et dans les commentaires, mais qu’il est temps de changer d’ère…