samedi 23 septembre 2017

10/18 — Francis Lacassin : Mythologie du roman policier — II




Francis Lacassin

Mythologie du roman policier

Tome II

n° 868

Paris, Union Générale d'Édition
Coll. 10/18
Volume triple

317 pages (320 pages)
Dépôt légal : 3e trimestre 1974
Achevé d'imprimer : 17 juin 1974

TABLE DES MATIÈRES

VIII. — Dashiell Hammett ou La littérature à haute tension
IX. — Pierre Véry ou La police au pays des merveilles
X. — William Irish ou L'œil qui voit à l'intérieur des êtres
XI. — Philip Marlowe ou Le clair de lune du roman noir
XII. — Jean-Louis Bouquet ou L'exploration des âmes en crise
XIII. — Le Grand Horloger ou Le poète, le destin et la mort
XIV. — Fredric Brown ou Alice de ce côté du miroir
XV. — Boileau-Narcejac ou La province de l'absence
XVI. — Chester Himes ou La fête des fous

Bibliographie générale


(Contribution du Tenancier)
Index

vendredi 22 septembre 2017

10/18 — Francis Lacassin : Mythologie du roman policier — I




Francis Lacassin

Mythologie du roman policier

Tome I

n° 867

Paris, Union Générale d'Édition
Coll. 10/18
Volume triple

320 pages
Dépôt légal : 3e trimestre 1974
Achevé d'imprimer : 20 juin 1974

TABLE DES MATIÈRES

Avant-propos

I. — Le fantastique des villes
II. — Le chevalier Dupin ou Les faux mystères de Paris
III. — Sherlock Holmes ou Le matin des logiciens
IV. — Arsène Lupin ou Du cambriolage comme un service public
V. — Father Brown ou À la recherche du ciel perdu
VI. — Le Loup Solitaire ou « Le Marché Commun » du cambriolage
VII. — Charlie Chan ou Le sage aux sept fleurs


(Contribution du Tenancier)
Index

jeudi 21 septembre 2017

10/18 — Alain Lacombe : Le roman noir américain




Alain Lacombe

Le roman noir américain

Inédit

n° 918

Paris, Union Générale d'Édition
Coll. 10/18
Volume triple

188 pages (192 pages)
Dépôt légal : 1er trimestre 1975
Achevé d'imprimer : 17 janvier 1975


(Contribution du Tenancier)
Index

mardi 19 septembre 2017

Une historiette de Béatrice

J'ai actuellement dans ma boutique l'homme qui sait tout des livres, qui connaît toutes les éditions, qui a offert à ses fils (13 et 8 ans ?) toutes les éditions originales dont il parle avidement, avec eux. Très fort, bien entendu.

10/18 — Francis Lacassin : Pour une contre-histoire du cinéma




Francis Lacassin

Pour une contre-histoire du cinéma


n° 731

Paris, Union Générale d'Édition
Coll. 10/18
Volume triple

307 pages (320 pages)
Dépôt légal : 4e trimestre 1972
Achevé d'imprimer : 15 novembre 1972


(Contribution du Tenancier)
Index

lundi 18 septembre 2017

Oracle

Ce billet paru en avril 2009 sur le blog Feuilles d'automne est aussi un hommage au temps qui passe et aux promesses non tenues... car j'attends toujours mon grand barbu, moi.



