C’est pas de sa faute, c’est l’éditeur qui l’a
forcé !
La seule consolation, c’est que votre Tenancier n’était pas seul dans cette histoire...
À commander chez l'éditeur au prix de 18 €
La seule consolation, c’est que votre Tenancier n’était pas seul dans cette histoire...
À commander chez l'éditeur au prix de 18 €
Ah! il a bonne mine (de crayon), le Tenancier! "L'éditeur lui a forcé la main", paraît-il... Et enfermé dans une cave à grignoter des croûtons de pain rassis pendant qu'il y est?
RépondreSupprimerC'est pourtant marqué en petits caractères, en page 4: "Aucun auteur ni animal n'a été maltraité pendant la réalisation de ce livre." Dont acte.
Ben tiens, moi aussi je peux mettre des mentions bidonnées comme un reportage de Tf1 ! Je maintiens et j'ai des preuves, c'est bien Pierre Laurendeau qui nous a forcés, mes cicatrices en témoignent.
RépondreSupprimerBrisons là! La question se réglera sur le pré: surfeurs nazis et ninjas bas-bretons d'un côté, marmottes tueuses et dahus commandos de l'autre. Ça va saigner!
RépondreSupprimerNous n'aurons pas besoin d'aller jusque-là puisque nous allons de nouveau vous imposer un stage de Damien.
RépondreSupprimerTant pis pour vous, mon vieux. Z'êtes allez trop loin.
Rappelons-le, le Tenancier est un garçon facile (sic). Alors lui forcer la main,c'est forcer le trait.
RépondreSupprimerArD
(Pour écrire des sottises — qui me font rire en plus — j'avoue que je ne suis pas farouche)
RépondreSupprimerMais d'où vous vient cette supposition qui semble de portée générale, ArD ?