J’en causais à Béa, qui s’inquiétait du fait que j’étais
retenu à la maison, pensant que je souffrais du dos. Oui, j’aurais pu, à l’époque
où, salarié en librairie, je soulevais des cartons de livres pas tout le temps
légers. Seulement, la sagesse de nos aînés est infinie et grâce à eux je n’ai
jamais eu mal de cette manière. Comment ? Eh bien en étant initié à l’haltérophilie
lors de mon passage à l’école des métiers de l’alimentation de la rue Ferrandi
à Paris. Eh oui, le pédigrée du libraire est parfois surprenant, et son savoir
ne l’est pas moins, surtout lorsque l’on a connu la silhouette du Tenancier à l’époque, lorsqu'il jouait au serveur de restaurant.
Tout ça pour dire... et vous vous en moquez. Je ne saurais vous donner tort.
Ah oui, moi aussi c'est à la sagesse de mes aînés et néanmoins patrons que je dois d'avoir appris à soulever des cartons, dans leur librairie.
RépondreSupprimerEt tout ça pour dire quoi ? (je ne m'en moque pas...)
Pour ne rien dire, c'est une nouvelle manie du Tenancier.
SupprimerPardonnez-lui.
Le talc est il sniffable ???
RépondreSupprimerÇa dérapait peu dans la poudreuse, à l'époque...
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