lundi 18 juillet 2016

Le pire est toujours à craindre...

C’est pas de sa faute, c’est l’éditeur qui l’a forcé !
La seule consolation, c’est que votre Tenancier n’était pas seul dans cette histoire...

http://www.souslacape.fr/livres/fiche_livre/323


À commander chez l'éditeur au prix de 18 €

6 commentaires:

  1. Ah! il a bonne mine (de crayon), le Tenancier! "L'éditeur lui a forcé la main", paraît-il... Et enfermé dans une cave à grignoter des croûtons de pain rassis pendant qu'il y est?
    C'est pourtant marqué en petits caractères, en page 4: "Aucun auteur ni animal n'a été maltraité pendant la réalisation de ce livre." Dont acte.

    RépondreSupprimer
  2. Ben tiens, moi aussi je peux mettre des mentions bidonnées comme un reportage de Tf1 ! Je maintiens et j'ai des preuves, c'est bien Pierre Laurendeau qui nous a forcés, mes cicatrices en témoignent.

    RépondreSupprimer
  3. Brisons là! La question se réglera sur le pré: surfeurs nazis et ninjas bas-bretons d'un côté, marmottes tueuses et dahus commandos de l'autre. Ça va saigner!

    RépondreSupprimer
  4. Nous n'aurons pas besoin d'aller jusque-là puisque nous allons de nouveau vous imposer un stage de Damien.
    Tant pis pour vous, mon vieux. Z'êtes allez trop loin.

    RépondreSupprimer
  5. Anonyme18:39

    Rappelons-le, le Tenancier est un garçon facile (sic). Alors lui forcer la main,c'est forcer le trait.

    ArD

    RépondreSupprimer
  6. (Pour écrire des sottises — qui me font rire en plus — j'avoue que je ne suis pas farouche)
    Mais d'où vous vient cette supposition qui semble de portée générale, ArD ?

    RépondreSupprimer