On a l'extrême plaisir de vous annoncer la parution du recueil de
nouvelles ci-dessus, illustré des dessins de Céline Brun-Picard (la
couverture étant de Marc Brunier-Mestas). Puisque du lieu où le
Tenancier se trouve les connexions sont difficiles, on réclame un peu de
patience de l'assistance pour de plus amples détails.
Ce recueil est composé de treize nouvelles pour moitié inédites et qui se situent dans le même univers, celui du Fleuve. Cette exploration est destinée à être complétée, d'autres histoires sont en cours de composition...
— La station souterraine
— Les fiancées
— Une gaupe
— Claire et le voyageur
— Un cabinet
— Vers la fin du Fleuve
— Le sérum du docteur Pest
— Une partie de pêche
— Un ouvrage délaissé
— Sur l’autre rive
— La draille
— Le Bassin
L'ouvrage peut être commandé par l'intermédiaire du site du Visage Vert et chez certains libraires amis (liste ici).
Il ne faut pas oublier l'illustratrice dont l'auteur souhaite qu'elle continue d'oeuvrer en sa compagnie. On trouvera une biographie de Céline Brun-Picard à cette adresse.
Ce recueil est composé de treize nouvelles pour moitié inédites et qui se situent dans le même univers, celui du Fleuve. Cette exploration est destinée à être complétée, d'autres histoires sont en cours de composition...
— La station souterraine
— Les fiancées
— Une gaupe
Les
aventures de Claire :
— Astolphe
— Claire et le voyageur
— Un cabinet
— Vers la fin du Fleuve
— Le sérum du docteur Pest
— Une partie de pêche
— Un ouvrage délaissé
— Sur l’autre rive
— La draille
— Le Bassin
L'ouvrage peut être commandé par l'intermédiaire du site du Visage Vert et chez certains libraires amis (liste ici).
Il ne faut pas oublier l'illustratrice dont l'auteur souhaite qu'elle continue d'oeuvrer en sa compagnie. On trouvera une biographie de Céline Brun-Picard à cette adresse.
Enfin !
RépondreSupprimerOn a hâte de pouvoir soupeser le bébé…
Et je constate avec plaisir que le premier plat ne comporte pas de coquille…
RépondreSupprimerGeorge, vous êtes un aimable couillon.
SupprimerHeureusement que je vous aime bien.
Bonnes nouvelles ! On espère avoir le plaisir d'en descendre le cours impassible. Non pas sur une coquille, il n'y en a pas. Plutôt une péniche... Car si le docteur Pest est un indice des lieux, le climat devrait y être plus proche de celui de la Providence et de son charretier, que d'un pays de poteaux de couleurs cloués de hâleurs...
RépondreSupprimerPeut-être trouverai-je l'ouvrage chez George (à ce propos George, si vous repassez dans ces eaux, vous reste-t-il un exemplaire de celui de l'ami André, que je n'ai toujours pas lu, comme ça je ferai un tir (de peaux rouges) groupé la prochaine fois ?).
Mon cher Wroblewski, merci !
SupprimerOn trouvera sûtement l'ouvrage chez George à mon retour pour une signature appéritive, vers le début de novembre. Je viens d'avoir un message de l'éditeur m'annonçant qu'il vient tout juste de recevoir le tirage, donc personne n'est en retard sur ce coup.
« Gaupe » ! La dernière fois que j'ai lu ce petit mot charmant, bien que désignant une femme de mauvaise vie « désagréable et malpropre », c'était chez Lilith dans un extrait d' « En rade » de Huysmans. C'était la vérité qui était une « abominable gaupe » (cité dans le billet du 12 décembre 2013).
RépondreSupprimerN'empêche, je l'ai toujours trouvé affectueux.
Je suis curieuse de savoir ce qu'il en est de votre gaupe à vous.
Catherine
Chère Catherine,
RépondreSupprimerJ'espère que ma version ne vous déplaira pas trop...