On pardonnera au Tenancier d'insister lourdement sur cette publication, mais l'éditeur est un handicapé dès lors qu'il s'agit de vanter ses productions. Ils sont quelques uns comme ça. Certaines mauvaises langues pourraient prétendre que cette paralysie serait méritée étant donné la teneur du présent recueil. Ils se trompent, bien évidemment. À une époque où on ne se prive pas de toucher le fond de bien des manières, il est rassurant de découvrir que cette course vers l'abîme peut se révéler ludique pour les auteurs et amusante pour les autres.
Enfin, traditionnellement depuis deux ans, on vous présentait des jeux estivaux : charades, mots croisés, devinettes, etc. Mais voilà, vous avez dû remarquer que votre Tenancier était occupé à déménager, emménager, se soigner et d'autres choses encore, ce qui l'a empêché de solliciter votre sagacité, désespérante puisque vous êtes plutôt incollables. On ne désespère pas de recommencer, peut être avant l'été prochain. En attendant, voici un jeu promotionnel... où il n'y a rien à gagner parce que l'auteur et l'éditeur sont fauchés.
Ci-dessous, vous trouverez un large extrait du livre. Saurez-vous retrouver le pseudonyme (et donc le texte) derrière lequel se cache votre Tenancier chéri ?
On vous prévient, c'est très con. Mais rien n'arrête le Tenancier, surtout lorsqu'il s'agit de se faire plaisir...
Dites-moi, cher Tenancier, certains textes dans cette liste ne seraient-ils point parus sous votre patronyme ?
RépondreSupprimerPour le reste, j'ai une petite idée, mais nous allons laisser nos chers amis trouver la saga citée.
Otto Naumme
Oui, bien sûr, il y aurait l'Ivan... Mais du peu que je vous connaisse Tenancier, il pourrait y avoir aussi Jules V. ou Jules Veine... Après, tous les pseudos sont amusants, et ce pourrait être n'importe lequel...
RépondreSupprimerC'est bien évidemment dans la suite des résumés proposés en lien et non dans le sommaire qu'il faut chercher.
RépondreSupprimerCe que vous êtes ballots, parfois...
Ce Juan Ramon Mirador nous renvoie à un jeu autrement plus complexe qui a déchaîné les méninges d'un blogue antécédent...
RépondreSupprimerDommage, j'aurais bien opté pour Hermann Kranke !
Vous êtes trop fort, George !
RépondreSupprimerGeorge, on pourrait même soupçonne qu'il y eût complicité, n'est-ce pas ?
RépondreSupprimerArD
Est-ce à dire, ArD, que vous auriez aidé George ? Si c'était avéré mon admiration pour lui serait en chute libre. Vous voici à me faire sombrer dans le désenchantement.
RépondreSupprimerC'est cruel.
Cher Tenancier, c'est notre admiration à nous autres -- perplexes jadis quant à ce fameux Mirador -- qui choit dorénavant et décidément si tristement lamentablement : la complicité qu'évoque ArD n'est autre que celle qui vous unissait tous deux lors du Mystère de l'Abeille, rappelez-vous donc !
RépondreSupprimerLa cruauté ne sourd que de notre triste désenchantement face à vos propres oublis sur vous-même (sans parler de vos caleçons, mais passons et repassons -- après lavage, bien entendu !)
Cette simple note pour vous dire, cher George, que le pseudo de Juan Ramon Mirador existait bien avant le Mystère de l'Abeille. Il n'est d'ailleurs pas de moi, mais de la mère de mes filles. Quitte à me faire une querelle d'allemand, autant qu'elle soit argumentée, non mais.
RépondreSupprimerAutrement, je vous réponds sous peu à votre charmant message.
Ce qu'on apprécie chez vous, George, c'est votre art de foncer dans le trait (!)
RépondreSupprimerArD
Cette contrepèterie ne fait guère sens, chère ArD : le tronc est au-dessus du postérieur !
RépondreSupprimerOu bien s'agirait-il de faire des nattes tout en bas ?
RépondreSupprimerJe suis un peu moins nulle qu'Otto en contrepèteries, mais guère moins. J'apprécie vos outils d'aide à la compréhension, cher George. J'en suis à trousser le fond, ce qui ne doit pas être ça, mais je persévère.
RépondreSupprimerArD
Un conseil : ne cherchez pas à tronquer le fait…
RépondreSupprimerEt je constate que tandis que le Tenancier vitupère, ArD persévère. En mère sévère ?
Quant à ce cher Otto, il suffit de le remplacer par des habits pour rouler religieusement en voiture (mais je crois que je l'ai déjà faite, celle-là…)
Le tréfonds peut parfaitement être antérieur au postérieur, George.
RépondreSupprimerArD
Par cette chaleur, on apprécie les tessons dans le frais : frissons dans l'été !
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