La lecture de livres d'occasion est parfois balisée de signes plus ou moins ténus. Ainsi, taches, cornes, rousseurs viennent dégrader progressivement l'ouvrage jusqu'à ce qu'il tombe dans la main attentionnée du libraire, lequel fera ce qu'il pourra pour améliorer les choses, c'est à dire peu. En effet, revenir sur une rousseur ou une pliure est une gageure. Et puis il y a ces objets épars, évidents ou incongrus, tels les marques-pages, les coupures de presse, des coupes-papier (nous avons eu le cas), des bouts de papier-toilette de différentes qualités sans doute pêchés à la hâte lors d'une lecture dans les lieux, des bouts d'allumettes, des tickets de métro, des photographies, autant de signes de l'activité ou de la situation plus ou moins soigneuse dans laquelle le lecteur se trouvait avant de refermer définitivement le livre et avant qu'il se retrouve sous l'attention du professionnel. Il faut alors être impavide et éliminer la plupart de ces artefacts, facteurs de dégradation. De ces traces, l'on ne fait quasiment rien, sinon que de les destiner à la poubelle ou à la boîte aux marques-pages. Ces vestiges ne signifient pas grand chose, hormis les coupures de presse. Celles-ci sont soigneusement rangées à la fin des ouvrages à une place ou la brunissure du papier ne risque pas de contaminer le coeur de l'ouvrage.
Mais il est d'autres signes plus parlant : dessins d'enfant, lettres de recommandation, d'amour ou cartes-postales estivales, etc. Il y a alors un déchirement à jeter cette intimité-là. On voudrait la rendre à leur propriétaire.
Enfin, il est une apparition fugace, trois en plus de dix ans qui, j'en suis certain, m'avertit de quelque chose... mais de quoi ?
Je ne me rappelle plus ou j'ai trouvé les deux premières. La troisième vient d'être trouvée il y a quelque jours dans un numéro des « Temps Modernes ». Ce sont des cartes rassurantes, pas méchantes...


Mais dois-je m'inquiéter ?
Car si le Pique arrive, dois-je préparer ma couche, réunir mes enfants et mes amis ?


On n'en voudra pas au signataire de ce billet de se payer le luxe d'une petite superstition de temps à autre. Manie qui tourne court devant l'ignorance de la signification de ces cartes distillées au long du temps. Suis-je à la fin du tirage ou dois-je encore attendre ? A quoi cela se rapporte-t-il ? Dois-je lancer des conjectures sur les fortunes de la librairie ou alors sont-ce des avertissements à titre individuel ?


Naturellement, ces questions ont suscité quelques réponses en commentaires, notamment celles d'ArD et d'Otto que nous reproduisons ici :

Paraît que les jeux, depuis Aristote, sont perçus comme un délassement, et aussi comme une occupation qui détourne les hommes de la recherche de la vertu. A votre place, je ne serais pas dubitatif, mais sceptique.
La Reine de coeur vous tirera de ce mauvais pas, très certainement.

ArD


Les dames de coeur, oui. Mais le prix en est élevé. Le libraire n'a pas de vertu, il a des passions.

Le Tenancier


[...] Pour le reste, mon bon Tenancier, rassurez-vous, ce tirage, si l'on pouvait dire que c'en est un avec seulement trois cartes, me semble plutôt bon : vous allez tomber amoureux d'un grand barbu !
Si je sombrais dans la facilité vulgaire, j'en profiterais pour ajouter qu'après le tirage, vous risqueriez donc d'avoir également le ramonage. Mais vous savez à quel point ce genre de plaisanteries navrantes m'est étranger.

Otto Naumme


Le Tenancier ne risque-t-il pas d'être laissé sur le carreau avec un tel tirage ?!
En tout cas, cher Otto, je vous félicite, vous ouvrez une voie sur ce blog. Enfin.

ArD


Oui, chère ArD, j'ai toujours été partisan de la nouveauté, de l'extrême (mauvais goût, notamment). Mais votre mot final est juste, ma naturelle timidité (et ma fainéantise presqu'aussi importante que celle de notre ami Tenancier) me fait souvent reporter mes audaces (et d'en dire, d'ailleurs, "Oh dace, oh désespoir", hum...).
Cela étant, n'étant pas barbu (mal rasé seulement), je laisserai au Tenancier le plaisir de discuter couloirs de cheminées avec d'autres personnes à la pilosité développée. Il faut savoir rester à sa place.

Otto Naumme


Je vois, Otto, que votre séjour en Roumanie vous a profité pour l'extension de vos jeux de mots. Pour le reste, je continue d'être dubitatif sur la signification de ce tirage.
Oui, je dubite.

Le Tenancier

dimanche 17 septembre 2017

Jean-Louis Bory et le cinéma en 10/18

L’édition des chroniques cinématographiques de Jean-Louis Bory s’est opérée alors même que celui-ci continuait d’en produire dans les colonnes du Nouvel Observateur, jadis journal de gauche(*). Bory œuvrait également au Masque et la Plume sur France Inter, où il s’opposait régulièrement et de façon réjouissante à Georges Charensol. Le duel a été retranscrit, un peu pâle, sous la plume de François Morel, il y a quelques temps. Bory est amoureux du cinéma, un polémiste drôle et sensible, intuitif, toutes qualités qui surgissent dans l’enfilade de ces chroniques. Certes, on connaît le Jean-Louis Bory écrivain (sans doute délaissé), l’essayiste et surtout le mémorialiste qui a laissé la splendide biographie d’Eugène Sue ou le livre sur la Révolution de Juillet… Il faut à cela ajouter ces chroniques, partiales et parfois injustes, sarcastiques... réjouissantes, en somme.

« Ne me demandez pas sur je pratique une critique essentialiste, ou situationniste, ou structuraliste, ou je ne sais quoi d’autre en iste. Je n’en sais rien et je m’en moque. Un film pour moi, c’est quelque chose de vivant. Chaque film renouvelle l’aventure. Aucun concept du cinéma-en-soi, aucun dogmatisme à priori ne m’embarrasse. Ce n’est pas le cinéma qui existe d’abord, ce sont les films.
Et puis, oui, peut-être, si tout va bien, il existe alors le cinéma. »
Jean-Louis Bory : « Avertissement », in Des yeux pour voir (1971)

Signalons qu’un volume supplémentaire de chroniques inédites a été publié en 2001. (Et que, donc, ceux qui connaissent le Tenancier savent quoi lui offrir pour son petit Noël)


Cinéma I
1961 – 1966

Cinéma II
1966 – 1968

Cinéma III
1969 – années 60

Cinéma IV
1970 – 1971

Cinéma V
1971 – 1972

Cinéma VI
1973 – 1974


Cinéma VII
1975 – 1976

(Cliquez sur les images pour vous rendre aux notices bibliographiques)

(*) Enfin, entendons nous par « journal de gauche » quand nous évoquons une telle publication qui, dans les quarante premières pages de ses numéros, présentait — comme à l'heure actuelle — près de trente-cinq pages de pubs à destination de la classe moyenne (bagnoles, hi-fi, clubs de vacances, etc.) Disons que ce journal laissait de temps en temps la paroles à des personnes moins inquiètes du CAC 40 que des problèmes sociaux. (note quelques jours plus tard...)

10/18 — Jean-Louis Bory : Des yeux pour voir




Jean-Louis Bory

Des yeux pour voir

Cinéma I (1961-1966)

n° 556 | 557

Paris, Union Générale d'Édition
Coll. 10/18
Volume double

384 pages
Dépôt légal : 2e trimestre 1971


(Contribution du Tenancier)
Index

samedi 16 septembre 2017

10/18 — Jean-Louis Bory : Rectangle multiple




Jean-Louis Bory

Rectangle multiple

Cinéma VII
1975 – 1976

n° 1177

Paris, Union Générale d'Édition
Coll. 10/18
Volume quintuple

311 pages (320 pages)
Dépôt légal : 4e trimestre 1977
ISBN : 2-264-00199-2


(Contribution du Tenancier)
Index

vendredi 15 septembre 2017

10/18 — Jean-Louis Bory : L'obstacle et la gerbe




Jean-Louis Bory

L'obstacle et la gerbe

Cinéma VI
Janvier 1973 — Décembre 1974

n° 1058

Paris, Union Générale d'Édition
Coll. 10/18
Volume sextuple

448 pages
Dépôt légal : 2e trimestre 1976
ISBN : 2-264-00041-4


(Contribution du Tenancier)
Index

( )

Mes fidèles lecteurs remarqueront que, cette fois, j'ouvre beaucoup de parenthèses au cours de ce récit palpitant. Qu'ils m'en excusent si ça leur déplaît. La parenthèse c'est un peu l'opium du littérateur. Qu'ils me permettent aussi de leur faire respectueusement remarquer que je les referme toujours.

San Antonio
Du mouron à se faire
(1955)

jeudi 14 septembre 2017

10/18 — Jean-Louis Bory : La lumière écrit




Jean-Louis Bory

La lumière écrit

Cinéma V
Mai 1971 — Décembre 1972

n° 964

Paris, Union Générale d'Édition
Coll. 10/18
Volume sextuple

440 pages (448 pages)
Dépôt légal : 3e trimestre 1975
Achevé d'imprimer : 30 avril 1975


(Contribution du Tenancier)
Index