Revenons doucement aux affaires.
Cette période de méditation forcée m'a tenu quelque peu éloigné d'internet (vrai en 2009, ce qui n'est plus le cas en 2017), du moins de la contemplation de ce que font mes petits camarades. Dans un sens, c'est tant mieux.
On a donc pioché dans ce que l'on aime.
Citons pour cette rentrée dans l'atmosphère une production pas blogueuse pour un rond mais qui ravira les papivores qui sommeillent en nous. Il s'agit du site personnel de Jean-Louis Le Breton.
On laissera aux quelques curieux le soin d'approfondir les détails de la carrière(1) du personnage, lequel est aussi intéressant et, je le parie, aussi chaleureux qu'il le fut à l'époque ou je le croisais à Paris. Mézalormedirévou, pourquoi mentionnez-vous ce site ? C'est que Jean-Louis Le Breton fut l'immortel créateur de la revue Lard-Frit(2) et qu'il la propose de nouveau sur ce site au format PDF et de telle manière que vous pourrez reconstituer la série avec un petit coup de massicot ou de cutter, des agrafes, etc. En effet, les numéros sont présentés sous leur forme imposée ce qui signifie que les pages ont été distribuées de telle manière que vous pourrez reconstituer la succession des pages une fois imprimées et le cahier assemblé(3).
Voici donc une manière sympathique de s'initier aux joies de l'imposition de pages en commençant simplement et en enrichissant sa bibliothèque. Le soussigné Tenancier en est fort satisfait car il ne possède que quelques numéros originaux et dans un piteux état. Il faut certes aimer l'umour (oui, je l'ai bien écrit) Fluide Glacial car nombre d'illustrateurs et d'auteurs en sont issus : Ucciani, Carali, Leandri, Tignous...
Ces propos bien pesés et enveloppés, le soussigné retourne au découpage du n°9 de Lard-Frit, c'est dire qu'il n'a pas encore fini(4), car il y a encore les numéros spéciaux à faire.
_____Cette période de méditation forcée m'a tenu quelque peu éloigné d'internet (vrai en 2009, ce qui n'est plus le cas en 2017), du moins de la contemplation de ce que font mes petits camarades. Dans un sens, c'est tant mieux.
On a donc pioché dans ce que l'on aime.
Citons pour cette rentrée dans l'atmosphère une production pas blogueuse pour un rond mais qui ravira les papivores qui sommeillent en nous. Il s'agit du site personnel de Jean-Louis Le Breton.
On laissera aux quelques curieux le soin d'approfondir les détails de la carrière(1) du personnage, lequel est aussi intéressant et, je le parie, aussi chaleureux qu'il le fut à l'époque ou je le croisais à Paris. Mézalormedirévou, pourquoi mentionnez-vous ce site ? C'est que Jean-Louis Le Breton fut l'immortel créateur de la revue Lard-Frit(2) et qu'il la propose de nouveau sur ce site au format PDF et de telle manière que vous pourrez reconstituer la série avec un petit coup de massicot ou de cutter, des agrafes, etc. En effet, les numéros sont présentés sous leur forme imposée ce qui signifie que les pages ont été distribuées de telle manière que vous pourrez reconstituer la succession des pages une fois imprimées et le cahier assemblé(3).
Voici donc une manière sympathique de s'initier aux joies de l'imposition de pages en commençant simplement et en enrichissant sa bibliothèque. Le soussigné Tenancier en est fort satisfait car il ne possède que quelques numéros originaux et dans un piteux état. Il faut certes aimer l'umour (oui, je l'ai bien écrit) Fluide Glacial car nombre d'illustrateurs et d'auteurs en sont issus : Ucciani, Carali, Leandri, Tignous...
Ces propos bien pesés et enveloppés, le soussigné retourne au découpage du n°9 de Lard-Frit, c'est dire qu'il n'a pas encore fini(4), car il y a encore les numéros spéciaux à faire.
(1) - Tour à tour et dans le désordre : libraire, musicien, journaliste, écrivain, directeur de revue et immortel auteur de cet aphorisme : "Qui Bogdanoff Bogdabœuf" - on en oublie sûrement.
(2) - Lien sur le site lui-même.
(3) - On parlera de l'Imposition un peu après la notion de Justification... c'est à dire dans quelques temps, pour ne pas trop se mouiller.
(4) - Euh... non, pour rien, parce que c'est rigolo de faire des notes de bas de page.
À ce billet publié en avril 2009 sur le blog Feuilles d'automne, il est nécessaire d'ajouter les divers commentaires qui ont suivi :
(5)- Euh (suite)... Tenancier, je ne vois pas les traits de coupe, vous cutterisez avec quelles marges ?
La lecture à l'écran, du fait de l'absence de foliotage dans cette revue en impose !
Je vois dans cette revue de J.-L. Breton une continuité partielle fort sympathique du combat de son arrière-grand-mère Maria Vérone. Mais bon, on y verra autre chose aussi, hein ?!
ArD
(6) - C'est vrai, ça : pas de traits de coupe ! Heureusement que j'ai un exemplaire original qui mes sert pour les dimensions. Cela prend un peu plus de temps, il est vrai.
J'ai transmis votre sibylline réclamation à l'intéressé, en espérant qu'il pourra y remédier à l'avenir.
Je ne connaissais pas la filiation avec Maria Vérone. Est-elle avérée ? Et sous quel jour la voyez vous, à la lumière de la couverture du n°4, ci-dessus ?
Nous sommes suspendus à vos lèvres...
Le Tenancier
(7)- L'intéressé ne pourra pas commettre grand chose, puisque selon toute apparence il s'agit de numéros scannés. Mais vous pourriez indiquer les dimensions de l'original.
La filiation avec Maria Vérone est établie sur le site que vous citez, chapitre Téléchargements. Je la vois notamment à la lumière du fond plus qu'à celle de la forme.
ArD
(52, parce que y'a pas de raison) - On pourrait tout de même rajouter des traits de coupe sur des images, je n'en vois pas l'incompatibilité foncière.
75 X 105 mm
Ah, je n'est pas été jusqu'aux téléchargements ! En revanche j'ai découvert quelques morceaux que je ne possédais pas de Los Gonococcos ce qui m'enchante...
Le Tenancier
Ah, cher, vous n'avez l'intégrale des Gonococcos ? Dont ce fabuleux "live" que j'avais en cassette et que j'ai malheureusement perdu (Jean-Louis, si tu passes par là, que tu me lis et que tu as encore une de ces cassettes, je suis preneur !!! Transmettre au Tenancier qui fera suivre ;-)
Quant à l'imposition, cela tombe bien, nous sommes bientôt à l'époque du premier tiers...
Otto Naumme
Seigneur Otto, l'avions paumée dans moult déménagements et séparations, ce qui fait que nous en sommes au même point : nibe de cassette ! Mais en cherchant bien, je pense que l'on peut reconstituer dans son intégralité cet élément du Patrimoine Mondial, rien de moins, en surfant un peu. Cela tombe bien, me suis laissé entendre dire que vous aimiez les chemises hawaïennes.
Pour le sujet de l'imposition, vous êtes viré, mon vieux...
Le Tenancier
En tous cas, ça rappelle le bon vieux temps...
Celui d'une certaine radio de ma connaissance où, si je me souviens, nous fîmes justement connaissance de l'ami Jean-Louis...
Oh con, putaing con, donc... (que j'ai toujours le 45t original, là, par contre, avec le mythique Goldorak lou Larzem)
Otto Naumme
Moi tout pareil idem !
Le Tenancier
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire