lundi 26 février 2018

Devinette cinématograhique

Grégory nous propose une nouvelle énigme à partir du photogramme ci-dessous :


— Dans quel film voit-on ce livre recouvert d'un papier journal ?

— Et à quelles conséquences étonnantes aboutit la découverte de cette pratique hautement — à moins que le Tenancier me contredise —bibliophilique ?

Eh bien non, Grégory, ce n'est pas trop bibliophilique, ce sera l'occasion d'en causer dans un prochain billet... En tout cas, on vous convie à répondre, si vous trouvez, dans les commentaires de ce présent billet. Le Tenancier a séché, ce qui ne semble pas le cas de ce lecteur-là.

Aller (faire)

Aller (faire) : Tromper.. — « Te v'la charbonnier, de malheur. Quoi ! il y a là une voie de charbon ? Tu nous fais aller. » (Fort en gueule, Imprimerie Stahl, 20.) — « Essaie d'en faire aller d'autres que Florine, mon petit. » (Balzac.)

Lorédan Larchey : Dictionnaire historique d'argot, 9e édition, 1881

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jeudi 22 février 2018

10/18 — John Ruskin : La Bible d'Amiens



 



John Ruskin

La Bible d'Amiens

Traduction, notes et préface de Marcel Proust
Préface d’Hubert Juin


n° 1815

Paris, Union Générale d’Éditions

Coll. 10/18
Série « Fins de siècles »
dirigée par Hubert Juin

256 pages
+
20 pages (extrait du catalogue)
Dépôt légal : novembre 1986
Couverture : John Ruskin à Glenfinlas (détail) par J.E. Millais
ISBN : 2-264-01008-8


(Contribution de SPiRitus)
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Aller son petit bonhomme de chemin

Aller son petit bonhomme de chemin : Aller doucement.

Lorédan Larchey : Dictionnaire historique d'argot, 9e édition, 1881

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mercredi 21 février 2018

Aller se faire fiche

Aller se faire fiche : V. Ficher.

Lorédan Larchey : Dictionnaire historique d'argot, 9e édition, 1881

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mardi 20 février 2018

Une historiette de Béatrice

«  Bonjour madame.
— Bonjour madame.
— À tout hasard, auriez-vous des Delly ?
— Désolée, non.
— Oh non ! J'essaie de reconstituer l'intégralité de cette œuvre pour mes petits-enfants, mais c'est difficile. Enfin, j'en ai retrouvé deux à Besançon. C'est très rare.  »

Aller où le roi ne va qu'à pied

Aller où le roi ne va qu'à pied : Faire ses besoins. — Ce rappel à l'égalité est de tous temps. Se disait au dix-septième siècle : « Aller où le roi ne va qu'à pied. C'est à mots couverts le lieu où l'on va se décharger du superflu de la mangeaille... » (Scarron.) V. Numéro 100.

Lorédan Larchey : Dictionnaire historique d'argot, 9e édition, 1881

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lundi 19 février 2018

Devinette cinématographique

Vous connaissez George, vous qui fréquentez ce présent blogue et surtout celui dont il s'occupe de temps à autre, c'est-à-dire pas trop souvent en ce moment, ce que nous regrettons... donc, je disais : vous connaissez George, dès qu'il s'agit de jouer, il frétille de partout. Enthousiasmé par la proposition de Grégory dans notre précédent jeu, voici qu'il nous propose à son tour de deviner de quel film sont tirées ces images, volontairement altérées pour vous compliquer un peu l'existence.





Votre Tenancier a trouvé et George n'a rien trouvé de mieux que s'exclamer  : 
Je me disais bien que c'était trop facile...
Vous savez quoi ? Eh bien le George, le Tenancier l'aime quand même.

Comme d'habitude, fournissez la réponse dans les commentaires...

Aller gaiment (y)

Aller gaiment (y) : Agir sans se faire prier, sans que la gaîté soit précisément de la partie. Allons-y gaiment ne signifie rien de plus que allons-y. — Les amateurs du langage en mar ont imaginé de varier en disant allons-y gaimar. V. Mar.

Lorédan Larchey : Dictionnaire historique d'argot, 9e édition, 1881

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dimanche 18 février 2018

Arriver à bon port...

Aller au diable au vert

Aller au diable au vert :  — Faire une excursion aventureuse.
M. Rozan explique ainsi ce mot « Auvert est une corruption de Vauvert ; on disait autrefois : Aller au diable Vauvert. Le V a été mangé dans la rapidité du discours, et il a fini par disparaître si bien, qu'on a été amené à couper en deux, pour lui donner une sorte de sens, le reste du mot : auvert. — Le château de Vauvert ou Val-Vert, situé près de Paris, du côté de la barrière d'Enfer, avait été habité par Philippe-Auguste après son excommunication ; il passait depuis cette époque pour être hanté par des revenants et des démons. Saint-Louis, pour désensorceler ce château, le donna aux chartreux en 1257. »
Rabelais parle encore de ce diable fameux : — « Je vous chiquaneray en diable de Vauvert » dit le chiquanous Rouge-Muzeau, dans le chapitre 16 du livre IV de Pantagruel.
On dit maintenant au diable vert, ce qui s'éloigne encore plus de la forme primitive. « J'ai déjà parlé de celui d'Alexandre Dumas, qu'on veut reléguer à Charonne, au diable vert. » (Liberté, 26 juillet 1872.)

Lorédan Larchey : Dictionnaire historique d'argot, 9e édition, 1881

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