Le Tenancier écoutant attentivement Otto Naumme chantant (faux) la chanson du Père Dupanloup, en se disant qu'un jour, ce serait bien que la fête des mécréants revienne, comme au temps du vrai Charlie Hebdo. Là, Otto en est à la huitième strophe, évoquant l'organe généreux, et en arc-de-cercle, du Père Dupanloup. (Merci à Jehan-Georges Vibert pour le vérisme de la scène !)
Je m'élève contre l'assertion de ce cher Tenancier : je ne chante pas faux.
RépondreSupprimerJe chante mal.
Cen n'est pas pareil.
Otto Naumme
Disons que si vous chantez mal, mon cher Otto, c'est en tout cas de façon fort désinhibée. C'est tout à votre honneur. Je parle bien sûr sous le contrôle de millions d'auditeurs potentiels de Radio Libertaire qui auraient pu, dans le temps vous entendre chanter du Los Gonococcos, moment remarquablement psychédélique...
RépondreSupprimerCela étant, cher Tenancier, avouez que chanter bien du Los Gonococcos demande une certaine abnégation. Dont, j'avoue, je ne me sens pas capable.
SupprimerMais il n'empêche : Goldorak lou Larzem !
Otto Naumme
(Tout de même un peu décevant, ce Tenancier : toujours une jolie robe, toujours un joli chapeau et jamais de sac à main. Tsss...)
RépondreSupprimerC'est parce que je planque mon petit baise-en-ville sous ma chasuble...
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